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French to English: Zika General field: Medical Detailed field: Journalism
Source text - French Zika: la course aux vaccins s'accélère
Une équipe a annoncé le succès de ses tests sur les macaques, d'autres lancent déjà des essais chez l'homme.
**Alors qu'au Brésil, pays le plus touché par l'épidémie due au virus Zika, avec près d'un million et demi de personnes infectées depuis 2015, que des cas sont signalés dans la plupart des pays d'Amérique latine, que les États-Unis viennent de recenser 14 cas de contamination locale -les précédents étant importés de pays où le virus est en circulation-, de bonnes nouvelles commencent à filtrer du côté des laboratoires.
Jeudi, la revue Science annonçait ainsi le succès d'une collaboration entre l'Institut de recherche biomédicale de l'armée américaine (le Walter Reed Army Institute of Research), l'hôpital new-yorkais Beth Israel et la faculté de médecine de Harvard. Ces instituts ont toutes les techniques de biologie moléculaire et de virologie pour mettre au point trois vaccins candidats. Et les essais précliniques, menés sur des souris et des macaques, ont obtenu des résultats encourageants.
«Les singes vaccinés sont protégés contre les souches brésilienne et portoricaine du virus Zika, comme en témoigne l'absence de virus dans le sang, les urines et les sécrétions après une infection», annoncent ainsi les chercheurs. Compte tenu du succès de l'expérience et de l'absence d'effet secondaire, des essais cliniques chez des volontaires devraient être menés d'ici la fin de l'année.
«Ces recherches ont probablement débuté à la fin de l'année dernière. La rapidité avec laquelle ils ont obtenu leurs résultats est incroyable», souligne Étienne Simon-Lorière, virologue à l'Institut Pasteur à Paris. Depuis quelques mois, les recherches sur Zika bénéficient d'un engouement mondial. «De nombreuses équipes se sont mises à travailler sur ce virus, en raison de l'urgence de santé publique mondiale et des importants financements qui lui sont destinés», raconte-t-il, avant de préciser que le nombre de publications sur le virus s'est multiplié de façon exponentielle ces derniers mois.
Gagner un temps précieux
Autre phénomène apparu avec l'épidémie: l'open science (l'ouverture des données scientifiques). «Comme cela a été le cas avec les recherches sur le virus Ebola, certains scientifiques qui travaillent sur Zika ont partagé publiquement leurs résultats, au lieu de passer par le circuit classique de publication, qui peut s'avérer long et fastidieux», poursuit le spécialiste. Ainsi, au début de l'année, l'équipe du Pr David O'Connor (Université du Wisconsin-Madison) a mis en ligne ses résultats dès qu'ils étaient obtenus, avant de les publier dans la prestigieuse revue Nature Communications. Leur découverte -le fait que le macaque est un modèle animal pertinent et proche de l'homme pour l'étude de Zika- a permis à d'autres équipes de gagner un temps précieux.
Cette semaine, la course aux vaccins a pris une autre dimension avec l'annonce, mercredi, par l'Institut américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) du lancement d'un essai clinique chez 80 volontaires sains âgés de 18 à 35 ans. C'est le second vaccin expérimenté chez l'homme. Une équipe américano-canadienne s'est aussi lancée en juillet.
Le vaccin du NIAID, dont la première dose a été donnée mardi, ne contient pas de virus vivant, mais un brin d'ADN servant de support à la fabrication de l'enveloppe du virus (comme l'un des trois vaccins développé par l'armée américaine). «Cette piste est encourageante mais il n'existe à l'heure actuelle aucun vaccin fonctionnant de cette manière, note toutefois Étienne Simon-Lorière. Sans compter que plusieurs études ont montré que ce type de vaccin peut réagir avec d'autres virus, comme celui de la dengue, en l'aidant à infecter les cellules.»
Selon l'OMS, une dizaine de laboratoires pharmaceutiques dans le monde travaillent actuellement au développement d'un vaccin. Quelle que soit l'issue de ces expériences, le vaccin choisi sera préventif et ne pourra donc pas être administré aux femmes enceintes qui sont les plus à risque.**
Comme redouté, le virus s'installe aux États-Unis
L'arrivée du Zika sur le sol des États-Unis était malheureusement attendue. Cette semaine, les autorités sanitaires de Floride ont confirmé les premiers cas «autochtones», signifiant qu'un moustique a contaminé le malade sur son lieu de vie et non pas lors d'un déplacement à l'étranger. Selon le dernier décompte, 15 personnes ont été infectées dans cet État du sud des États-Unis, dont 12 dans le périmètre très restreint du quartier de Wynwood, à Miami.
Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) a émis pour la première fois de son histoire une restriction de voyage pour raison sanitaire sur le sol américain, en déconseillant aux femmes enceintes de se rendre dans cette partie de la ville. Les mesures pour contrôler la population de moustiques ont échoué, a reconnu le directeur des CDC, Tom Frieden.
«C'est peut-être parce qu'ils sont résistants aux pesticides ou parce qu'ils ont des lieux de ponte difficiles à trouver.» Les espèces de moustiques capables de transmettre Zika (Aedes albopictus et aegypti) sont présentes dans tout le sud des États-Unis et sur une large partie de la moitié est. Arguant de leurs expériences passées avec la dengue et le chikungunya, les autorités ne craignent pourtant pas que les foyers épidémiques ne dépassent l'échelle locale.
Par Cécile Thibert - Le Figaro - le 04/08/2016
Translation - English Zika: The Race to Develop a Vaccine Intensifies
One team has announced the success of the vaccine they tested on monkeys, others already launched human trials.
** With nearly a million and a half people infected since 2015, Brazil is the country most affected by the Zika virus outbreak. As more cases are being reported in most Latin American countries, in addition to the 14 locally acquired mosquito-borne cases identified in the United States recently (the previous cases were imported from countries where the virus is rampant), laboratories began to see glimmers of good news on the Zika front.
On Thursday, Science Magazine thus announced the success of a joint effort between the Biomedical Research Institute of the US Army (the Walter Reed Army Institute of Research), Beth Israel Hospital in New York and Harvard Medical School. These institutions have all the molecular biology and virology techniques necessary to develop three candidate vaccines. And preclinical trials conducted on mice and monkeys have shown encouraging results.
“The vaccinated monkeys are protected against the Brazilian and Puerto Rican strains of Zika, as evidenced by the absence of the virus in their blood, urine and secretions post-infection,” the researchers announced. Given the success of the experiment and the absence of side effects, clinical trials in human volunteers should begin by the end of the year.
“These investigations probably started at the end of last year. The quick turnaround for their Zika vaccine results is incredible,” said Stephen Simon Lorière, a virologist at the Institut Pasteur in Paris. In recent months, the research on Zika benefited from the global craze. “There are several teams working on this virus, because of the global public health emergency declared and the substantial funding allocated,” he continued, before adding that the number of publications on the virus had increased exponentially in recent months.
Saving on Precious Time
Another phenomenon appeared along with the epidemic: open science (making scientific research, data and dissemination accessible to all). “As was the case with research on the Ebola virus, some scientists working on Zika shared their results online, instead of going through the conventional publishing circuit, which can be a long and tedious process,” continued the specialist. Thus, at the beginning of this year, Professor David O’Connor’s team (University of Wisconsin-Madison) posted their findings online as soon as they were obtained before publishing them in the prestigious scientific journal Nature Communications. Their discovery that monkeys provided relevant animal models to the study of Zika in humans, as the development of the disease in monkeys is closely related to what they observe in humans, allowed other teams to save on precious time.
This week, the race to develop a vaccine took a new turn with the U.S. Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) announcement on Wednesday, to launch a clinical trial with 80 healthy volunteers aged between 18 and 35. This is the second vaccine experimented on humans. A US-Canadian team also launched another clinical trial in July.
The first dose of the NIAID’s vaccine that was given on Tuesday did not contain the live virus, but a strand of its DNA was used as a carrier in the manufacture of the virus envelope (much like one of the three vaccines developed by the US Army). “This development is encouraging. However, there is currently no vaccine effective in this manner," noted Stephen Simon-Lorière. "Furthermore, several studies showed that this type of vaccine could react with other viruses, such as dengue, in helping them to infect cells.”
According to WHO, there are about ten pharmaceutical companies in the world working to develop a vaccine. Whatever the outcome of these experiments, the vaccine selected will be preventative and therefore cannot be given to pregnant women, who are the ones most at risk. **
As Feared, The Virus Has Reached the United States
The arrival of Zika on United States soil was unfortunately expected. This week, the Florida Health Authorities confirmed the first-known mosquito-borne cases, meaning that a mosquito contaminated the infected person where they live and not while traveling abroad. At last count, 15 people were infected in this southern State of the U.S., including 12 cases reported in the very restricted perimeter near Miami’s Wynwood neighborhood.
The Center for Disease Control and Prevention (CDC) issued a historic health-related travel warning for the first time ever on American soil, discouraging pregnant women from visiting this part of town. “The measures taken to control the mosquito population failed,” recognized Tom Frieden, the Director of the CDC.
“That might be because they were resistant to pesticides or because their spawning grounds were hard to find.” The mosquito species able to transmit Zika (Aedes albopictus and aegypti) are present throughout the south and a large part of the eastern half of the United States. Citing past experiences with dengue and chikungunya, the authorities have not yet feared that the outbreak will expand beyond local perimeters.
By Cecile Thibert - Le Figaro - 08.04.2016
French to English: PROCESS FOR CONTROLLING AN AUTONOMOUS AUTOMATED AGRICULTURAL DEVICE General field: Law/Patents Detailed field: Agriculture
Source text - French Exposé de l’invention
À cet effet, la présente invention propose un dispositif agricole automatisé autonome comportant au moins des moyens d’alimentation en énergie et des moyens de déplacement, les moyens d’optimisation de déplacement lui permettant d’utiliser la géométrie des obstacles qui se trouvent sur la parcelle de culture, dans laquelle il est disposé, pour se déplacer de façon non aléatoire.
II est important de noter ici, concernant la« géométrie des obstacles », qu’il s’agit de détecter et de suivre des rangs de plantations. La géométrie est donc ici formée de « lignes » droite ou courbes, souvent parallèles. II existe des algorithmes appropriés pour détecter cela : « Hough » -marques déposée-, « régression linaire / affine », « force brute » (identification de formes connues, ici des lignes). Dans notre cas les « obstacles » intéressants sont donc les cultures (en rang, en bute, en planches ... ) qui forment des lignes.
Selon un mode de réalisation de l’invention, les obstacles sont formés par des plantations.
Selon un mode de réalisation de l’invention, les moyens d’optimisation de déplacement sont formés par des moyens de vision et des moyens d’analyse d’image associés à un ensemble de moyens informatiques.
Selon un mode de réalisation de l’invention, le dispositif agricole comprend des moyens de collecte de données.
Translation - English Description of the invention
To this end, the present invention proposes an autonomous automated agricultural device comprising at least the means for power supply and means for movement, and means for movement optimization allowing it to use the geometry of the obstacles that are on the parcel of crop, where it can move non-randomly.
It is important to note here, regarding the “geometry of the obstacles,” that this is to detect and follow the rows of crops. The geometry here, is then made of straight or curved “lines”, often in parallel. There are appropriate algorithms to detect it, “Hough”– registered trademark, “linear / affinity regression”, “Brute Force” (identification of known forms, here the lines). In our case the “obstacles” of interest are then the crops (in rows, in beds, in between boards...) that form the lines.
According to one embodiment of the invention, the obstacles are formed by the plants.
According to one embodiment of the invention, the means for movement optimization are formed by means of visualization and means of image analysis associated with a set of computer means.
According to one embodiment of the invention, the agricultural device comprises means for data collection.
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Translation education
Master's degree - NYU
Experience
Years of experience: 14. Registered at ProZ.com: Oct 2014.
English to French (University of Massachusetts Amherst, verified) Spanish to English (University of Massachusetts Amherst, verified) English to French (New York University - School of Continuing and Professional Studies) English to Haitian-Creole (Teachers of English to Speakers of Other Languages)
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