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French to English: RISK FACTORS FOR DEMENTIA IN A SENEGALESE ELDERLY POPULATION General field: Medical Detailed field: Medical (general)
Source text - French FACTEURS DE RISQUE DE DÉMENCE DANS UNE POPULATION DE PERSONNES ÂGÉES SÉNÉGALAISES
DISCUSSION
Une prévalence de 6,6% pour la démence a été observée dans la population à l’étude avec comme facteurs de risque l’âge, la fréquence des contacts hebdomadaires avec les proches, les antécédents d’accident vasculaire cérébral, de maladie de parkinson, d’épilepsie, de troubles digestifs et l’histoire familiale de démence. Le rôle de l’âge dans la survenue de la démence chez la personne âgée a fait l’objet de plusieurs études au niveau clinique et populationnel. Il constitue un véritable facteur de risque de survenue de cette affection. En effet, en Europe [36], aux USA [14] mais aussi en Inde [50], Corée du Sud [61], Chine [24], Brésil [23], Japon [42], Espagne [2], Israël [33] et au Nigeria [20], la démence était significativement associée à l’âge de la personne.
La personne âgée africaine occupe une place éminente dans une société où avancer en âge équivaut à gagner en dignité. Elle vivait en famille sous le même toit que ses enfants, belles-filles et petits-enfants surtout en milieu rural où cette structuration est de règle. Elle occupait une place privilégiée la plaçant au sommet de la hiérarchie sociale car gage de sécurité et gardien des valeurs traditionnelles. Malgré son âge souvent avancé, elle s’investissait dans des activités de développement de la famille et de la communauté. En plus, en tant que détentrice de secret et de sagesse, elle était souvent membre d’associations communautaires et religieuses. Cependant, avec la modernisation de la société, cette organisation sociale a tendance à disparaitre dans les villes. Ainsi, la personne retraitée âgée de surcroit perdant son pouvoir économique et social se retrouvera "abandonnée" et "dévalorisée" avec un impact sur sa santé. Dans notre population à l’étude, plus de 30% de notre population à l’étude avaient des liens faibles à modérés avec les proches et 10,2% avaient peu de contacts hebdomadaires avec eux. Le faible réseau social surtout la faible fréquentation des proches était associée à la survenue de la démence. Ce résultat vient confirmer ce qui a été observé lors d’études réalisées dans des sociétés occidentales mettant en exergue le rôle du faible réseau social dans la survenue de démence [7,8,17,52,58,63]. Cependant, le fait d’être membre d’association communautaire et religieuse n’était pas associé à la survenue de la démence. De nombreuses théories ont été avancées dans la physiopathologie de l’association entre le faible réseau social et la survenue de la démence chez la personne âgée: l’hypothèse de la réserve cognitive, celle vasculaire et celle liée au stress avec la ‘cascade glucocorticoïde’. En effet, pour certains auteurs, le développement du réseau social entraine une plasticité neuronale avec comme conséquence une augmentation de la capacité de réserve du cerveau protégeant ainsi contre la détérioration cognitive [54,57]. Pour d’autres, le réseau social agit de manière indirecte via ses effets bénéfiques sur la prévention des maladies cardiovasculaires, facteurs de risque de détérioration cognitive [22]. Enfin, le faible réseau social peut entrainer un phénomène de stress qui agit sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien avec une augmentation de la sécrétion de glucocorticoïdes. Malheureusement, cette hormone va endommager les cellules nerveuses hippocampiques avec comme conséquence une détérioration de la mémoire [41]. Bennett et al. [9] ont suivi 89 personnes âgées non-démentes et pratiqué des autopsies chez celles décédées pour étudier l’association entre le réseau social et les lésions anatomopathologiques observées au niveau du cerveau. Ils ont montré que l’importance du réseau social était associée à la gravité des lésions anatomopathologiques observées au niveau du cerveau surtout en ce qui concerne le nombre de débris neurofibrillaires. Ce résultat confirme l’importance du réseau social dans la détérioration cognitive de la personne âgée. Cependant, quel que soit le mécanisme causal, il y’a lieu de prendre en considération le rôle d’un important réseau social dans la prévention de la détérioration cognitive chez la personne âgée en général et sénégalaise en particulier face à ce bouleversement social dans lequel vit la personne âgée.
L’accident vasculaire cérébral constitue un véritable problème de santé du fait de sa prévalence élevée mais aussi en tant que l’une des premières causes de mortalité, de handicap et de démence dans le monde [59]. Au Sénégal, il représente la première cause de morbidité et de mortalité à la Clinique Neurologique du Centre Hospitalier Universitaire de Fann [45]. Dans la population à l’étude, seuls 4,8% des patients ont présenté un AVC dans leurs antécédents et cette affection était fortement associée à la démence. La prévalence de la démence chez les survivants d’AVC est d’environ 30% et son incidence varie de 7% après la première année à 48% après 25 ans [38]. La survenue d’un AVC multiplie le risque de démence dans la population, hypothèse confirmée par des études réalisées aux USA [30], en Suède [62] et en Angleterre [43]. L’épilepsie de la personne âgée est fréquente avec une prévalence estimée à 1% après 60 ans [21] et une incidence qui augmente avec l’âge [4]. Elle relève le plus souvent d’une pathologie cérébrovasculaire, métabolique ou d’une démence. Seul 1,4% des patients de notre population à l’étude ont présenté dans leur antécédent de l’épilepsie qui était fortement associée à la démence. En effet, le rôle de l’épilepsie sur la survenue de troubles cognitifs a été bien élucidé par Griffith et al. [18] et Martin et al. [40]. D’autres études épidémiologiques ont confirmé le risque de démence chez les personnes âgées présentant des crises d’épilepsie [11]. Cependant, des questions demeurent quant aux facteurs explicatifs de cette association qui pourrait être en rapport avec la médication antiépileptique, la durée d’évolution des crises épileptiques ou la cause de l’épilepsie elle-même [18].
Quant au rôle de l’hérédité dans la transmission de la démence dans la population de personnes âgées, les résultats observés à travers notre étude confirment cette hypothèse. En effet, Hall et al. [20] au Nigeria, Shaji et al. [53] en Inde and Rait et al. [49] en Angleterre ont montré que l’histoire familiale de démence était un important facteur de risque de survenue de la démence chez les personnes âgées. En plus, de nombreuses études ont démontré le rôle primordial que joue la présence de l’allèle ε4 de l’apolipoprotéine E dans la survenue de la maladie d’Alzheimer chez la population caucasienne et afro-américaine [28,44] même si cette association est absente chez certaines populations africaines [19].
La maladie de Parkinson, la deuxième affection neurodégénérative, est aussi fréquente chez la personne âgée et augment avec l’âge [12]. Son association avec la démence a fait l’objet de plusieurs études et sa prévalence varie entre 24,5 et 31,1% dans la population de patients [1]. Dans notre population à l’étude, la prévalence de la maladie de Parkinson était de 1,5% et cette affection avait un effet protecteur sur la survenue de démence. Ceci est en contradiction avec les résultats d’études populationnelles qui montrent une prévalence élevée de démence parmi la population de personnes atteintes de la maladie de Parkinson [12,29]. Cependant, cet effet protecteur pourrait être lié au traitement dopaminergique reçu par ces patients. En effet, un déficit en dopamine a été observé chez les patients atteints de démence [34]. En plus, la dopaminothérapie a fait l’objet d’essai clinique chez des patients atteints de démence [31]. C’est pourquoi, eu égard à ce résultat, des études plus poussées permettraient de mieux élucider cette hypothèse d’un éventuel rôle protecteur d’une dopaminothérapie chez la personne âgée qui, si elle s’avère positive, ouvrirait la voie de la prévention contre la démence.
Translation - English DISCUSSION
A dementia prevalence of 6.6% was observed in the study population with risk factors such as age, the frequency of weekly contact with family members, previous history of stroke , Parkinson’s disease, epilepsy, digestive disorders and a family history of dementia. The role of age in the onset of dementia in the elderly has been the subject of several studies on both a clinical and population-based level. It constitutes a very real risk factor in the onset of this condition. Indeed, in Europe [36] and the United States [14], as well as in India [50], South Korea [61], China [24], Brazil [23], Japan [42], Spain [2], Israel [33] and Nigeria [20], dementia has been significantly associated with age.
The elderly African occupies a prominent place in a society where getting older is equated to gaining dignity. They used to live under the same roof as their children, step-children and grand children, especially in rural areas where this arrangement was the norm. They also used to occupy a privileged spot placing them at the summit of the social hierarchy as proof of security and as the protector of traditional values. Despite an often advanced age, they would put a lot of themselves into activities benefitting their family and the community. Furthermore, as a holder of secrets and wisdom, they were often members of community and religious groups. However, with the modernisation of society, this social organisation tends to disappear in towns. Thus, the retired elderly citizen, besides losing their economic and social power, will find themselves “abandoned” and “devalued” with an impact upon their health. In our study population, more than 30% of our subjects had weak to moderate relationships with their family members and 10.2% had little weekly contact with them. This weak social network , and especially the lack of contact with relatives, was associated with the onset of dementia. This result also confirms what has been observed in studies conducted in Western societies, highlighting the role played by a weak social network in the onset of dementia [7,8,17,52,58,63]. However, being a member of a community or religious group was not linked with the onset of dementia. Many theories have been put forward in the pathophysiology of the association between a weak social network and the onset of dementia in the elderly: the cognitive reserve (CR) hypothesis , the vascular hypothesis and the “glucocorticoid cascade” hypothesis linked to stress. Indeed, for certain authors, the development of a social network leads to a neuronal plasticity, with a resulting increase in the reserve capacity of the brain, protecting against cognitive decline . [54,57] For others, the social networks acts in an indirect manner via its beneficial effects on the prevention of cardiovascular diseases, which are risk factors in cognitive decline [22]. Finally, a weak social network can lead to a stress disorder which acts upon the hypothalamic-pituitary-adrenal axis with an increase in the secretion of glucocorticoids. Unfortunately, this hormone will cause damage to the hippocampal nerve cells, with a consequent deterioration of memory [41]. Bennett et al [9] followed 89 non-dementia suffering elderly individuals and carried out autopsies on those who died in order to study the association between social network and anatomopathological lesions observed in the brain. They showed that the importance of the social network was linked to the severity of these lesions , especially related to the number of neurofibrillary tangles . These results confirm the importance of the social network in cognitive decline in the elderly. However, whatever the causal mechanism may be, it is necessary to take into consideration the its role in the prevention of cognitive decline in elderly people in general, and elderly Senegalese people in particular, confronted with the social upheaval in which they live.
Stroke constitutes a real health problem because of its high prevalence, but also as one of the leading causes of death, disability and dementia in the world [59]. In Senegal, it represents the leading cause of morbidity and mortality at the Neurology Clinic of the Fann University Health Centre (CHU) [45]. In the study population, only 4.8% of the patients showed a history of stroke and this condition was strongly associated with dementia. The prevalence of dementia in stroke survivors is around 30% and its incidence varies from 7% after the first year to 48% after 25 years [38]. The onset of stroke multiplies the risk of dementia in the population, a hypothesis supported by studies carried out in the USA [30], in Sweden [62] and in England [43].
Epilepsy in the elderly is frequent, with a prevalence estimated at 1% after the age of 60 [21] and an incidence that increases with age [4]. It is most commonly brought on by cerebrovascular disease, metabolic syndrome or from dementia. Only 1.4% of patients in the study population showed a previous history of epilepsy and it was strongly associated with dementia. Indeed, the role of epilepsy in the onset of cognitive disorders has been greatly elucidated by Griffith et al. [18] and Martin et al. [40]. Other epidemiological studies have confirmed the risk of dementia in elderly people who suffer from epileptic fits [11]. However, questions remain as to the causal factors behind this association, which could be linked to antiepileptic medication, the speed of development of epileptic fits or the cause of epilepsy itself [18].
Regarding the role of heredity in the transmission of dementia in the elderly population, results observed in our study confirm the hypothesis. Indeed, Hall et al. [20] in Nigeria, Shaji et al. [53] in India and Rait et al. [49] in England showed that the family history of dementia was an important risk factor in the onset of dementia in the elderly. Furthermore , numerous studies have demonstrated the essential role played by the presence of the apolipoprotein E E4 allele in the occurrence of Alzheimer’s disease within Caucasian and Afro-American communities, even if this association is absent among certain African populations [19].
Parkinson’s disease (PD) , the second most common neurodegenerative disorder, is also frequent in the elderly and increases with age [12]. Its association with dementia has been the subject of several studies and its prevalence varies between 24.5% and 31.1% in the patient population [1]. In our study population, the prevalence of PD was 1.5% and the disease had a protective effect against the onset of dementia. This contradicts the results of population studies which show an increased prevalence of dementia in sufferers of PD [12,29]. However, this protective effect could be linked to the dopaminergic therapy received by the patients. Indeed, a dopamine deficiency has been observed in sufferers of dementia [34]. Furthermore, dopamine therapy has been the subject of clinical trials among sufferers of dementia [31]. That is why, given these results, further studies will be able to better elucidate this hypothesis of the possible protective role of dopamine therapy in the elderly which, if proven positive, would pave the way for the prevention of dementia.
French to English: Athletics in Nanjing General field: Other Detailed field: Sports / Fitness / Recreation
Source text - French Athlétisme hommes à Nanjing : avec les meilleurs juniors du monde !
Les compétitions masculines d’athlétisme à Nanjing ont permis de découvrir les stars de demain. Plusieurs performances de haut vol ont été réalisées durant les trois journées consacrées aux finales, avant que la fête ne s’achève en apothéose avec un inédit relais 8x100m international, mixte et urbain !
23 août : les coureurs jamaïcains répondent présents
Le Jamaïcain Martin Manley à remporté la première finale d’athlétisme des Jeux Olympiques de la Jeunesse de Nanjing, en franchissant la ligne d’arrivée du 400m en 46’’31, devant le Botswanais Karabo Sibanda et le Bahaméen Henri Delauze. Considéré comme un grand espoir du tour de piste, Manley semble taillé pour rejoindre la longue liste des étoiles montantes de l’athlétisme jamaïcain. En s’imposant à Nanjing, il a également signé un joli doublé puisqu’il avait également remporté l’épreuve en 2013, aux Championnats du monde cadets de l’IAAF.
« Je suis très heureux de finir ma saison sur un coup d’éclat, a déclaré Martin Mansley. « A quoi est due ma victoire ? À l’entraînement. J’adore ça. Je suis un athlète stakhanoviste. En athlétisme, tout est difficile et l’entraînement, c’est encore plus dur. Après, c’est facile de gagner. »
Le Chinois Cheng Yulong a de son côté triomphé en finale du lancer du disque en battant son record personnel avec un jet à 64,14 m. Après avoir couru vers ses parents dans les gradins pour fêter sa victoire, Cheng a déclaré qu’il voulait qu’elle inspire ses compatriotes de l’équipe chinoise encore en compétition.
La belle série de victoires des athlètes jamaïcains sur la piste a continué avec Jaheel Hyde, qui a battu son record personnel sur 110m haies, avec un impressionnant chrono de 12.96. « C’est fantastique d’être le meilleur du monde dans ma catégorie d’âge », a dit Hyde. « Je suis là grâce à ma famille qui a fait beaucoup de sacrifices pour m’aider à m’entraîner, et à me rendre sur les compétitions. Ils devaient se lever très tôt pour m’emmener à l’entraînement et cela m’a permis de rester discipliné ».
Le Russe Danil Lysenko a remporté l’or au saut en hauteur en effaçant une barre à 2,20 m. Le Japonais Yuji Hiramatsu et l’Australien Shemaiah James se sont partagé l’argent en battant tous deux leur record personnel avec 2,14 m. « C’était assez difficile de sauter aujourd’hui, » a observé Lysenko. « J’ai fait quelques erreurs, mais j’ai eu du temps pour les corriger. Bien sûr, je suis absolument ravi. Toutefois, je n’ai pas été à mon meilleur niveau ce soir ».
Dans la finale du 100 m hommes, le Zambien Sydney Siame s’est imposé en 10.56, d’un souffle devant le Japonais Kenta Oshima (10.57) et l’Australien Trae Williams (10.60). « Ça faisait si longtemps que la Zambie attendait une médaille dans cette épreuve ! Je suis très heureux d’avoir gagné », a déclaré Siame. […]
Translation - English Athletics (men): Global stardom awaits for Nanjing’s talented youngsters
The men’s athletics at the Nanjing Youth Olympic Games provided an exciting look at the stars of tomorrow. After a series of high-flying performances across three days of finals, the newly-introduced 8x100m mixed team relay provided an exciting finale.
Bright start for Jamaican sprinters
On 23 August, Jamaica’s Martin Manley kicked off the men’s athletics finals with gold in the 400m. Manley finished in a time of 46.31 seconds to see off Karabo Sibanda (BOT) and Henri Delauze (BAH).
The Jamaican runner is seen as a star in the making in the one-lap event and looks set to join a long list of emerging Jamaican talent in track and field. His success in Nanjing completed a memorable double after he won 400m gold at the 2013 IAAF World Youth Championships.
“I’m happy to end my season with a bang,” Manley said. “What do I put my success down to? Training. I love training. I’m a hard-working athlete. Everything in athletics is hard, and training is the hardest part. Winning is the easy bit.”
Later, Jamaica’s hot streak in the track events continued as Jaheel Hyde recorded a personal best in the 110m hurdles, clocking an impressive time of 12.96 seconds.
“It's a great feeling to be the best in the world in my age group,” Hyde said. “My family got me here with the sacrifices they made to get me to training and to the events. They had to get up very early to get me to training, but that’s what keeps me disciplined.”
Meanwhile, China’s Cheng Yulong triumphed in the discus, setting a new personal best of 64.14m.
After running towards his parents in the stands to celebrate, an emotional Cheng said he wanted his victory to inspire the remaining Chinese athletes.
In the high jump, Danil Lysenko (RUS) won gold after clearing 2.20 metres. Yuji Hiramatsu (JPN) and Shemaiah James (AUS) tied for silver, both achieving new personal bests of 2.14m.
“Today was rather difficult to jump, I made some mistakes but I had time to correct them,” Lysenko said. “Of course I’m absolutely delighted but I didn’t put in my best performance tonight.”
Finally, in the 100m final, Sydney Siame (ZAM) won gold in 10.56 seconds, a whisker ahead of Kenta Oshima (JAP) on 10.57 seconds and Trae Williams (AUS) on 10.60 seconds.
“It's been so long since Zambia won a medal in this event,” Siame said. “I'm very happy to win.” […]
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Translation education
Master's degree - University of Hull
Experience
Years of experience: 16. Registered at ProZ.com: Jan 2013.
Translation studies academic and UK-based freelance translator working from French and Italian into English.
Since completing my PhD in 2018, I have worked as a lecturer in Translation Studies in universities across the UK. I currently teach across the undergraduate and postgraduate degrees at Cardiff University, running both practical and theoretical sessions on everything from Trados to translation ethics.
Indeed, my primary research interest is translation ethics and I have written a number of articles, chapters and a textbook in the area. I've also written extensively on the translation profession, including works tackling rates of pay, working conditions, and sustainability.
As a professional translator, my key specialism of sports translation was been developed over the course of several years working in the industry, while personal interest and subsequent opportunities allowed me to gain in-depth experience of social media and marketing translation.