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French to Italian: La douce chaleur d’une destination polaire General field: Art/Literary Detailed field: Tourism & Travel
Source text - French La douce chaleur d’une destination polaire
Des étendues blanches à perte de vue. La neige qui crisse sous les pieds, le froid saisissant qui gèle les narines et le soleil, qui a cette saison, n’atteint jamais le zénith. Toujours rasant, il offre une lumière douce et donne ainsi une touche colorée à ce paysage glacial et féerique qui dessine la Laponie.
Le Père Noël y a sa maison et c’est depuis ce décor soupoudré de neige qu’il prépare, avec l’aide de ses lutins, son traîneau et ses rennes pour livrer ses cadeaux aux enfants du monde entier. Si l’histoire sort tout droit d’un conte de fées, le décor, lui, est bien réel. La Laponie, ce vaste territoire parcourt le nord de la péninsule scandinave: de la Norvège à la Finlande en passant par la Suède.
En hiver, ces terres sont entièrement recouvertes de neige. Le froid y est glacial pouvant atteindre -40 degrés. En grande partie située au-delà du cercle polaire, la Laponie connaît au moins une journée durant laquelle la nuit perdure pendant vingt-quatre heures. Mais la plus grande partie de la saison voit le soleil rasé la cime des sapins. Toujours bas, il offre une lumière qui donne à la neige une couleur oscillant entre l’or et le pastel.
La glisse pour se déplacer
Si le froid peut a priori rebuter…Une fois emmitouflés, les visiteurs se mettent rapidement au rythme lapon. Les commissions, une soirée au restaurant ou se rendre au bureau? La motoneige n’a pas encore réussi à supplanter le ski de fond. Si ici, nous grimpons facilement sur un vélo pour nous déplacer, en Laponie c’est skis au pied et bâtons à la main que les habitants se rendent d’un endroit à l’autre, au cœur même des villages. Des kilomètres de pistes de skis strient la neige, certaines sont même éclairées dessinant des chemins de lucioles dans ce décor pas si monochrome.
Lara Gross
Journal La Gruyère
Cadre coup de cœur:
Si la douceur du soleil colore la neige pendant la journée, la nuit, les aurores boréales prennent le relais. Phénomènes naturels, ces voiles, le plus souvent verts, sont provoqués par des interactions entre des particules chargées du vent solaire et la haute atmosphère. Ces aurores se produisent à proximité des pôles, mais impossibles de les prédire. Seule la patience, le regard plongé dans les étoiles, offre aux plus chanceux un spectacle qu’aucun mot ne peut décrire…
Translation - Italian Il dolce calore di una meta polare
Distese candide a perdita d'occhio. La neve che scricchiola sotto i piedi, il freddo pungente che gela le narici e il sole, che in questa stagione non raggiunge mai lo zenit. La sua luce morbida e sempre radente dona un tocco di colore al paesaggio glaciale e incantato della Lapponia.
Babbo Natale qui è di casa. È in questo paesaggio ammantato di neve che prepara, con l'aiuto dei suoi folletti, la slitta e le renne per la consegna dei doni ai bimbi di tutto il mondo. Se la sua storia è quella di una favola, il paesaggio invece è più che reale. La Lapponia è un vasto territorio che occupa il nord della penisola scandinava, dalla Norvegia alla Finlandia passando dalla Svezia.
D'inverno, queste zone sono interamente ricoperte di neve. Il freddo è glaciale, e le temperature possono scendere a - 40 gradi. Situata in gran parte oltre il Circolo Polare Artico, la Lapponia ha almeno un giorno all'anno durante il quale la notte dura 24 ore. Per lo più, però, il sole sfiora la cima degli abeti. È sempre basso sull'orizzonte e la sua luce conferisce alla neve un colore che oscilla tra l'oro e il pastello.
Gli sci come mezzo di spostamento
Se il freddo a priori può incutere un certo timore, una volta ben coperti, i visitatori adottano rapidamente il ritmo di vita lappone. Qualche commissione da fare, una serata al ristorante, un salto in ufficio? La motoslitta non è ancora riuscita a soppiantare gli sci di fondo. Se qui da noi prendiamo facilmente la bicicletta per i piccoli spostamenti, in Lapponia gli abitanti si recano da un luogo all'altro con sci e bastoncini, anche nel centro dei villaggi. La neve è solcata da chilometri di piste da sci, alcune delle quali sono addirittura illuminate: un tracciato di lucciole in questo paesaggio tutt'altro che monotono.
Lara Gross
Journal La Gruyère
Un luogo del cuore:
Se la dolcezza del sole colora la neve durante la giornata, di notte subentrano le aurore boreali. Questo fenomeno ottico è un gioco di luce naturale, per lo più di colore verde, provocato dall'interazione di particelle cariche di vento solare con gli strati superiori dell'atmosfera. Le aurore si verificano in prossimità dei poli, ma è impossibile prevederle. Solo la pazienza e lo sguardo fisso alle stelle possono offrire ai più fortunati uno spettacolo indescrivibile…
French to Italian: La Croatie, «dolce vita» adriatique d’île en île General field: Art/Literary Detailed field: Tourism & Travel
Source text - French
La Croatie, «dolce vita» adriatique d’île en île
Faisant face à la côte croate, de nombreuses îles encerclées d’eau turquoise baignent dans la mer adriatique. Criques de galets, pinèdes verdoyantes, petits ports de pêche, elles se découvrent au gré des courants.
Elles se nomment Brač, Hvar ou encore Korčula. Elles ont planté leur ancre en mer adriatique. Elles font face à la côte croate, ondulant de Split à Dubrovnik. Elles, ce sont les îles croates, déchiquetées par la mer et habillées de verdures. Encore protégées du tourisme de masse, leurs rives sont peuplées de petites maisons, dont seules les tuiles rouges ornant leur toit les distinguent de la roche calcaire qui compose ces îles. Pour les découvrir, le voyageur apprend à prendre le temps. En bateau, bien que motorisé, le panorama semble s’égrainer au ralenti.
Bains de soleil
Les estimations les plus folles évaluent à plus de mille les îles qui parsèment la côte croate. Après la dernière glaciation, l’eau salée a envahi les zones montagneuses. Les sommets ont maintenu leur tête hors de l’eau, la mer s’est engouffrée, dessinant ainsi leur forme allongée et parallèle à la côte. Avec près de 2700 heures d’ensoleillement annuel, maquis, cyprès, pins, ou encore romarin, sauge et lavande se font une place au paradis. Ce climat a d’ailleurs la réputation de guérir les asthmatiques. Quant à la douceur des rayons du soleil, elle demeure un remède universel…
Lara Gross
Journal La Gruyère
D’un blanc immaculé, les rues de la côte dalmate sont pavées de pierres blanches, lisses, étincelantes. La pierre de Brač donne aux visiteurs le sentiment de parcourir des palais, aussi bien dans les rues des cités croates que dans les monuments de la région. Cette pierre calcaire, qui a la caractéristique de durcir au contact de l’air, orne aujourd’hui le palais de Dioclétien, à Split, mais aussi les grands monuments de Vienne et de Budapest, ou encore au Reichstag de Berlin ou au théâtre de Milan, en passant par le Vatican et la Maison Blanche.
Translation - Italian La Croazia, «dolce vita» adriatica, da un'isola all'altra
Dirimpetto alla costa croata, l'Adriatico è punteggiato di numerose isole circondate dall'azzurro. Baie di ciottoli, pinete verdeggianti, piccoli porti di pesca, queste isole vanno scoperte seguendo le correnti.
Si chiamano Brazza (Brač), Lesina (Hvar) o Curzola (Korčula). Hanno piantato l'ancora nell'Adriatico, di fronte al profilo ondulato della costa croata, tra Spalato (Split) e Ragusa (Dubrovnik). Il mare ne scolpisce le coste, il verde le ricopre. Ancora protette dal turismo di massa, hanno rive ricoperte da casette che solo le tegole consentono di distinguere dalla roccia calcarea di cui sono fatte. Per scoprirle, il viaggiatore impara a non avere fretta. Anche in barca, per quanto a motore, il paesaggio sembra scorrere al rallentatore.
Sole a volontà
Secondo le stime più azzardate, le isolette di cui è disseminata la costa croata sarebbero più di un migliaio. Dopo l'ultima glaciazione, l'acqua salata ha invaso le zone di montagna. Le cime si sono mantenute sopra il pelo dell'acqua, mentre il mare ha invaso ogni recesso, disegnando così la loro forma allungata e parallela alla costa. Con più di 2700 ore di sole all'anno, la macchia mediterranea, i cipressi, i pini e il rosmarino, la salvia e la lavanda si sono accaparrati un posto in paradiso. Questo clima ha peraltro la fama di guarire gli asmatici. Quanto ai dolci raggi del sole, continuano ad essere un rimedio universale …
Lara Gross
Journal La Gruyère
Di un candore immacolato, le stradine della costa dalmata sono rivestite di pietre bianche, lisce, brillanti. La pietra di Brazza (Brač) dà ai visitatori la sensazione di trovarsi all'interno di un palazzo, sia nelle stradine delle città croate che nei monumenti della regione. Questa pietra calcarea, che ha la caratteristica di indurire a contatto con l'aria, impreziosisce il palazzo di Diocleziano a Spalato, ma anche i grandi monumenti di Vienna e di Budapest, oppure il Reichstag di Berlino o il teatro di Milano, senza dimenticare il Vaticano e la Casa Bianca.
German to Italian: Strategien zur EU-Sportpolitik (Landeszeitung) General field: Other Detailed field: Sports / Fitness / Recreation
Source text - German Strategien zur EU-Sportpolitik
Die Europäische Kommission hat auf der Grundlage des Vertrags von Lissabon, der eine eigene EU-Zuständigkeit für Sportpolitik eingeführt hat, neue Vorschläge zur Stärkung der gesellschaftlichen und wirtschaftlichen Rolle sowie der Organisation des Sports angenommen. Die geplanten Maßnahmen sollen vor allem Sportverbänden und Sportlern zugutekommen.
Sportliche Aktivitäten unterliegen dem EU-Recht. Die Wettbewerbs- und Binnenmarktvorschriften gelten insofern für den Sport, als er eine wirtschaftliche Tätigkeit darstellt. Für den Sport gelten außerdem andere wichtige Aspekte des EU-Rechts, wie das Verbot der Diskriminierung aus Gründen der Staatsangehörigkeit, Bestimmungen hinsichtlich der Unionsbürgerschaft und der Gleichstellung von Frauen und Männern.
Die wichtige Rolle des Sports in der europäischen Gesellschaft und seine Besonderheit wurden bereits auf der Tagung des Europäischen Rates in Nizza im Dezember 2000 in einer eigenen Erklärung anerkannt. Dort hieß es, dass die Verantwortung für die Pflege der sportlichen Belange in erster Linie bei den Sportorganisationen und den Mitgliedstaaten liegt, wobei den Sportverbänden eine zentrale Rolle zukommt. Es wurde klargestellt, dass die Sportorganisationen die Aufgabe haben, über Organisation und Weiterentwicklung ihrer jeweiligen Sportart zu entscheiden, „soweit sie dabei einzelstaatliches und Gemeinschaftsrecht beachten“. Gleichzeitig wurde eingeräumt, dass „die Gemeinschaft bei ihren Tätigkeiten im Rahmen des Vertrags die sozialen, erzieherischen und kulturellen Funktionen berücksichtigen muss, die für den Sport so besonders charakteristisch sind, damit die für die Erhaltung seiner gesellschaftlichen Funktion notwendige Ethik und Solidarität gewahrt und gefördert werden“.
Bisher drehte sich das EU-Engagement beim Sport vor allem um wirtschaftliche Aspekte. Seit Inkrafttreten des Lissabon-Vertrags am 1. Dezember 2009 besitzt Europa jedoch erstmals eine rechtliche Grundlage, um die Maßnahmen der Mitgliedstaaten zu unterstützen, zu koordinieren und zu ergänzen. Gleichzeitig sollen die Neutralität und die Transparenz bei sportlichen Wettbewerben sowie die Zusammenarbeit zwischen Sporteinrichtungen gefördert werden. Ferner sorgt der Vertrag für den Schutz der physischen und moralischen Integrität von Sportlern, wobei der Schwerpunkt auf der Jugend liegt.
Da die Europäische Union mit dem Artikel 6 des AEUV keine unmittelbaren rechtlichen Kompetenzen für den Sport erhält, sondern eine unterstützende und fördernde Position einnimmt, kann sie keine Rechtsakte erlassen, sondern nur Empfehlungen und Stellungnahmen ausarbeiten. Auch bleibt eine Harmonisierung der nationalen Rechtsvorschriften im Sport weiterhin ausgeschlossen, weil die EU sich zur Wahrung des Subsidiaritätsprinzips im Sport bekennt. Die Hauptkompetenz im Bereich des Sports verbleibt also in den Händen der Mitgliedsstaaten.
Die wesentlichen Änderungen für den Sport durch den Vertrag von Lissabon sind nicht rechtlicher, sondern vielmehr institutioneller und finanzieller Natur. So wird ein eigener Sportministerrat etabliert, der sich aus den für Sport zuständigen Ministern der Mitgliedsstaaten zusammensetzt. Die Kompetenzen des „Referats Sport“, das der Generaldirektion Bildung und Kultur der Europäischen Kommission angegliedert ist, werden aufgewertet. Das Europäische Parlament kann im Rahmen des Mitentscheidungsverfahrens über die finanzielle Ausstattung von Fördermaßnahmen im Bereich des Sports gleichberechtigt mitentscheiden und innerhalb der Kommission wird Sport zum Querschnittsthema und findet damit auch verstärkt Berücksichtigung in anderen EU Politiken.
Die neue Rechtsgrundlage für den Sport hat auch finanzielle Auswirkungen: Artikel 165 AEUV bietet die rechtliche Basis für ein eigenes EU-Sportförderprogramm, das ab 2012 umgesetzt werden soll. In den Jahren 2009-2010 stellte die Kommission mehr als 6 Millionen Euro zur Unterstützung von rund 40 Projekten im Sportbereich zur Verfügung, die auf Gesundheit, soziale Eingliederung, Freiwilligentätigkeiten, Barrierefreiheit für Menschen mit Behinderung, Gleichstellung der Geschlechter und Doping-Bekämpfung ausgerichtet waren. 2011 werden zwölf weitere Projekte hinzukommen.
Die neue Strategie der Kommission zur Stärkung der europäischen Dimension des Sports stützt sich auf eine Konsultation der Mitgliedsstaaten und der Sportakteure und auf Erfahrungen, die bei der Umsetzung des Weißbuchs "Sport" aus dem Jahr 2007 gesammelt wurden.
Vorgeschlagen wird die Überprüfung eines möglichen EU-Beitritts zum Anti-Doping-Übereinkommen des Europarates, wobei die Kommission unterstreicht, dass die Anti-Doping-Vorschriften und Anti-Doping-Verfahren im Einklang mit dem EU-Recht stehen müssen, also die Grundrechte sowie Prinzipien wie Achtung des Privat- und Familienlebens, Datenschutz, Recht auf einen fairen Prozess und Unschuldsvermutung respektieren müssen.
In der Frage der „doppelten Laufbahnen“ betont die Kommission, wie wichtig es ist, dass jungen Spitzensportlern die Möglichkeit geboten wird, parallel zu ihrem Training eine hochwertige allgemeine und berufliche Bildung zu absolvieren. Daher sollten europäische Leitlinien für die Kombination von Sporttraining und Bildung ausgearbeitet werden.
Da Zuschauergewalt und Unruhen im Sport nach wie vor ein europaweites Phänomen sind und Rassismus, Fremdenfeindlichkeit und andere Formen der Intoleranz immer noch Probleme im europäischen Sport auch auf Amateurebene verursachen, wird die Kommission künftig Sicherheitsanforderungen und vorkehrungen für internationale Sportveranstaltungen entwickeln.
Rund 2 % des weltweiten Bruttoinlandsprodukts werden vom Sportsektor erzeugt. Große Sportveranstaltungen und Sportwettkämpfe können in erheblichem Maße zur Entwicklung des Fremdenverkehrs in Europa genutzt werden. Trotz der insgesamt großen wirtschaftlichen Bedeutung des Sports finden die allermeisten sportlichen Aktivitäten jedoch innerhalb gemeinnütziger Strukturen statt, die sich auf die Tätigkeit von Ehrenamtlichen stützen. Die Nachhaltigkeit der Finanzierung dieser Strukturen gibt Anlass zu Besorgnis, weshalb die finanzielle Solidarität zwischen Profi- und Breitensport verstärkt werden sollte.
Die Kommission hat eine Studie zur Finanzierung des Breitensports in Auftrag gegeben, welche darüber Aufschluss geben soll, welche Bedeutung die verschiedenen Finanzierungsquellen für den Breitensport tatsächlich haben, etwa öffentliche Zuschüsse, Beiträge der privaten Haushalte und Beiträge durch ehrenamtliche Tätigkeit, Sponsoren, Verkauf von Medienrechten und Einkünfte aus dem Glücksspiel. Die Ergebnisse der Studie werden die Grundlage für die Entscheidung bilden, ob und welcher Handlungsbedarf in diesem Bereich besteht.
Auf jeden Fall setzt sich die Kommission schon jetzt für eine stärkere Berücksichtigung der Rechte des geistigen Eigentums im Sportbereich ein. Sie fordert die Einführung von Mechanismen zur zentralen Vermarktung von Medienrechten durch die Sportverbände, um eine angemessene Verteilung der Einkünfte sicherzustellen. Die Kommission ruft außerdem zum Austausch bewährter Verfahren für die transparente und nachhaltige Finanzierung des Sports und zur vollen Ausschöpfung der Möglichkeiten der Strukturfonds für den Sport auf.
Weitere Ziele der neuen EU-Sportpolitik sind:
• die Entwicklung von Standards für den Zugang zu Sportvereinen, sportlichen Aktivitäten und Veranstaltungen sowie zu Veranstaltungsorten nach Maßgabe der EU-Strategie für Menschen mit Behinderungen;
• Weitere Schritte in Richtung nationaler Leitlinien auf Grundlage der EU-Leitlinien für körperliche Aktivität;
• die Förderung des Zugangs von Frauen zu Führungspositionen im Sport;
• die Förderung von "Good Governance" im Sport unter Berücksichtigung seiner Sonderstellung;
• die Durchführung einer Studie zu Transferbestimmungen;
• die Aufstellung von Leitlinien dafür, wie die EU-Bestimmungen zur Freizügigkeit der Bürgerinnen und Bürger mit der Organisation von Wettkämpfen in den einzelnen Sportarten auf nationaler Basis in Einklang gebracht werden können.
Sport ist ein bedeutender Faktor für die europäische Wirtschaft und ein Schlüsselelement des europäischen Sozialmodells. Im Sport spiegeln sich viele unserer Werte wider: Respekt des Anderen, Vielfalt, Beachtung gemeinsamer Regeln und Solidarität. Es ist wichtig, dass Menschen Sport treiben, umso mehr, wenn man sich die Probleme vor Augen führt, mit denen die europäische Bevölkerung zu kämpfen hat: Überalterung, Übergewicht und Fettleibigkeit.
Alle Informationen zum Thema Sport und EU finden sich auf der Webseite: http://ec.europa.eu/sport/index_de.htm
AS 15. Februar 2011
Translation - Italian La politica dell'Unione Europea nel campo dello sport e le sue strategie
Sulla base del Trattato di Lisbona, che ha introdotto una competenza dell'Unione Europea per la politica sportiva, la Commissione Europea ha approvato alcune nuove proposte per il rafforzamento del ruolo sociale ed economico dello sport e per la sua organizzazione. Le misure previste andranno soprattutto a beneficio delle federazioni sportive e degli atleti.
L'attività sportiva è disciplinata dal diritto comunitario. Le norme sulla concorrenza e sul mercato interno si applicano allo sport nella misura in cui rappresenta un'attività economica. Allo sport si applicano inoltre altri aspetti importanti del diritto comunitario, come il divieto di discriminazione sulla base della nazionalità, le norme sulla cittadinanza dell'Unione e sull'uguaglianza tra uomo e donna.
L'importanza del ruolo dello sport nella società europea e la sua specificità sono già stati riconosciuti in una specifica dichiarazione del Consiglio europeo di Nizza, nel dicembre 2000. Stando a questo documento, le associazioni sportive e gli Stati membri hanno una responsabilità fondamentale nella conduzione delle questioni inerenti allo sport. Un ruolo centrale incombe alle federazioni sportive. Si ribadisce che le organizzazioni sportive devono onorare il proprio compito di organizzare e promuovere i loro sport “nel rispetto delle normative nazionali e comunitarie”. Allo stesso tempo, si riconosce che, “nell’azione che esplica in applicazione delle differenti disposizioni del trattato, la Comunità deve tener conto, anche se non dispone di competenze dirette in questo settore, delle funzioni sociali, educative e culturali dello sport, che ne costituiscono la specificità, al fine di rispettare e di promuovere l’etica e la solidarietà necessarie a preservarne il ruolo sociale”.
Finora, l'impegno comunitario in fatto di sport era imperniato più che altro sugli aspetti economici. Dall'entrata in vigore del Trattato di Lisbona, il 1 dicembre 2009, l'Europa dispone tuttavia per la prima volta di una base giuridica per sostenere, coordinare e integrare le misure degli Stati membri. Vanno inoltre promosse la neutralità e la trasparenza delle competizioni sportive e la collaborazione tra gli impianti sportivi. Il Trattato si occupa anche della tutela dell'integrità fisica e morale degli sportivi, in particolare dei giovani.
Secondo quanto previsto dall'articolo 6 del Trattato sul Funzionamento dell'Unione Europea (TFUE), all'Unione Europea non viene assegnata una competenza giuridica diretta in fatto di sport, ragion per cui non può produrre atti giuridici, ma limitarsi all'elaborazione di raccomandazioni e prese di posizione. Resta inoltre ancora esclusa un'armonizzazione delle norme giuridiche nazionali nel campo dello sport. In quest'ambito, la scelta dell'Unione Europea è stata infatti quella di attenersi al principio di sussidiarietà. La competenza principale in fatto di sport rimane così nelle mani degli Stati membri.
Nel campo dello sport, le principali modifiche introdotte dal Trattato di Lisbona non sono di tipo giuridico, bensì soprattutto di natura istituzionale e finanziaria. Verrà pertanto istituito un Consiglio specifico dei Ministri dello sport, composto dai Ministri competenti degli Stati membri. Si sono inoltre aumentate le competenze dell'Unità sport, che fa capo alla Direzione Generale Istruzione e Cultura della Commissione Europea. Il Parlamento Europeo, nell'ambito della procedura di codecisione, può contribuire a stabilire, con pari diritti, la dotazione finanziaria delle azioni di sostegno nel campo dello sport. All'interno della Commissione, lo sport è ormai un tema trasversale, e in quanto tale gode di maggior considerazione in altre politiche comunitarie.
Questo nuovo posizionamento giuridico dello sport comporta anche alcune conseguenze di natura finanziaria: l'articolo 165 del TFUE rappresenta la base giuridica per un programma comunitario di sostegno dello sport, la cui applicazione inizierà nel 2012. Negli anni 2009-2010, la Commissione ha destinato più di 6 milioni di euro al sostegno di una quarantina di progetti nel campo dello sport, che perseguivano obiettivi di salute, coesione sociale, attività di volontariato, accessibilità per i disabili, uguaglianza tra i sessi e lotta contro il doping. Nel 2011, quest'elenco verrà arricchito da altri dodici progetti.
La nuova strategia della Commissione per il rafforzamento della dimensione europea dello sport poggia su una consultazione degli Stati membri e dei protagonisti del settore, ma anche sulle esperienze raccolte nell'ambito dell'attuazione del Libro Bianco sullo sport (2007 ).
Tra le proposte, c'è quella di valutare una possibile adesione dell'UE alla Convenzione contro il doping del Consiglio d'Europa. A questo proposito, la Commissione sottolinea che le norme e il processo antidoping devono essere in armonia con il diritto comunitario, e pertanto devono rispettare, oltre ai diritti fondamentali, anche principi quali il rispetto della privacy e della vita familiare, la tutela dei dati, il diritto a un processo equo e la presunzione di innocenza.
Quanto alla questione del "doppio binario", la Commissione sottolinea l'importanza che i giovani atleti di punta abbiano la possibilità di allenarsi e parallelamente di ricevere una formazione di qualità, sia generale che professionale. Andrebbero pertanto elaborati degli orientamenti europei sulla conciliazione tra allenamento sportivo e istruzione.
La violenza delle tifoserie e i disordini nel mondo dello sport sono tuttora un fenomeno che interessa tutti i paesi europei. Il razzismo, la xenofobia e altre forme di intolleranza continuano a provocare problemi allo sport europeo, anche a livello amatoriale. Per questo motivo, in futuro, la Commissione intende sviluppare requisiti di sicurezza e misure di protezione per le manifestazioni sportive internazionali.
Il settore sportivo genera circa il 2% del prodotto interno lordo mondiale. Le grandi manifestazioni e competizioni sportive possono contribuire notevolmente alla crescita del turismo in Europa. Benché lo sport abbia complessivamente una notevole importanza economica, la maggior parte delle attività sportive continuano a svolgersi all'interno di strutture pubbliche, sostenute dall'attività di volontari. La sostenibilità del finanziamento di queste strutture è fonte di preoccupazioni. Alla luce di queste considerazioni, si dovrebbe rafforzare la solidarietà tra sport professionistico e dilettantistico.
La Commissione ha sollecitato uno studio sul finanziamento dello sport amatoriale. Grazie a questo studio, sarà possibile comprendere quale sia l'importanza reale delle diverse fonti di finanziamento per gli sport dilettantistici (contributi pubblici, contributi delle famiglie e del volontariato, sponsorizzazioni, vendita di diritti media e entrate derivanti dai giochi di fortuna). I risultati di questo studio consentiranno di decidere in merito alla necessità o meno di un intervento in quest'ambito.
Ad ogni modo, già da adesso la Commissione è favorevole a una maggior considerazione dei diritti di proprietà intellettuale nel campo dello sport. Essa chiede l'introduzione di meccanismi per la vendita centralizzata dei diritti di diffusione da parte delle federazioni sportive, in modo da assicurare un'equa ripartizione delle entrate. La Commissione auspica inoltre lo scambio di buone pratiche per il finanziamento trasparente e sostenibile dello sport, augurandosi il pieno sfruttamento delle possibilità offerte dal Fondo Strutturale per lo sport.
Tra gli obiettivi della nuova politica europea dello sport rientrano anche:
• lo sviluppo di standard per l'accesso alle associazioni e alle attività sportive, alle manifestazioni e alle loro sedi, sulla base della strategia dell'Unione europea per le persone con disabilità;
• altri passi in direzione di linee d'azione nazionali che si ispirino alle linee d'azione europee in materia di attività fisica;
• promuovere l'accesso delle donne a posizioni di leadership nello sport;
• incentivare la "buona governance" nello sport, tenendo conto della sua particolare posizione;
• condurre uno studio sulle norme sul trasferimento degli atleti;
• predisporre orientamenti relativi alla conciliazione tra le norme comunitarie sulla libera circolazione dei cittadini e l'organizzazione di competizioni sportive su base nazionale nelle singole discipline.
Lo sport è un fattore importante per l'economia europea e un elemento chiave del modello sociale europeo. Nello sport si riflettono molti dei nostri valori: il rispetto altrui, la diversità, il rispetto delle regole comuni e la solidarietà. La pratica sportiva è importante, a maggior ragione se si considerano i problemi che la popolazione europea si trova a dover fronteggiare: l'invecchiamento, il sovrappeso e l'obesità.
Per informazioni sul tema "Sport e Unione Europea" consultare il sito http://ec.europa.eu/sport/index_de.htm
AS 15 febbraio 2011
German to French: Studie zu Wanderungen von Tieren General field: Science Detailed field: Environment & Ecology
Source text - German Studie zu Wanderungen von Tieren
Eine unlängst an der Universität Lausanne/CH abgeschlossene Arbeit beschäftigt sich mit der Wanderung von Tieren in den heutigen durch Autostrassen, Bahnlinien und Siedlungen zerschnittenen Landschaften. Es wurde ein Modell entwickelt, welches die „Durchlässigkeit“ von Landschaften bestimmen und somit die Wanderungsmöglichkei-ten der Tiere aufzeigen soll. Die Wanderungen sechs ausgewählter Tierarten (Hirsch, Luchs, Dachs, Ringelnatter, Kröte und eine Schmetterlingsart) wurden für das Studiengebiet im Schweizer Rhônetal zwischen St. Moritz und Evionnaz untersucht. Als meistbenutzter Korridor konnte der Bois Noir eruiert werden. Der Wald scheint sowohl aufgrund seiner Lage als auch in seiner ökologischen Funktion als wesentliches Bindeglied für Wildtierwanderungen in der Rhône-Ebene zu fungieren.
Quelle: http://www.biodiversity.ch/services/ibs/detail.php?id=368
Translation - French Étude sur la migration des animaux
Un travail récent de l’Université de Lausanne/CH s’est occupé des migrations des animaux dans les paysages d’aujourd’hui, fragmentés par les infrastructures routières, ferroviaires et urbaines. Il a été développé un modèle qui permet de déterminer la « perméabilité » des paysages et par conséquent les possibilités de migration des animaux. Les déplacements de six espèces animales choisies dans la zone d’étude (la vallée du Rhône en Suisse, entre St. Moritz et Evionnaz) ont été étudiés. Or, le passage à faune le plus utilisé est la forêt du Bois Noir. Son emplacement et sa valeur écologique sont donc des maillons essentiels pour les déplacements de la faune sauvage dans la plaine du Rhône. Source : http://www.biodiversity.ch/services/ibs/detail.php?id=368
German to French: Ökonomische und ökologische Auswirkungen der Beschneiung General field: Science Detailed field: Environment & Ecology
Source text - German Ökonomische und ökologische Auswirkungen der Beschneiung
Eine neue Studie der Schweizerischen Forschungsanstalt WSL zeigt Auswirkungen der technischen Beschneiung auf Regionalwirtschaft, Ressourcenverbrauch und Umwelt. Als Untersuchungsgebiete für die Studie dienten die drei Schweizer Win-tersportorte Davos, Scuol und Braunwald. Eine Wertschöpfungsanalyse in der Gemeinde Davos zeigte, dass in Davos durch schneearme Winter ohne den Ein-satz von Kunstschnee ein Verlust von bis zu 10% des regionalen Volkseinkom-mens eintreten könnte. Gästebefragungen deuteten darauf hin, dass bei der Wahl der Destination die Schneesicherheit ein wichtiger, aber nicht der einzige Faktor ist. Sie wird gemäss Studie aber vom Gast vermehrt als selbstverständliches Grund-angebot vorausgesetzt.
Der Wasserverbrauch durch die technische Beschneiung ist gegenüber dem Energieverbrauch beträchtlich. Laut den Forschenden macht er bis zu 30% im Verhältnis zum gesamten Wasserverbrauch in den Untersuchungsgebieten aus. In Zukunft wird sich regionalen Klimaszenarien der Studie zufolge, welche Temperaturanstiege prognostizieren, das Beschneiungspotenzial zudem deutlich verringern.
Quelle, Infos und Download der Studie: http://www.wsl.ch/forschung/forschungsprojekte/klimawandel_wintertourismus (de/en)
German to Italian: Arbeitnehmerfreizügigkeit in der EU - Acht neue Mitgliedstaaten von 2004 sind endlich vollberechtigt General field: Other Detailed field: Government / Politics
Source text - German Arbeitnehmerfreizügigkeit in der EU - Acht neue Mitgliedstaaten von 2004 sind endlich vollberechtigt
Am 1. Mai 2011 eröffneten sich für Staatsangehörige Polens, Ungarns, Tschechiens, der Slowakei, Sloweniens, Estlands, Lettlands sowie Litauens neue Möglichkeiten am Arbeitsmarkt. Die Beschränkungen ihres Rechts auf Beschäftigung in einem anderen EU – Mitgliedstaat wurden aufgehoben.
Die Freizügigkeit der Arbeitnehmerinnen und Arbeitnehmer in der EU ist eine Grundfreiheit des europäischen Binnenmarktes, in dem sich die Menschen frei bewegen und in anderen Mitgliedstaaten eine Beschäftigung aufnehmen können. Sie ist in Art. 45 ff. des Vertrags über die Arbeitsweise der Europäischen Union (AEUV) sowie in Art. 15 der Charta der Grundrechte der Europäischen Union verankert.
Ein Arbeitsmarkt, der allen Bürgerinnen und Bürgern der EU gleiche Chancen eröffnet, gehört somit zum Fundament des gemeinsamen europäischen Hauses.
Dieselben Arbeitsbedingungen für alle EU - Bürger
Für einen EU –Bürger, der in einem anderen EU – Land arbeitet, gelten daher dieselben Arbeitsbedingungen (zum Beispiel Entlohnung, Kündigung und berufliche Wiedereingliederung) wie für seine Kollegen, die Staatsangehörige dieses Landes sind. Zudem muss ihm auch der Zugang zu Fortbildung ermöglicht werden.
Dies gilt auch im Sportbereich, sowohl für Berufssportler als auch für Halbprofis.
Arbeitnehmer aus anderen EU-Mitgliedstaaten haben Anrecht auf soziale und steuerliche Begünstigungen. Dazu zählen unter anderem Fahrpreisermäßigungen für kinderreiche Familien im öffentlichen Personenverkehr, Kindergeldleistungen und Leistungen zur Sicherung des Existenzminimums. Zudem müssen beispielsweise Arbeitssuchenden aus anderen EU - Ländern Geldleistungen zur Unterstützung der Arbeitssuche gewährt werden, wenn die Arbeitssuchenden tatsächlich einen direkten Bezug zum örtlichen Arbeitsmarkt haben, zum Beispiel sich dort eine angemessene Zeit lang um einen Arbeitsplatz bemüht haben.
Auch Grenzgänger (Personen, die eine Ländergrenze überschreiten, um an ihren Arbeitsplatz zu gelangen und mindestens einmal pro Woche nach Hause zurückkehren) erhalten dieselben Begünstigungen wie andere Arbeitnehmer in ihrem Beschäftigungsland.
Obwohl der Gerichtshof der Europäischen Union festgestellt hat, dass auf diese Vergünstigungen keine Wohnorterfordernis angewandt werden dürfte, sind Grenzgänger jedoch zuweilen nach wie vor mit besonderen Problemen konfrontiert, wenn sie soziale Begünstigungen beantragen, da diese noch immer wohnortgebunden gewährt werden.
Ausnahmen für die Gleichbehandlung von Arbeitnehmern
Die Arbeitnehmerfreizügigkeit kann ausnahmsweise eingeschränkt werden. Ausnahmen für die Gleichbehandlung von Arbeitnehmern aus EU - Mitgliedstaaten können aber lediglich mangelnde Sprachkenntnisse oder zeitlich begrenzte Beschränkungen für Arbeitnehmer aus neuen EU – Ländern sein.
So kann von Stellenbewerbern aus anderen EU – Ländern der Nachweis verlangt werden, dass sie die für den Arbeitsplatz nötigen Sprachkenntnisse besitzen. Der verlangte Umfang der Sprachkenntnisse muss allerdings für die fragliche Stelle sinnvoll und erforderlich sein und der Arbeitgeber darf zum Nachweis dieser Kenntnisse nicht ausschließlich ein bestimmtes Diplom gelten lassen.
Für die Staatangehörigen aus neuen EU – Mitgliedsländern kann hingegen während einer Übergangsfrist der Zugang zum Arbeitsmarkt der anderen Mitgliedstaaten noch Beschränkungen unterliegen.
Nicht zulässig ist hingegen eine Einschränkung der allgemeinen Reisefreiheit, die vom Schengenabkommen garantiert wird. Diesbezüglich stand allerdings vor kurzem zur Diskussion, ob die derzeitige Schengen-Vereinbarung zum grenzfreien Reiseverkehr reformiert werden und innerhalb der EU wieder befristete Grenzkontrollen eingeführt werden sollen. Auslöser für diese Debatte war die Tatsache, dass Italien tunesische Flüchtlinge mit befristeten Schengen-Visa ausgestattet hatte, mit denen sie in andere EU-Staaten reisen konnten.
Dieses Vorgehen hatte insbesondere in Frankreich für Verstimmung gesorgt, da viele Tunesier von Italien nach Frankreich weiterreisen wollten. Die französischen Behörden hatten daher kurzfristig die Grenzen nach Italien geschlossen und die Grenzkontrollen verstärkt.
Daher legte die EU-Kommission am 4. Mai nicht nur eine Reihe von Vorschlägen zur Reform der Schengen-Vereinbarung von 1995 vor, sondern auch zur Stärkung der EU-Grenzagentur Frontex und zu den Beziehungen zu den südlichen Mittelmeerländer. Diese Vorschläge der Kommission werden beim EU-Innenministerrat und beim Europäischen Rat im Juni besprochen.
Was hingegen die Arbeitnehmerfreizügigkeit anbelangt, so besteht die Möglichkeit, dass in den ersten beiden Jahren nach dem Beitritt eines Landes zur EU der Zugang seiner Arbeitnehmer zu den Arbeitmärkten der Länder, die vor seinem Beitritt bereits Mitglied der EU waren, durch deren jeweilige nationale Rechtsvorschriften und Politik geregelt werden. So kann beispielsweise vorgesehen werden, dass ein Arbeitnehmer aus einem neuen EU -Mitgliedstaat eine Arbeitsgenehmigung benötigt.
Wenn ein Land derartige Beschränkungen für weitere drei Jahre beibehalten will, muss es die Kommission vor Ablauf der ersten beiden Jahre darüber unterrichten. Anschließend haben die früheren Mitgliedstaaten die Möglichkeit diese Beschränkungen für weitere zwei Jahre aufrechtzuerhalten, wenn Sie der Kommission mitteilen, dass ihr nationaler Arbeitsmarkt mit schwerwiegenden Problemen konfrontiert ist. Die Beschränkungen für Arbeitnehmer aus neuen EU – Mitgliedsländern müssen nach maximal sieben Jahren aufgehoben werden. Außerdem ist den Arbeitnehmern für die nationale Beschränkungen gelten, in jedem Fall Vorrang vor Arbeitnehmern aus Drittländern einzuräumen.
Einschränkungen der Arbeitnehmerfreizügigkeit im Beitrittsvertrag von 2003
Wie bei fast allen EU – Erweiterungen üblich, erlaubte auch der Beitrittsvertrag von 2003 den damaligen 15 Mitgliedstaaten, das Recht der Arbeitnehmer aus acht der 10 Beitrittsländer von 2004, in einem anderen Mitgliedstaat eine Arbeit aufzunehmen, während einer siebenjährigen Übergangsfrist einzuschränken. Damit sollten negative Auswirkungen auf den Arbeitsmarkt und die soziale Lage in den damaligen 15 EU – Mitgliedstaaten vermieden werden.
Die acht neuen EU – Mitgliedsstaaten Polen, Ungarn, Tschechien, die Slowakei, Slowenien, Estland, Lettland sowie Litauen waren von der Übergangsregelung von 2003 betroffen. Für Malta und Zypern war hingegen keine Beschränkung der Arbeitnehmerfreizügigkeit vorgesehen.
Die Übergangsregelung sah drei Phasen vor (2 3 2 Jahre), in denen verschiedene, immer strengere Bedingungen galten, unter denen die Mitgliedstaaten den Zugang zu ihrem Arbeitsmarkt einschränken durften. Tendenziell wurden dafür Arbeitserlaubnisregelungen angewandt.
Die Mitgliedstaaten konnten ihren Arbeitsmarkt jedoch jederzeit öffnen. Von dieser Möglichkeit machten Irland, Großbritannien und Schweden bereits ab 1. Mai 2004 Gebrauch. Die übrigen 12 Mitgliedstaaten beschränkten hingegen Zugang zu ihrem Arbeitsmarkt, worauf drei der acht neuen EU – Mitgliedstaaten - Ungarn, Polen und Slowenien - im Gegenzug den Arbeitsmarktzugang für die Staatsangehörigen dieser Länder ebenfalls beschränkten.
In den darauffolgenden drei Jahren erhielten die Arbeitnehmer der acht neuen EU- Länder nach und nach freien Zugang zum Arbeitsmarkt von insgesamt 8 neuen Mitgliedstaaten (2006: Griechenland, Spanien, Portugal, Finnland und Italien, 2007: Niederlande und Luxemburg, 2008: Frankreich), woraufhin die Gegenmaßnahmen in Slowenien und Polen entfielen.
Am 1. Mai 2009 öffneten auch Belgien und Dänemark ihren Arbeitsmarkt für die Staatsbürger aus den acht neuen EU – Mitgliedstaaten, die ungarischen Gegenmaßnahmen wurden aufgehoben.
Bereits in den letzten zwei Jahren des Übergangszeitraums hielten somit nur noch Österreich und Deutschland wesentliche Zugangsbeschränkungen für ihren Arbeitsmarkt aufrecht.
Mit Ende dieser Übergangsfrist hat sich allerdings herausgestellt, dass die ursprünglichen Befürchtungen eines massiven Zustroms von Arbeitnehmern aus Osteuropa übertrieben waren. Auch für die Zeit nach dem 1. Mai 2011 wird von der europäische Kommission keine massive Neuzuwanderung von Arbeitskräften erwartet.
Auswirkungen auf den italienischen Arbeitsmarkt
Für den italienischen Arbeitsmarkt wird sich mit der neuen Arbeitnehmerfreizügigkeitsregelung wahrscheinlich wenig ändern. Die Beschränkungen für Arbeitnehmer aus dem benachbarten Slowenien sind zwar hinfällig, für eine Arbeitnehmerwelle gibt es aber bisher keine Anzeichen. In Italien galten die Einschränkungen für Osteuropäer unter anderem für Tätigkeiten im Polizei oder Militärbereich, in denen auch andere europäische Einwanderer bisher wenig arbeiten. Die meisten EU – Bürger in Italien arbeiten auf dem Bau oder im Pflegebereich. Zudem sind in Italien vorwiegend Staatsangehörige der beiden Mitgliedstaaten Rumänien und Bulgarien beschäftigt, die erst 2007 der EU beigetreten sind, und für die die Beschränkungen der Arbeitnehmerfreizügigkeit zum Teil vorerst weiter gelten, da sie von den aktuellen Änderungen nicht betroffen sind.
Veronika Meyer
Brüssel
Translation - Italian Libera circolazione dei lavoratori nell'UE - Gli otto paesi entrati nel 2004 godono finalmente di pieni diritti
Il 1 maggio 2011, per i cittadini di Polonia, Ungheria, Repubblica Ceca, Slovacchia, Slovenia, Estonia, Lettonia e Lituania si sono aperte nuove opportunità sul mercato del lavoro. Sono infatti venute meno le restrizioni al loro diritto di lavorare in un altro stato membro dell'Unione Europea.
La libera circolazione dei lavoratori all'interno dell'UE è una delle libertà fondamentali del mercato unico europeo, in cui i cittadini possono muoversi liberamente e lavorare in altri Stati membri. Questa libertà è sancita dall'art. 45 e sgg. del Trattato sul funzionamento dell'Unione europea (TFUE) e dall'art. 15 della Carta dei diritti fondamentali dell'Unione Europea .
Un mercato del lavoro in cui tutti i cittadini dell'Unione Europea godano di pari opportunità è pertanto uno dei fondamenti della casa comune europea.
Le stesse condizioni di lavoro per tutti i cittadini dell'UE
Per un cittadino europeo che lavori in un altro paese dell'Unione valgono pertanto le stesse condizioni che si applicano ai suoi colleghi, cittadini del paese in questione (per es. retribuzione, licenziamento e reintegrazione nella vita lavorativa). Deve inoltre essere consentito l'accesso alla formazione.
Queste norme si applicano anche in campo sportivo, sia per gli atleti professionisti che per i semi-professionisti.
I lavoratori provenienti da altri Stati membri dell'Unione Europea hanno diritto ad agevolazioni sociali e fiscali, quali per es. riduzioni sui trasporti pubblici per le famiglie numerose, assegni familiari e prestazioni finalizzate ad assicurare il minimo vitale. Inoltre, ai cittadini di altri paesi dell'Unione Europea in cerca di lavoro dovranno essere concesse prestazioni monetarie per aiutarli nella ricerca di un'occupazione, a condizione che le persone in cerca di lavoro abbiano effettivamente un legame diretto con il mercato del lavoro locale, per es. che abbiano cercato di conseguirvi un'occupazione per un periodo adeguato.
Anche i lavoratori frontalieri (le persone che attraversano un confine per recarsi sul posto di lavoro, rientrando a casa propria almeno una volta alla settimana) godono delle stesse tutele a cui hanno diritto gli altri lavoratori del paese in cui lavorano.
Sebbene la Corte di Giustizia dell'Unione Europea abbia stabilito che queste tutele non possano essere vincolate all'obbligo di residenza, capita tuttavia che i pendolari si trovino ancora a dover affrontare problemi particolari all'atto della richiesta di prestazioni sociali che continuano ad essere subordinate alla residenza.
Eccezioni alla parità di trattamento dei lavoratori
In via eccezionale, possono essere ammesse delle limitazioni alla libera circolazione dei lavoratori. Le uniche eccezioni consentite alla parità di trattamento dei lavoratori provenienti dai Paesi membri dell'Unione Europea sono tuttavia una conoscenza linguistica insufficiente o restrizioni di durata limitata per i lavoratori provenienti dai nuovi Stati membri.
Per occupare un posto di lavoro, ai candidati provenienti da altri Paesi membri dell'Unione Europea può essere chiesto di dimostrare di possedere le conoscenze linguistiche necessarie. Il livello di conoscenza della lingua richiesto deve tuttavia essere ragionevole, e rapportato alle necessità reali del lavoro in questione; per accertarlo, il datore di lavoro non può limitarsi a richiedere un determinato diploma.
Per i cittadini provenienti dai nuovi Paesi membri dell'UE possono comunque permanere restrizioni all'accesso del mercato del lavoro degli altri Paesi membri, per tutta la durata di un periodo di transizione.
Non è tuttavia consentito limitare la libertà di circolazione generale, che è garantita dall'accordo di Schengen. A questo proposito, recentemente è sorta una discussione in merito alla necessità di una riforma dell'attuale accordo di Schengen sulla creazione di uno spazio di libera circolazione senza frontiere e sull'opportunità di ripristinare, a tempo determinato, i controlli alla frontiera all'interno dell'Unione Europea. A scatenare questo dibattito era stata la decisione italiana di dotare i rifugiati tunisini di visti temporanei di Schengen, con cui avrebbero potuto viaggiare in altri Paesi membri dell'Unione Europea.
Questa decisione aveva particolarmente irritato i Francesi, poiché molti Tunisini intendevano proseguire il loro viaggio, passando dall'Italia alla Francia. Per questo motivo, le autorità francesi avevano deciso di chiudere transitoriamente le frontiere con l'Italia, intensificando i controlli ai valichi.
A seguito di quest'episodio, la Commissione europea, in data 4 maggio, ha presentato una serie di proposte non solo per la riforma dell'accordo di Schengen del 1995, ma anche per il rafforzamento della sua agenzia di frontiera, il Frontex , e per le relazioni con i paesi del sud del Mediterraneo. Queste proposte saranno discusse in occasione del Consiglio dei Ministri degli Interni dell'UE e nell'ambito del Consiglio Europeo di giugno.
Per quanto concerne la libera circolazione dei lavoratori, è possibile che nei primi due anni successivi all'adesione di un paese all'Unione Europea, l'accesso dei suoi lavoratori ai paesi già facenti parte dell'Unione Europea all'atto dell'adesione possa essere disciplinato dalla normativa e politica nazionale di questi ultimi. Può essere previsto, per esempio, che un lavoratore proveniente da un nuovo Paese membro possa avere bisogno di un permesso di lavoro.
Se un paese desidera mantenere queste restrizioni per altri tre anni, deve provvedere ad informarne la Commissione prima della scadenza dei primi due anni. Infine, i Paesi già membri hanno la possibilità di mantenere queste restrizioni per altri due anni se comunicano alla Commissione che il loro mercato del lavoro nazionale si trova a dover fronteggiare problemi seri. Queste restrizioni nei confronti dei lavoratori provenienti dai nuovi Paesi membri dell'Unione Europea devono essere smantellate entro un massimo di sette anni. Inoltre, ai lavoratori soggetti a queste restrizioni nazionali va comunque concessa la priorità rispetto ai lavoratori provenienti dai paesi terzi.
Restrizioni alla libera circolazione dei lavoratori nel trattato di adesione del 2003
Come è avvenuto in quasi tutti gli allargamenti dell'Unione Europea, anche il trattato di adesione del 2003 ha consentito ai 15 Paesi membri di allora il diritto di prevedere un periodo transitorio di 7 anni durante il quale i lavoratori di otto dei 10 nuovi Stati membri che intendevano lavorare in un altro Paese dell'UE sarebbero stati soggetti a limitazioni. Lo scopo era quello di evitare ripercussioni negative sul mercato del lavoro e sulla situazione sociale dei 15 Paesi membri dell'epoca.
I nuovi Paesi membri interessati dal regime transitorio erano otto: Polonia, Ungheria, Repubblica Ceca, Slovacchia, Slovenia, Estonia, Lettonia e Lituania. Per Malta e Cipro, invece, non è stata prevista alcuna limitazione alla libera circolazione dei lavoratori.
Il regime transitorio prevedeva tre fasi (rispettivamente di 2, 3 e 2 anni), caratterizzate da diverse condizioni, sempre più rigorose, a cui gli Stati membri potevano limitare l'accesso al proprio mercato del lavoro. Tendenzialmente, si sono applicate allo scopo le norme sui permessi di lavoro.
Gli Stati membri avevano tuttavia facoltà di aprire il loro mercato del lavoro in qualsiasi momento. Si sono avvalse di questa possibilità l'Irlanda, la Gran Bretagna e la Svezia, già a partire dal 1 maggio 2004. Gli altri 12 Stati membri hanno invece limitato l'accesso al loro mercato del lavoro. A seguito di questa loro decisione, anche tre nuovi Stati membri su otto (Ungheria, Polonia e Slovenia) hanno deciso di limitare l'accesso al proprio mercato del lavoro per i cittadini di questi paesi.
Nei tre anni successivi i lavoratori degli 8 nuovi Stati membri dell'Unione Europea hanno avuto progressivamente libero accesso al mercato del lavoro di 8 Stati membri (nel 2006, Grecia, Spagna, Portogallo, Finlandia e Italia, nel 2007 Paesi Bassi e Lussemburgo, nel 2008 Francia). Sono pertanto venute meno le analoghe contromisure in Slovenia e Polonia.
Il 1 maggio 2009 anche il Belgio e la Danimarca hanno aperto il loro mercato del lavoro ai cittadini degli otto nuovi Stati Membri dell'Unione Europea. Da parte sua, anche l'Ungheria ha revocato le sue contromisure.
Già negli ultimi due anni del periodo di transizione, solo l'Austria e la Germania mantenevano sostanziali limitazioni all'accesso al loro mercato del lavoro.
Con la fine del periodo di transizione, si è peraltro potuto constatare che i timori iniziali di un afflusso massiccio di lavoratori dall'Europa orientale erano esagerati. Secondo le previsione della Commissione Europea, anche dopo il 1 maggio 2011 non ci sarà un'immigrazione massiccia di forza lavoro.
Impatto sul mercato del lavoro italiano
Per il mercato del lavoro italiano, probabilmente la nuova normativa sulla libertà di circolazione dei lavoratori non comporterà grandi cambiamenti. Le restrizioni ai lavoratori provenienti dalla vicina Slovenia sono già decadute, senza che finora ci sia stata alcuna avvisaglia dell'arrivo di un'ondata di lavoratori. In Italia le limitazioni per i cittadini dell'Europa orientale riguardavano tra l'altro le attività nell'ambito della Polizia o in campo militare, settori in cui finora la presenza di lavoratori di altri paesi europei era comunque minima. La maggior parte dei cittadini dell'Unione Europea presenti in Italia lavorano nell'edilizia o nel campo dei servizi alla persona. Inoltre, in Italia lavorano soprattutto cittadini provenienti da Romania e Bulgaria, paesi che sono entrati nell'Unione Europea solo nel 2007, e che pertanto sono ancora parzialmente soggetti alle restrizioni alla libera circolazione dei lavoratori, non essendo interessati dai cambiamenti in atto.
Veronika Meyer
Bruxelles
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Graduate diploma - University of Trieste
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French to Italian (Scuola Superiore di Lingue Moderne per Interpreti e Traduttori) French to Italian (Associazione Nazionale Interpreti di Conferenza Professionisti) Italian to French (Scuola Superiore di Lingue Moderne per Interpreti e Traduttori) Italian to French (Associazione Nazionale Interpreti di Conferenza Professionisti) English to Italian (Scuola Superiore di Lingue Moderne per Interpreti e Traduttori)
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Born in Italy, I have an excellent command of French since the age of 11, and I was raised in both languages ever since (double A level). I studied at Mons (Belgium) and Trieste University, where I graduated as a conference interpreter in 1990, in French, English and German. By that time, I was already working freelance (from 1988) as a simultaneous and consecutive interpreter, mainly in French, with a focus on medical and technical conferences, and later wine-growing and oenology (since 1999, professional sommelier diploma issued by AIS, the Italian Sommelier Association). In the last couple of years my most active language pair has been English - Italian, mainly in the filelds of dentistry and implantology. My main assets are translation accuracy combined with a very pleasant voice (voice samples on request). My reference markets are the Italian and the French market, and I work for professional conference organizers, direct clients and NGOs. I also recruit and coordinate fellow interpreters for team-building purposes. My main focus are interpreting services, including RSI (remote simultaneous interpreting). Kudo certified interpreter.
As for written translation, I work as a high-end niche translator. My main combinations there are French/Italian and Italian/French, English/Italian, German/Italian and Spanish/Italian.
My experience as an interpreter is an added value for my work as a translator, and vice-versa. I take great proud and care in terminology work, and in constantly keeping my formation and tools (software and dictionaries) up to date. Preferred CAT tool: XTM-Cloud.
Membership in professional associations: Assointerpreti, National Association of Professional Conference Interpreters AITI, Italian Association of Translators and Interpreters SFT, French Translators Society AIB, Association of Simultaneous Interpreters of the Province of Bolzano For small meetings, portable system for a total of 100 headsets. Published translations: Dizionario medico Dompé, 1992 (from German) OMS: Monografie di Piante Medicinali, Volume 1, 2002 (from English) Morfologia umana e funzionale: struttura e funzioni del corpo umano, UTET (from English) La canzone dei protoni (from French) Ricerca in omeopatia (from French, with Chiara Olivucci).
I regularly attend formation events to improve and update my skills.
Fonti
Risposta
Born
in Italy, I possess a profound command of French, having mastered it
since the age of 11, and I have been immersed in both languages
throughout my life. I graduated as a conference interpreter from the
University of Trieste in 1990, specializing in French, English, and
German. My freelance career began in 1988, focusing on simultaneous and
consecutive interpretation, particularly in medical and technical
fields. Since 1999, I have also delved into the world of wine-growing
and oenology, earning a professional sommelier diploma from the Italian
Sommelier Association (AIS).In recent years, my primary language pair has shifted to
English-Italian, with a concentration on dentistry and implantology. I
pride myself on delivering exceptional translation accuracy paired with a warm and engaging voice
(voice samples available upon request). My client base spans the
Italian and French markets, where I collaborate with professional
conference organizers, direct clients, and NGOs. Additionally, I
coordinate teams of interpreters for various events, ensuring seamless
communication.I am a Kudo certified interpreter specializing in remote simultaneous interpreting (RSI).
In written translation, I focus on high-end niche services, primarily
between French/Italian and Italian/French, as well as English/Italian,
German/Italian, and Spanish/Italian. My extensive experience as an
interpreter enriches my translation work and vice versa. I am dedicated
to maintaining up-to-date terminology and tools (preferred CAT tool:
XTM-Cloud).I am an active member of several professional associations
including Assointerpreti, AITI (National Association of Professional
Conference Interpreters), SFT (Italian Association of Translators and
Interpreters), AIB (French Translators Society), and the Association of
Simultaneous Interpreters of the Province of Bolzano. For smaller
meetings, I provide a portable system accommodating up to 100 headsets.My published translations include notable works such as Dizionario medico Dompé (1992), OMS: Monografie di Piante Medicinali (2002), Morfologia umana e funzionale (UTET), La canzone dei protoni, and Ricerca in omeopatia.I continuously seek professional development opportunities to enhance my skills and stay at the forefront of industry standards.
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Born in Italy, I have cultivated a deep command of French since
the age of 11, immersing myself in both Italian and French throughout my
life. I graduated as a conference interpreter from the University of
Trieste in 1990, specializing in French, English, and German, and I
later expanded my expertise to include Spanish.With a robust freelance career focused on simultaneous and consecutive interpreting,
I have honed my skills particularly in the medical and technical
sectors. Since 1999, I have also explored the fascinating world of
wine-growing and oenology, earning a professional sommelier diploma from
the Italian Sommelier Association (AIS). My primary language pairs
include French/Italian, English/Italian, and English/French, with a special emphasis on topics related to wine and spirits, dentistry and implantology, as well as medicine.I take pride in delivering exceptional translation accuracy complemented by a warm and engaging voice
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