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English to Spanish: JOIN RETURNS OF INCOME TAX BY HUSBAND AND WIFE General field: Bus/Financial Detailed field: Law: Taxation & Customs
Source text - English Joint returns. A husband and wife may make a single return jointly of income taxes under subtitle A, even though one of the spouses has neither income nor deductions, except as provided below:
no joint return shall be made if either the husband or wife at any time during the taxable year is a nonresident alien.
No joint return shall be made if the husband and wife have different taxable years; except that if such taxable years begin on the same day and end on different days because of the death of either or both, then the joint return may be made with respect to the taxable year of each. The above exception shall not apply if the surviving spouse remarries before the close of his taxable year, nor if the taxable year of either spouse is a fractional part of a year under section.
In the case of death of one spouse or both spouses the joint return with respect to the decedent may be made only by his executor or administrator; except that in the case of the death of one spouse the joint return may be made by the surviving spouse with respect to both himself and the decedent if no return for the taxable year has been made by the decedent, no executor or administrator has been appointed, and no executor or administrator is appointed before tha last day prescribed by law for filing the return of the surviving spouse. If an executor or administrator of the decedent is appointed after the making of the joint return by the surviving spouse, the executor may disaffirm such joint return by making, within 1 year after thelast day prescribed by law for filing the return of the surviving spouse, a separate return for the taxable year of the decedent with respect to which the joint return was made, in which case the return made by the survivor shall constitute his separate return.
Translation - Spanish Declaraciones conjuntas. Los cónyuges podrán cumplimentar una única declaración de la renta de forma conjunta según lo dispuesto en el apartado A, aun cuando uno de los cónyuges no tenga ni ingresos ni deducciones, excepto en lo previsto a continuación: no se hará la declaración conjunta si cualquiera de los cónyuges tuviere la condición de extranjero no residente durante el año fiscal.
Tampoco se podrá realizar la declaración de la renta conjunta si no coincidieran los períodos fiscales de los cónyuges, excepto cuando dichos períodos comiencen el mismo día y finalicen en días diferentes a causa del fallecimiento de alguno de ellos o de los dos. En este caso la declaración conjunta se hará en razón del período fiscal que corresponda a cada uno. La excepción anterior no será de aplicación en el caso de que el cónyuge supérstite volviera a contraer matrimonio antes del cierre de su período fiscal ni en el caso de que el período fiscal de cualquiera de los cónyuges sea una parte fraccional del año en cuestión.
En el caso de fallecimiento de uno o ambos cónyuges, la parte de la declaración conjunta correspondiente al fallecido sólo podrá hacerse con la ayuda de su albacea o administrador; salvo en los casos en que tras el fallecimiento de un cónyuge la declaración conjunta la hiciera el cónyuge supérstite, el fallecido no hubiere realizado una declaración durante el período fiscal, no se hubiere nombrado albacea ni administrador judicial o no se nombrara albacea o administrador alguno, antes del último día prescrito por la ley en el que se podía presentar la declaración de la renta del cónyuge supérstite. Si se nombra un albacea o administrador del difunto después de que el cónyuge supérstite haga la declaración de la renta conjunta, dicho albacea o administrador podrá invalidar la declaración anterior, en el plazo de un año a contar a partir del último día prescrito por ley para la declaración del cónyuge supérstite, cumplimentando una declaración individual del fallecido para ese año fiscal correspondiente al año de la declaración conjunta, en cuyo caso la declaración hecha por el cónyuge supérstite sería su declaración individual.
French to Spanish: TRADUCTEUR : VOUS DEVREZ VOUS SPÉCIALISER General field: Marketing Detailed field: Education / Pedagogy
Source text - French Traducteur : vous devrez vous spécialiser
Qui a-t-il de commun entre la traduction d'un mode d'emploi, d'un roman, et le sous-titrage d'un film ? Avant tout, le goût de l'écriture et la maîtrise d'une langue étrangère. Mais surtout des connaissances poussées dans un domaine très spécialisé.
Très contrastée, la profession de traducteur se décline dans de nombreux secteurs. Avec à la clé, des marchés plus ou moins porteurs et des tarifs qui vont du simple au triple, selon la langue parlée, le domaine de spécialité et de nombreux autres paramètres.
Photographie d'un métier en pleine évolution
Loin de l'image du professionnel perdu dans ses dictionnaires et voué à un auteur, le traducteur travaille en réseau, surfe sur Internet et multiplie les clients. Selon la Société Française des Traducteurs (SFT), le professionnel-type est un indépendant, dans plus de 80% des cas, qui traduit surtout des documents techniques, principalement de l'anglais vers le français. Il est bardé de diplômes ou a suivi une formation solide.
Trouver des alliés pour "faire son trou"
Le métier de traducteur compte aujourd'hui une grande majorité de travailleurs indépendants. Une enquête de la SFT sur le profil de ces professionnels montre, en effet, que le métier compte 60% de traducteurs exerçant en libéral, contre seulement 7% de salariés, employés principalement par des agences de traduction. Dans ce contexte, l'un des soucis des traducteurs, notamment ceux qui débutent dans le métier, est de trouver des travaux réguliers. Il n'est en effet pas facile de décrocher des commandes dans un marché où le bouche à oreille a force de loi. Se créer un réseau professionnel est donc essentiel. "Il est primordial pour les jeunes qui arrivent dans le métier de se constituer un carnet d'adresses. Je leur conseille toujours de se rapprocher des traducteurs chevronnés, notamment lors des manifestations ou des salons professionnels auxquels ils participent."
Il est toutefois particulièrement difficile pour les débutants de faire leur trou sur le marché de la traduction littéraire ou audiovisuelle. Ces secteurs restent en effet la chasse gardée de quelques traducteurs chevronnés, très établis dans le métier. La situation, quoique meilleure, n'est également pas toujours simple dans la traduction technique, où de plus en plus d'entreprises recourent à des agences spécialisées, afin de raccourcir les délais d'exécution. "Avec pour conséquence d'obliger les jeunes à travailler en sous-traitance, moyennant un tarif réduit", précise Christine, une jeune traductrice japonais-français, fraîchement émoulue des langues orientales. Passage obligé, ces agences restent néanmoins le meilleur moyen de faire ses armes et de remplir son carnet d'adresses.
Sachez que les tarifs pratiqués pour une traduction varient fortement d'une filière à l'autre. Les prix vont en effet du simple au triple, voire plus, selon l'unité de comptage retenu, la difficulté du texte et de la langue de traduction, l'urgence des travaux et bien sûr, la renommée du traducteur. La traduction littéraire, qui est un peu à part, constitue sans doute le meilleur créneau pour ceux qui peuvent accéder à ce milieu. Le montant des droits d'auteur y est fixé par contrat avec l'éditeur et versé au traducteur en deux temps. D'abord un à-valoir sur les droits à venir qui est fonction du nombre de feuillets (1.500 signes) traduits, et du texte, mais aussi de la rareté de la langue utilisée, puis, des droits proportionnels aux ventes de l'ouvrage (de 2% à 0,5% pour les ouvrages de poche). Dans les autres filières, sachez que le prix de la traduction peut être fixé à la ligne, au mot ou au feuillet traduit, aussi bien qu'au sous-titre, à la minute ou à la bobine dans la traduction audiovisuelle.
Une niche de micromarchés
Qu'y a-t-il de commun entre la traduction d'un mode d'emploi, le rewriting d'un roman ou le sous titrage d'un film ? Très varié, le métier de la traduction est une somme de micromarchés qui obéissent à des règles différentes et offrent des opportunités plus ou moins importantes. Si la traduction littéraire fait rêver plus d'un étudiant, sachez que les traducteurs attachés à un auteur ou traduisant des best-sellers, sont minoritaires. "Le milieu de la traduction littéraire étant plutôt fermé, la plupart des traducteurs se partagent le tout venant : guides pratiques, livres de cuisines..., relève Jacqueline Lahana, présidente de L'Association des traducteurs littéraires de France." "Les jeunes qui souhaitent "se faire une place au soleil", ont donc intérêt à suivre une formation de base très spécialisée."
La traduction d'ouvrages techniques qui représente environ 80% du marché, constitue en revanche un bon créneau, sans doute le meilleur pour travailler régulièrement. Contrairement à la filière littéraire où les donneurs d'ouvrage sont limités (maisons d'édition, et organes de presse), les propositions dans ce secteur sont nombreuses. Elles émanent aussi bien d'entreprises privées que d'institutions publiques ou d'organismes internationaux. La traduction de documents scientifiques, juridiques, économiques ou médicaux, et informatiques constituant autant de possibilités pour les jeunes traducteurs. Avec toutefois une exigence primordiale : posséder des connaissances poussées dans un domaine spécialisé. "Ceux qui souhaitent travailler dans ce métier et visent "le haut du panier", doivent impérativement se spécialiser dans un créneau et de se former continuellement", indique Christine Durban, présidente du bureau de la SFT.
La traduction audiovisuelle est quant à elle un secteur pour le moins contrasté. Avec d'un côté, le cinéma et les grandes chaînes télé qui offrent du travail et payent plutôt bien. Et de l'autre, les petites chaînes du câble, du satellite ou de la TNT. La multiplication des laboratoires de sous titrage engendrée par l'explosion de ces médias, a tout en provoquant une forte demande de traducteurs, crée une forte concurrence dans le secteur. Avec dans le même temps, des tarifs nettement en baisse compte tenu des prix cassés pratiqués par ces petites chaînes.
La manne audiovisuelle continue toutefois d'attirer les jeunes traducteurs qui le plus souvent apprennent sur le tas les techniques spécifiques de l'adaptation. Il existe en effet très peu de formations de 3ème cycle spécialisées dans ce domaine. Apparue il y a quelques années, la traduction multimédia constitue enfin un nouveau créneau appelé à un bel avenir. Logiciels, CD Roms, sites web et jeux vidéo forment en effet un nouveau marché encore peu concurrentiel. Avec pour défi, au-delà de la traduction même d'un manuel, d'adapter celle ci aux spécificités culturelles d'un pays.
Translation - Spanish Traductores: tendréis que especializaros
¿Qué tiene en común traducir un manual, una novela y los subtítulos de una película? Ante todo, el gusto por la escritura y el dominio de una lengua extranjera, pero sobre todo unos conocimientos desarrollados en un ámbito muy especializado.
El oficio de traductor es muy variado y está en relación con numerosos sectores. Además, el mercado de la traducción se encuentra más o menos en desarrollo y las tarifas establecidas son muy desiguales y dependen de la lengua con la que se trabaja, el ámbito de especialidad y muchos otros parámetros.
Retrato de un oficio en plena evolución
Lejos de la imagen del profesional perdido entre sus diccionarios y dedicado en exclusiva a un autor, el traductor trabaja en red, navega en Internet y multiplica sus clientes. Según la Sociedad Francesa de Traductores (SFT), en más del 80 % de los casos, el traductor profesional suele ser un autónomo que traduce sobre todo documentos técnicos, principalmente del inglés al francés. Tiene unos cuantos diplomas o ha tenido una formación sólida.
Encontrar aliados para hacerse un hueco en el mercado
En la actualidad, la gran mayoría de traductores son trabajadores independientes. De hecho, una encuesta de la SFT sobre el perfil de estos profesionales muestra que en la profesión figura un 60% de traductores autónomos, contra sólo un 7% de asalariados, por lo general empleados por agencias de traducción. En este contexto, una de las preocupaciones de los traductores, en particular de aquellos que van haciendo sus pinitos, es hacerse con una clientela estable, puesto que no es fácil conseguir un encargo en un mercado en el que la difusión de noticias de boca en boca tiene fuerza de ley. Así que es fundamental construirse una red de contactos. «Es importante que los jóvenes que se inician en el oficio se creen su propia agenda de direcciones. Yo siempre les aconsejo que hablen con traductores expertos, en especial con ocasión de los congresos o foros en los que participan.»
Sin embargo, resulta bastante difícil que el principiante se haga un hueco en el mercado de la traducción literaria o audiovisual, pues estos sectores son terreno reservado para unos pocos traductores expertos, muy metidos en el oficio. La situación de la traducción técnica, aunque está mejor, no siempre es tan simple, pues cada vez más las empresas recurren a agencias especializadas con el fin de disminuir los plazos de entrega. «Por consiguiente, los jóvenes se ven obligados a trabajar en subcontratación y con una tarifa reducida», afirma Christine, una joven traductora del japonés al francés que acaba de terminar sus estudios de lenguas orientales. Estas agencias son un paso obligatorio, pero también la mejor la manera de ir haciendo sus pinitos e ir rellenando la agenda de direcciones.
Que sepáis que las tarifas aplicadas en una traducción pueden variar bastante de un campo a otro. De hecho, los precios pueden llegar a triplicarse, e incluso ir más lejos según la unidad de cálculo que se aplica, la dificultad del texto y de la lengua de traducción, la urgencia del encargo y, por supuesto, la reputación del traductor. Por su parte, la traducción literaria, algo dejada de lado, es sin duda el mejor segmento del mercado para aquellos que pueden acceder a él. El importe de los derechos de autor se fija con el editor mediante contrato, y el traductor lo cobra en dos plazos: por un lado, una cantidad anticipada sobre los futuros derechos en función del número de folios traducidos (1.500 matrices) y del texto, pero también de la rareza de la lengua de trabajo y de los derechos proporcionales a las ventas de la obra (del 2% al 0,5% para los libros de bolsillo); por otro lado, los derechos proporcionales a las ventas de la obra (del 2% al 0,5% para las obras de bolsillo). En las demás ramas, que sepáis que el precio de la traducción puede calcularse sobre la línea, la palabra o el folio traducido, así como el subtítulo, el minuto o la bobina en la traducción audiovisual.
Un nicho de micromercados
¿Qué tiene en común traducir un manual, la corrección de estilo de una novela o los subtítulos de una película? El oficio de traductor es muy variado y es una suma de micromercados que obedecen a unas reglas distintas y que ofrecen unas oportunidades más o menos importantes. Si la traducción literaria hace soñar a más de un estudiante, que sepáis que no abundan los traductores que trabajan con un autor o que traducen superventas. «Dado que las puertas de la traducción literaria están más bien cerradas, la mayor parte de los traductores se reparten todo lo que les llega: guías prácticas, libros de cocina…», afirma Jacqueline Lana, presidenta de la Asociación de traductores literarios de Francia. «A los jóvenes que desean tener un buen puesto les valdrá la pena tener una formación de base especializada.»
La traducción de documentos técnicos, que representa en torno al 80% del mercado constituye, en cambio, un buen segmento; sin duda, el mejor para trabajar con cierta regularidad. A diferencia del campo literario, en el que escasean los iniciadores (editoriales y organismos de prensa), hay trabajo abundante en el sector de la traducción técnica. Los encargos proceden tanto de empresas privadas como de instituciones públicas u organismos internacionales. La traducción de documentos científicos, jurídicos, económicos o médicos, e informáticos suponen diversas oportunidades para los traductores noveles. Sin embargo, es requisito imprescindible poseer unos conocimientos avanzados en un campo de especialidad. «Los que deseen trabajar en este oficio y “apunten a lo más alto” están obligados a especializarse en algún sector y a formarse continuamente», señala Christine Durban, presidenta de la SFT.
Por su parte, la traducción audiovisual es un sector variado. Por un lado, se encuentran el cine y las grandes cadenas de televisión que ofrecen trabajo y que pagan bastante bien; por otro, las pequeñas cadenas de cable, de satélite o de la TDT. La multiplicación de los centros de subtitulado engendrada por la explosión de este tipo de medios de comunicación ha creado una gran competencia en el sector así como una gran demanda de traductores, a lo que hay que añadir la bajada de las tarifas dados los precios por los suelos que aplican estas cadenas.
Sin embargo, la profusión del audiovisual sigue atrayendo a los traductores noveles que a menudo aprenden en el trabajo las técnicas específicas de adaptación, puesto que existen pocas formaciones de tercer ciclo especializadas en este campo. Aparecida hace pocos años, la traducción multimedia constituye, por último, un nuevo segmento que augura un buen futuro. Programas, CD-roms, páginas web y videojuegos forman un nuevo mercado poco disputado por el momento. Más allá de la traducción de un manual, el desafío se centra en la adaptación del original a las especificidades culturales de un país.
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Translation education
Master's degree - University of Alicante
Experience
Years of experience: 18. Registered at ProZ.com: Nov 2009.
English to Spanish (Ministerio de Asuntos Exteriores (Intérprete Jura) English to Spanish (Escuela Oficial de Idiomas de Alicante) English to Spanish (Departamento de T&I Universdad de Alicante) English to Spanish (Universidad de Alicante (Premio Extraordinario de ) English to Spanish (OFECOMES de la Embajada Española en Suecia y Leto)
French to Spanish (Departamento de T&I Universdad de Alicante) French to Spanish (Escuela Oficial de Idiomas de Alicante) Italian to Spanish (Departamento de T&I Universdad de Alicante) Italian to Spanish (Escuela Oficial de Idiomas de Alicante) Spanish to Catalan (Universitat d'Alacant) Spanish to Catalan (Junta Qualificadora Coneixements en valencà (Grau) Catalan to Spanish (Universidad de Alicante) English to Catalan (Universidad de Alicante)
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N/A
Software
Across, Adobe Acrobat, Adobe Illustrator, DejaVu, Microsoft Excel, Microsoft Word, OmegaT, ForeignDesk, Powerpoint, Trados Studio, Wordfast
My name is Gloria. I am a Certified English-French-Italian/Spanish-Catalan translator and have been in this profession, which I love, since 2006. After my MA in Translation & Interpreting I was appointed English/Spanish Sworn Translator by the Spanish Foreign Affair Ministry. I also earned a MA in International Trade and since then I've been working for several translation companies and direct clients as a freelance interpreter & translator.
Some of the translation areas I have covered so far are:
• Websites/ Webpages: miscellaneous fields
• Marketing and advertising material
• Corporate presentations and brochures
• Contracts, agreements, bills, patents and other legal documents
• CV's and résumés
• Technical area: engineering and construction, architecture, civil and electromechanical construction, manuals, specifications, instructions, equipment and instruments, electricity, etc.
• Press releases
• Commercial proposals and tenders
• Environment, safety and health
• Biotechnology
• Music
• Educational materials: tests, admission forms, e-Learning materials
• Finance and Economics: financial surveys, annual reports, macroeconomics, retirement plans, online banking, calls for bids and tenders, press releases on financial matters, documents and web pages for financial entities
• Automotive: web pages, insurance, mechanical service, car sales and rental
• Liaison interpretation
• Consecutive interpreting
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