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University
University of Manchester
Year of study
Freshman
Area of interest
Scientific, Media, linguistics
Study type
On Campus
Student organization
Affiliations
This person is not affiliated with any business or Blue Board record at ProZ.com.
Expertise
Specializes in:
Materials (Plastics, Ceramics, etc.)
Science (general)
Telecom(munications)
Portfolio
Sample translations submitted: 5
French to English: Les Traitements de Finition General field: Science Detailed field: Materials (Plastics, Ceramics, etc.)
Source text - French Chapitre 5
Les traitements de finition
5.1. Les dépôts plastiques sur métal (ou plastage)
On appelle plastage les revêtements à base de polymères sous forme pulvérulente qui sont essentiellement destinés à protéger des surfaces métalliques (en particulier pour des produits situés à l’extérieur), et parfois, à leur donner un meilleur aspect. A ce titre, ils concurrencent les autres traitements de surface, mais ils s’en différencient par des épaisseurs de revêtement plus fortes comme le montre le tableau qui suit.
Revêtement Plastage Peinture Dépôt électrolytique
Nature Poudre polymérique Solution à enduire Déplacement métallique
Epaisseur 60 à 1 mm
1 seule couche 20 à 60
Plusieurs couches 1 à 10
Pollution Absence de solvant Solvants Effluents à traiter
Tableau 5.1. Différents types de revêtements
L’épaisseur obtenue est fonction du type de poudre utilisée : nature, granulométrie, et température de fusion.
On notera encore que l’on opère sans solvant, ni produit chimique (pas de pollution), et que l’on crée un complexe métal-plastique qui associe au comportement mécanique du premier la tenue chimique du second, avec de plus, un faible coefficient de frottement.
Le tableau ci-après résume les principaux polymères utilisés (sous forme de poudres de faible granulométrie : 40 à 200 en fonction des différentes techniques d’application.
Figure 5.1. Polymères et procédés d’application utilisés
Les poudres PVC, PE et PA-11, nécessitent le dépôt d’un primaire d’accrochage sur la pièce, les époxydes ou les polyesters s’en dispensent, mais elles doivent êtres polymérisés après poudrage.
5.1.1. Pistolage au chalumeau
Ce procédé est dérivé de la métallisation ou « shoopage » des métaux, on utilise un pistolet à flamme oxyacétylénique ou oxycoupage qui permet de projeter un plastique à l’état fondu sur le support à protéger (généralement de grande surface).
Celui-ci est d’abord dégraissé, puis sablé et parfois rainuré de façon à créer une bonne surface d’accrochage, et le support à revêtir doit être préalablement réchauffé. Cette technique nécessite l’emploi de polymères dont le point de fusion est assez éloigné de leur température de décomposition ce qui est le cas des PE HD et PA.
Le mode opératoire est essentiellement manuel.
Epaisseurs couramment déposées = 0,5 à 1, voire 2 mm (PE HD, PA).
Translation - English Chapter 5
Finishing Treatments
5.1. Plastic deposits on metal (or plastic covering)
Plastic covering is the name given to polymer-based powder coatings, essentially designed to protect metallic surfaces (particularly for outdoor items) and sometimes give them a superior finish. In this regard, it rivals other surface treatments, but they can be distinguished from one another by the thickness of the coating deposited, as is shown by the following table.
Coating Plastic Covering Paint Electrodeposition
Nature Polymeric powder Coating solution Metal displacement
Thickness 60m-1mm
1 layer 20-60m
Several layers 1-10m
Pollution Solvent-free Solvents Leakage management
Table 5.1. Different Types of Coating
The thickness applied depends on the type of powder used: nature, grain size and melting point.
No solvent or chemical product is used (no pollution) and the product formed is a complex metal-plastic with the mechanical properties of the first, the rigidity of the second and also a low coefficient of friction.
The table below summarizes the main polymers used (in the form of a fine-grained powder: 40-200m), in relation to the different application techniques.
Figure 5.1. Polymers and Application Methods Used
PVC, PE and PA-11 powders require the deposition of a primer whereas epoxides and polyesters do not. However, the latter two must be polymerized following application of the coating.
5.1.1. Flame Spraying
This procedure is derived from metallization or the deposition of metallic coatings. An oxyacetylene flame gun or oxyfuel cutting is used to spray molten plastic on to the substrate (usually very wide) being protected.
The substrate is first degreased, then grit-blasted and, occasionally, etched to enhance its adhesive properties. Preheating is essential and requires polymers whose melting points and decomposition temperatures are fairly different e.g. PE, HD or PA.
It is an essentially manual procedure.
Standard thickness deposited = 0.5-1, even 2mm (PE HD, PA).
French to English: Traitements Des Convulsions d’Origine Toxique General field: Medical Detailed field: Medical: Pharmaceuticals
Source text - French TRAITEMENT DES CONVULSIONS D’ORIGINE TOXIQUE
René Blais, M.D., FRCPC, ABMT
Directeur médical, Centre antipoison du Québec
Pierre-André Dubé, M. Sc.
Pharmacien, Institut national de santé publique du Québec
Introduction
Les convulsions font partie de la symptomatologie d’un bon nombre de conditions pathologiques. Il existe différents algorithmes de traitement en rapport avec le status epilepticus. Cependant, ceux-ci ne sont pas nécessairement applicables aux convulsions de toutes étiologies. Par exemple, lorsqu’un patient présente des convulsions d’origine indéterminée, il est impératif d’éliminer rapidement et le cas échéant, de corriger un problème métabolique relié au glucose (hypoglycémie) ou aux électrolytes, particulièrement le sodium, le calcium et le magnésium. Dans un contexte d’intoxication, l’apparition de convulsions est souvent un marqueur de sévérité. Par conséquent, il est important de connaître les principaux mécanismes physiopathologiques des convulsions afin de les traiter de façon appropriée.
Physiopathologie
Les convulsions d’origine toxique ont quatre mécanismes principaux. En premier lieu, la plupart des convulsions surviennent à cause d’une activité anormale des récepteurs du neurotransmetteur excitateur, la N-méthyl-D-aspartate (NMDA), et des récepteurs du neurotransmetteur inhibiteur, l'acide γ-aminobutyrique (GABA). Si l’excitation l’emporte sur l’inhibition, des convulsions peuvent se manifester. Une telle situation peut se présenter lorsqu’il y a libération accrue d’acides aminés excitateurs, c’est-à-dire lors d’une ischémie, d’une hypoglycémie, d’une intoxication par un stimulant du système nerveux central (SNC). Une diminution de la synthèse du GABA (p. ex., intoxication à l’isoniazide) sera à l’origine de convulsions rebelles si l’équilibre n’est pas restauré. Par contre, si les récepteurs GABA sont trop stimulés (p. ex., intoxication par une benzodiazépine), une dépression du SNC pourrait apparaître. Le deuxième mécanisme se manifeste par une anomalie du flux ionique, impliquant généralement des ouvreurs ou des bloqueurs des canaux sodiques (p. ex., la ciguatoxine, les pyréthroïdes, le camphre, la quinidine) ou potassiques (p. ex., le baryum, la 4-aminopyridine). La cellule nerveuse sera ainsi dépolarisée ou hyperpolarisée, donc prête à déclencher des convulsions. Le troisième mécanisme est l’effet antagoniste de l’adénosine, un neurotransmetteur qui a pour rôle de favoriser la période postictale. Lors d’une intoxication par un inhibiteur de l’adénosine (p. ex., l’intoxication à la théophylline ou à la caféine), les convulsions seront particulièrement difficiles à contrôler. Le quatrième mécanisme est l’altération de la concentration ou de l’activité d’amines biogènes et de l’acétylcholine, comme la présence de convulsions dans les toxidromes cholinergique et anticholinergique.
Vol. 28(1), 2012 14
Translation - English TREATMENT OF TOXIN-INDUCED SEIZURES
René Blais, M.D., FRCPC, ABMT
Medical Director, Centre anti-poison du Quebec
Pierre-André Dubé, M. Sc.
Pharmacist, Institut national de santé publique du Québec
Introduction
Seizures are a symptom of many pathological conditions. There are many different treatment algorithms for status epilepticus. However, these algorithms are not necessarily applicable to all causes of seizures. For example, when a patient has seizures of unknown etiology, it is vital to eliminate them and, if this is successful, repair the metabolic disorder related to glucose (hypoglycaemia) or electrolytes, particularly sodium, calcium and magnesium. In the context of intoxication, the manifestation of seizures often indicates severity. As a result, it is important to recognize the main physiopathological mechanisms underlying seizures so that they can be treated properly.
Physiopathology
Toxin-induced seizures have four main mechanisms. Firstly, most seizures happen due to abnormal activity of the receptors of both the excitatory neurotransmitter N-methyl-D-aspartate (NMDA) and the inhibitory neurotransmitter γ-aminobutyric acid (GABA). If excitation is more dominant than inhibition, seizures may occur. This happens when there is a greater release of excitatory amino acids, such as in the case of ischemia, hypoglycaemia and intoxication from a stimulant of the central nervous system (CNS). Reduced GABA synthesis (e.g. isoniazid toxicity) will cause violent seizures if balance is not restored. On the other hand, if the GABA receptors are too stimulated (e.g. benzodiazepine toxicity), the CNS may break down. The second mechanism is caused by an abnormal ionic flux, which usually involves activators or blockers of the sodium channels (e.g. ciguatoxin, pyrethroids, camphor, quinidine) or potassium channels (e.g. barium, 4-aminopyridine). As a result, the neuron will be either depolarized or hyperpolarized, thus equipping it to trigger seizures. The third mechanism is the antagonistic effect of adenosine, a neurotransmitter which aids the postictal period. In the event of intoxication from an adenosine inhibitor (e.g. theophylline or caffeine toxicity), the seizures will be particularly difficult to control. The fourth mechanism is the change in concentration or activity of biogenic amines and acetylcholine, such the seizures which occur in cases of cholinergic and anticholinergic toxicity.
French to English: Chirurgie de l’obésité chez l’adulte General field: Medical Detailed field: Medical (general)
Source text - French Chirurgie de l’obésité chez l’adulte
L’obésité est définie par un IMC ≥ 30 kg/m2. C’est une maladie chronique qui nécessite une prise en charge globale, pluridisciplinaire et au long cours.
Chez des patients sélectionnés, la chirurgie de l’obésité (ou chirurgie bariatrique), associée à une modification des habitudes alimentaires et à une activité physique renforcée, est efficace sur la perte de poids. Elle permet en outre de contrôler ou d’améliorer certaines comorbidités, d’améliorer la qualité de vie et de diminuer la mortalité liée à l’obésité.
Ce document d’information s’appuie sur des recommandations de bonnes pratiques disponibles sur le site de la HAS : www.has-sante.fr
Six conditions sont requises pour bénéficier de la chirurgie bariatrique
IMC ≥ 40 kg/m2 ou IMC ≥ 35 kg/m2 avec au moins une comorbidité susceptible d’être améliorée après la chirurgie (HTA, syndrome d’apnées du sommeil (SAS), diabète de type 2, maladies ostéo-articulaires invalidantes, stéatohépatite non alcoolique, etc.).
• Échec d’un traitement médical, nutritionnel, diététique et psychothérapeutique bien conduit pendant 6 à 12 mois (absence de perte de poids suffisante ou absence de maintien de la perte de poids).
• Patient bien informé au préalable (brochure d’information pour les patients disponible sur le site de la HAS).
• Évaluation et prise en charge préopératoires pluridisciplinaires pendant plusieurs mois.
• Nécessité comprise et acceptée par le patient d’un suivi chirurgical et médical la vie durant.
• Risque opératoire acceptable.
₃ Il existe des contre-indications, dont certaines peuvent être temporaires :
✩ troubles cognitifs ou mentaux sévères ;
✩ troubles sévères et non stabilisés du comportement alimentaire ;
✩ dépendance à l’alcool et aux substances psychoactives licites et illicites ;
✩ maladies mettant en jeu le pronostic vital à court et moyen terme ;
✩ contre-indications à l’anesthésie générale ;
✩ absence de prise en charge médicale préalable identifiée et incapacité prévisible du patient à participer à un suivi médical la vie durant.
Une prise en charge préopératoire de quelques mois, médicale, psychologique et éducative, est nécessaire
Translation - English Obesity Surgery in Adults
Obesity is defined by a BMI ≥ 30 kg/m2. It is a chronic disease which requires global, multidisciplinary and long-term management.
In selected patients, obesity surgery (or bariatric surgery), when combined with changes in eating habits and increased physical activity, is effective for weight-loss. Furthermore, it helps control or improve certain comorbidities, improve quality of life and reduce obesity-related mortality.
This information document is based on the clinical practice guidelines, available on the HAS website: www.has-sante.fr
To receive bariatric surgery, six conditions must apply:
BMI ≥ 40 kg/m2 or BMI ≥ 35 kg/m2 with at least one comorbidity that is likely to improve following surgery (high blood pressure, sleep apnoea syndrome (SAS), type 2 diabetes, incapacitating joint disorders, non-alcoholic steatohepatitis, etc. . .).
• Failure of medical, nutritional, dietetic and psychotherapeutic treatment, that has beenproperly conducted for 6-12 months (failure to achieve or maintain a sufficient amount of weight loss).
• Patient is well informed beforehand (patient information leaflet available on HAS website).
• Several months of multidisciplinary preoperative assessment and management.
• Patient has understood and accepted the need for lifelong medical and surgical follow-up.
• Acceptable operating risk.
₃ There are several contraindications, some of which may be temporary:
✩ severe cognitive or mental disorder;
✩ severe and unstable eating disorders;
✩ alcohol dependence and addiction to legal and illegal psychoactive substances;
✩ illnesses putting the short and mid-term vital prognosis at stake;
✩ contraindications to the general anaesthesia;
✩ absence of identified prior medical management and it is expected that the patient will not be able to participate in lifelong medical follow-up.
Several months of preoperative, medical, psychological and educative management is obligatory
French to English: Côte d’Ivoire : terreur à Abidjan General field: Other Detailed field: Government / Politics
Source text - French Ce billet fait partie du dossier spécial de Global Voices sur les événements de Côte d'Ivoire 2011 (en anglais ; la plupart des articles existent en version française)
Abidjan a connu avant le début de la guérilla qui sévit depuis quelques jours une série de violences inédites, des attaques contre les domiciles privés des adversaires politiques de Laurent Gbagbo.
Thiery Latt dresse la liste non exhaustive des résidences des cadres RHDP (Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix) pillées et incendiées :
Amichia François, maire de Treichville et son père, Adama Toungara, maire d’Abobo et ministre des Mines et de l’Energie, Charles Koffi Diby, ministre de l’Economie et des Finances, Albert Mabri Toikeusse, ministre du Plan et du Développement, Adama Bictogo, Amadou Koné, Zemogo Fofana, Sidy Diallo, Sidiki Konaté, Meité Sindou, Mme Constance Yaï, le général François Konan Banny,la maison familiale de Jean-Baptiste Ekra,
Et ajoute dans le même article :
Joint au téléphone par ONUCI FM, le ministre Albert Mabri Toikeusse explique que c’est le jeudi dernier [3 mars] dans la matinée, que plus de deux cents jeunes armés de gourdins, ont fait irruption à sa résidence. En pleine journée, ces jeunes, selon lui ont pillé sa maison avant d’être dispersés par le CeCOS (Centre de commandement des opérations de sécurité).
Sur le site Abidjan.net, le billet Des maisons de ministres et alliés de Ouattara cibles de pillages donne plus de précisions :
Amadou Coulibaly, haut conseiller d`Alassane Ouattara, a accusé la police de recruter des jeunes pour participer à ces pillages qui ont commencé jeudi. “Ils tentent d`instaurer une atmosphère de terreur”, a-t-il affirmé. “Mais ils ne peuvent pas faire plus que ce qu`ils ont déjà fait, tirer sur des femmes désarmées“, …
Translation - English This post is part of our special coverage Côte d'Ivoire Unrest 2011
Even before the outbreak of guerilla warfare which has been raging for several days [Fr], Abidjan experienced a series of previously unheard of conflicts, attacks on the private homes of Laurent Gbagbo's political adversaries.
Thiery Latt has drawn up a non-exhaustive list of the RHDP (Rally of Houphouëtistes for Democracy and Peace) officers whose homes have been ransacked and burned down [Fr]:
Amichia François, mayor of Treichville and his father, Adama Toungara, mayor of Abobo and Minister of Mines and Energy, Charles Koffi Diby, Minister of Economy and Finance, Albert Mabri Toikeusse, Minister of Planning and Develpoment, Adama Bictogo, Amadou Koné, Zemogo Fofana, Sidy Diallo, Sidiki Konaté, Meité Sindou, Mrs Constance Yaï, General François Konan Banny, Jean-Baptiste Ekra's family home,
And in the same article [Fr], he adds:
During a phonecall with ONUCI FM [Fr], the minister Albert Mabri Toikeusse explains that over two hundred youths armed with clubs broke into his house last Thusrday morning [March 3rd]. According to him, these youths ransacked his house in broad daylight before being dispersed by CeCOS [Fr] (Command Center for
Security Operations).
On the website Abidjan.net, the article entitled Houses of ministers and Ouattara allies looted [Fr] gives more details :
Amadou Coulibaly, Alassane Ouattara's high counselor, has accused the police of recruiting youths to participate in these raids, which began on Thursday. “They are trying to instill an atmosphere of terror,” he said. “But they can't do more than they have already done, firing at unarmed women [Fr], …”
Spanish to English: Pautas latinoamericanas de diagnóstico y tratamiento de la tuberculosis farmacorresistente General field: Medical Detailed field: Medical: Health Care
Source text - Spanish Génesis y magnitud del problema
En Mycobacterium tuberculosis la resistencia a fármacos
es de naturaleza cromosómica. La intervención humana
selecciona las mutantes resistentes (tratamientos erróneamente
prescriptos, falta de supervisión terapéutica, fármacos
de calidad inadecuada), permitiéndoles su emergencia
como consecuencia, fundamentalmente, de la monoterapia
real o encubierta.
Las principales causales de la TBFR en LA son: a) falta de
tratamiento supervisado, b) mala adhesión de los pacientes
a la terapia, c) tratamientos no estandarizados, d)
desabastecimiento de drogas o utilización de drogas de
baja calidad, e) manejo irregular de los pacientes por el
sector privado, f) ausencia de control de infecciones en los
hospitales, prisiones y asilos y g) coinfección VIH/sida.
La incidencia global de TB en el mundo estimada por la
Organización Mundial de la Salud (OMS) en 2005 es de
8 811 000 casos.1 Los aproximadamente 320 000 casos
de TB registrados en LA (3.58% del total mundial) conforman
una incidencia de 63/100 000 habitantes. En el listado de los 22 países con alta carga de TB está incluido un
solo país latinoamericano: Brasil. La coinfección TB/sida
no tiene la magnitud de otras regiones del Hemisferio Sur.
ONUSIDA (UNAIDS) estimó que en 2004 vivían 1.6 millones
de niños y adultos con VIH/sida en Latinoamérica. Esto
representa 4.14% de la prevalencia mundial (38.6 millones).
El país latinoamericano con mayor proporción de
coinfección TB/sida es Haití (29% en adultos).
Respecto de la TB multirresistente (TBMR), de acuerdo
con la OPS/OMS3 existe más del 3% de los casos sin tratamiento
previo en Ecuador, Guatemala, Perú y República
Dominicana, en tanto supera el 10% en los casos con tratamiento
previo en Argentina, Bolivia, Brasil, Chile, Cuba,
El Salvador, Honduras, Paraguay, Uruguay y Venezuela.
Se han detectado en la región casos con tuberculosis
extensamente resistente (XDR-TB). Sin embargo, la magnitud
de este problema aún no ha sido suficientemente
investigada. En América latina la TBFR asociada al sida se
ha manifestado en forma de brotes institucionales de TBMR
en algunos países como Brasil, Argentina y Perú.
Translation - English Background and magnitude of the problem
Drug resistance in Mycobacterium tuberculosis (MTB) is caused by chromosomes. Human intervention selects drug-resistant mutants (incorrect prescription of treatments, absence of therapeutic monitoring, poor-quality medication), allowing them to emerge predominantly as a consequence of overt or covert mono-therapy.
The primary causes of DR-TB are:
• No treatment monitoring
• Poor adherence to therapy
• Non-standardized treatments
• Inadequate supply/quality of drugs
• Improper patient management by the private sector
• Lack of infection control in hospitals, prisons and asylums
• TB/HIV coinfection.
In 2005, WHO estimated the global incidence of TB to be 8,811,000. The 320,000 TB cases recorded in Latin America (3.58% of the worldwide total) equates to 63 cases per 100,000 inhabitants. Brazil is the only Latin American country included in the 22 high TB burden countries. Although not as widespread as in other Southern Hemisphere regions, UNAIDS estimated that in 2004, 1.6 million infants and adults in Latin America were living with HIV and also infected with TB. This figure represents 4.14% of the worldwide incidence (38.6 million). Haiti has the highest proportion of TB/HIV (29% in adults) in Latin America.
According to WHO’s Anti-tuberculosis drug resistance in the world report no. 3, more than 3% of new cases of multidrug-resistant tuberculosis (MDR-TB) cases occur in Ecuador, Guatemala, Peru and the Dominican Republic, while more than 10% of previously treated MDR-TB cases occur in Argentina, Bolivia, Brazil, Chile, Cuba, El Salvador, Honduras, Paraguay, Uruguay and Venezuela.
Although, cases of extensively drug-resistant tuberculosis (XDR-TB) have been detected in Latin America, the magnitude of the problem is yet to be sufficiently investigated. DR-TB associated with HIV has emerged in Latin America in the form of institutional MDR-TB outbreaks in certain countries such as Brazil, Argentina and Peru.
One Ma in Modern Languages (French and Spanish). Studying for a second in Translation.
I have taken modules in Scientific and Technical Translation and Translating for International Organisations and this year I will be studying Audiovisual Translation, Commercial Translation and Translation Technologies.