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French to English: Renewable Energies General field: Science Detailed field: Energy / Power Generation
Source text - French L’ENERGIE EOLIENNE : ENTRE TERRE ET MER
DES PARCS EOLIENS DANS LE MONDE ENTIER
A Bruges, le long du canal Baudouin, [Subsidiary A] et [Subsidiary B] ont inauguré, en mars 2002, le plus grand parc éolien de Belgique. D’une puissance totale de 8,4 MW, 14 éoliennes de 55 mètres de haut produisent ainsi l’équivalent de la consommation annuelle d’environ 6 000 foyers. Cette réalisation s’inscrit dans le cadre de la politique globale de développement durable de [Subsidiary A], qui a déjà ouvert un parc de trois éoliennes développant une puissance de 4,5 MW à Schelle, dans la province d’Anvers.
En France, [Subsidiary C] assure ses services d’exploitant de parcs éoliens, comme à Roquetaillade où il gère une ferme de 5,3 MW. Dans les îles, ses filiales ont développé des centrales éoliennes.
BIEN CHOISIR LES SITES POUR OPTIMISER LA PRODUCTION
Afin d’évaluer par avance la capacité de production d’une éolienne, [Parent Co.] dispose aujourd’hui d’un puissant outil informatique, développé par [Subsidiary D] Engineering. Ce logiciel prend en compte toutes les données locales : vitesse des vents, caractéristiques du terrain, etc. Cet outil est largement utilisé pour déterminer la rentabilité énergétique des sites d’installation envisagés. Il participe à l’effort d’innovation et de développement réalisé pour le Groupe en faveur des énergies renouvelables, et de l’éolien en particulier. Une centaine de projets sont actuellement en cours de développement.
VENT DU LARGE
[Parent Co.] est l’un des pionniers de l’éolien off-shore. Pour accélérer son développement, le Groupe travaille sur la confirmation de solutions techniques fiables, permettant de résoudre le problème des structures maritimes et de leur raccordement au réseau terrestre. En collaboration avec d’autres partenaires, [Subsidiary A] a réalisé les plans de construction d’un parc offshore, soumis aux conditions exigeantes de la mer du Nord. Baptisé “Synergy”, ce projet devrait, à terme, comprendre 50 éoliennes, de 2 MW chacune. Sous réserve de l’obtention des autorisations nécessaires, une première tranche de 20 MW sera mise en service en 2003. Les études techniques du projet, menées par [Subsidiary D] Engineering, ont permis d’élaborer un concept de parc optimisé, en termes de fiabilité technique, de réflexion économique et d’impact sur l’environnement ; ainsi, ce parc ne sera pas plus visible depuis la côte qu’une craie posée à 20 mètres d’un observateur.
L’ENERGIE SOLAIRE : DES RAYONS PLEINS D’AVENIR
Toutes les heures, le soleil diffuse autant d’énergie sur notre planète que celle que nous consommons en quatre ans. L’exploitation de cette énorme source d’énergie demande la transformation du rayonnement en chaleur ou en électricité. Ces deux types de conversion déterminent des modes particuliers de captage, en amont, et des solutions spécifiques de transport et de stockage, en aval.
LE SOLEIL BRILLE POUR TOUT LE MONDE…
…mais ce sont les sites isolés, dépourvus de réseaux et d’infrastructures, pour lesquels l’énergie solaire représente la solution la plus performante. Une illustration, parmi d’autres : à 200 km de Tahiti, l’atoll de Makatea ne possède ni aérodrome, ni port. [Subsidiary E], en partenariat avec les pouvoirs publics et l’ADEME, a lancé un projet pilote de centrale hybride solaire-diesel. Les deux sources d’énergie ont été combinées et optimisées pour charger des batteries et assurer ainsi une distribution électrique 24 heures sur 24. Depuis sa mise en service, en 2000, le site a fait la preuve de son efficacité et reçu un accueil très favorable de la population. A Tiga, dans l’archipel des îles Loyauté en Nouvelle-Calédonie, EEC a expérimenté avec succès le tout photovoltaïque en proposant à la fois les panneaux solaires et un équipement électroménager adapté, à l’instar de réfrigérateurs 24 volts surcalorifugés.
Certaines applications peuvent être réalisées sur des réseaux existants. Ainsi, à Nouméa, la production d’énergie électrique d’origine photovoltaïque a été couplée au réseau de distribution publique. Mise en service en août 2001, cette installation de type toit solaire permet d’utiliser l’énergie photovoltaïque “au fil du soleil”.
Sans oublier le solaire thermique ! Près de La Rochelle, [Subsidiary C] gère 15 000 m2 de panneaux solaires qui assurent, en été, la fourniture d’eau chaude des habitations, des écoles et d’un supermarché, soit l’équivalent de la consommation estivale de 1 200 logements.
S’UNIR POUR PREPARER LE FUTUR
Afin de contribuer activement au développement des systèmes photovoltaïques, [Subsidiary A], TotalFinaElf, IMEC et Soltech se sont associés, en décembre, pour créer l’entreprise [SolarTech]. Cette société construira, en Belgique, une usine de fabrication de cellules et de modules photovoltaïques selon un procédé mis au point par IMEC : les cellules produites avec cette technologie offrent un rendement supérieur pour un prix de revient inférieur à ceux qu’autorisent les procédés actuels. La production démarrera en 2003 et représentera plus de 10 % de la production annuelle des cellules solaires en Europe.
LA BIOMASSE, L’ENERGIE ORGANIQUE
Résidus de bois, d’olives ou de coton, sous-produits de l’agriculture et de l’élevage, etc. : toutes ces matières organiques, essentiellement d’origine végétale, constituent la biomasse, source importante d’énergie renouvelable. [Parent Co.] participe activement au développement des technologies dans ce domaine ; le Groupe est un acteur industriel majeur pour leur mise en œuvre.
DES PROJETS INDUSTRIELS ET ECONOMIQUEMENT RENTABLES
A travers [Subsidiary D], [Parent Co.] gère une cinquantaine de sites aux Etats-Unis et en Europe, qui produisent électricité ou vapeur, à partir de la combustion de plus de 2 millions de tonnes de biomasse diversifiée. Parmi les centrales américaines les plus importantes, citons pour la production d’électricité Bethlehem (18 MW), Fichtburg (19 MW), Lincoln (18 MW), Mc Bain (18 MW), Nothumberland (20 MW), Ryegate (22 MW) et Tamworth (25 MW). En Europe, [Subsidiary D] a inscrit la biomasse dans sa politique de réalisations de projets industriels et économiquement rentables, liés à l’essor de l’électricité verte.
Plusieurs projets sont notamment en cours en Belgique. A Ruien, [Subsidiary A] étudie l’installation d’un procédé innovant de gazéification en lit fluidisé circulant atmosphérique, qui permettra de remplacer une part de la consommation d’énergie fossile de la centrale existante par de la biomasse. La co-combustion, dans la chaudière, des gaz de synthèse issus de la biomasse avec le charbon contribuera à réduire les émissions de gaz à effet de serre, d’oxyde de soufre et d’azote. En 2004, le site de Ruien produira environ 155 GWh/an d’électricité verte, à partir de diverses sources de bois. La centrale des Awirs, quant à elle, traite en co-combustion des résidus d’olives.
Aux Pays-Bas, la centrale électrique de Gelderland, exploitée par [Subsidiary A] Nederland, a brûlé, en 2000, 41 000 tonnes de bois mélangés au charbon. Un chiffre qui correspond à environ 64 000 tonnes d’émissions de CO2 évitées. Une étude est en cours pour en augmenter la capacité.
La biomasse, ce sont aussi de petites chaufferies produisant de la vapeur ou d’eau chaude en valorisant des ressources locales qui sont souvent des sous-produits : écorces, sciures, bois de rebut. [Subsidiary C] en exploite une trentaine en France pour une puissance totale d’environ 70 MW, s’inscrivant ainsi dans des schémas de bonne gestion environnementale de l’énergie.
BIOMASSE ET COGENERATION : LE COUPLE GAGNANT
A Saint-Paul, aux Etats-Unis, une nouvelle centrale de cogénération sera prochainement mise en service par Trigen, filiale de [Subsidiary D] : consommant 280 000 tonnes de bois chaque année, elle produira environ 25 MW d’électricité et 70 MW de chaleur - l’équivalent de la consommation de 20 000 logements -, tout en permettant de réduire les émissions polluantes de 50 %.
BIOGAZ ET VALORISATION ENERGETIQUE : A LA RECHERCHE D'AUTRES ENERGIES VERTES
Par ses installations de valorisation électrique et thermique, [Parent Co.] développe de nouvelles filières d’énergies vertes. Leur intérêt – économies de combustible, réduction des émissions de gaz à effet de serre – est reconnu par la directive européenne sur les énergies renouvelables, qui intègre la fraction organique des déchets ménagers. En 2001, la valorisation du biogaz et des déchets sur les différents sites du Groupe a permis la production de 2 200 GWh d’énergie électrique et de 1 400 GWh d’énergie thermique. Et de nouvelles filières de valorisation sont explorées.
LA VALORISATION DES DECHETS : UNE ARME EFFICACE CONTRE L'EFFET DE SERRE
Avec les 42 centres de valorisation énergétique exploités par plusieurs filales en France, au Royaume Uni et en Belgique, [Parent Co.] est leader dans ces trois pays européens. Avec une priorité : contribuer à la réduction des gaz à effet de serre en continuant à soutenir le développement de la combustion et de la valorisation associée.
Privilégiant les solutions adaptées aux contextes locaux, le Groupe produit de l’électricité et de l’énergie thermique qui alimentent aussi bien des réseaux de chaleur que des process industriels.
En 2001, à partir de 4,9 millions de tonnes de déchets ménagers et de déchets industriels banals, les sites de [Parent Co.] ont produit plus de 1800 GWh d’électricité – une quantité suffisante pour répondre aux besoins d’une ville de 200 000 habitants – et 800 GWh d’énergie thermique.
ANTICIPER LA REGLEMENTATION
En France, l’incinération et la valorisation énergétique des déchets sont essentiellement assurés par [Subsidiary F], dont les 36 unités ont traité en 2001 3,2 millions de tonnes de déchets et ont produit 900 GWh par valorisation électrique et 800 GWh par valorisation thermique.
[Subsidiary F] a toujours anticipé et accompagné ses clients dans le respect d’une réglementation de plus en plus stricte en matière d’incinération. Avec deux axes : appliquer le principe de précaution (17 installations jugées non conformes ont été fermées en 2000 et en 2001) ; devancer les exigences des normes en matière d’émissions de dioxines et de traitement des fumées.
Translation - English WIND POWER: BETWEEN LAND AND SEA
WIND FARMS WORLDWIDE
Along the Baudouin canal in Bruges, [Subsidiary A] and [Subsidiary B] unveiled Belgium’s largest wind farm in March of 2002. With a total capacity of 8.4 MW, fourteen 55-meter high wind turbines generate the equivalent of the yearly energy consumption of approximately 6,000 households. This construction is part of [Subsidiary A]’s comprehensive sustainable development policy. [Subsidiary A] has already opened a wind farm containing three windmills with a capacity of 4.5 MW in Schelle in the Antwerp province.
In France, [Subsidiary C] provides wind farm management services, such as in Roquetaillade where it runs a 5.3-MW capacity wind farm. Its subsidiaries have developed wind farms as well on the islands.
CHOOSING SITES WISELY TO OPTIMIZE PRODUCTION
In order to evaluate windmill production in advance, [Parent Co.] now uses a powerful computer program developed by [Subsidiary D] Engineering. This program takes into account all the local data: wind speeds, characteristics of the terrain, etc. It is mainly used to determine the energy yield of proposed installation sites. This program constitutes part of the Group's efforts to innovate and develop renewable energies, wind energy in particular. Approximately 100 projects are currently under development.
OFFSHORE WINDS
[Parent Co.] is a pioneer of off-shore wind farms. To accelerate its development, the Group is working on confirming viable technical solutions to resolve the problem of marine structures and their connection to the terrestrial power grid. In collaboration with other partners, [Subsidiary A] has developed construction plans for an offshore wind farm that will be exposed to the harsh conditions of the North Sea. Upon completion, this project, named “Synergy,” is expected to have 50 windmills, each with a capacity of 2 MW. Pending necessary authorization, an initial 20-MW section will be made operational in 2003. The project's technical studies, conducted by [Subsidiary D] Engineering, have led to the creation of an optimized wind farm in terms of technical reliability, economic viability, and environmental impact. This wind farm will be no more visible from the coast than a piece of chalk held 20 meters from the eye.
SOLAR ENERGY: RAYS OF THE FUTURE
Every hour, the Earth's surface receives more energy from the sun than we consume in four years. Exploiting this enormous source of energy requires transforming these rays into heat or electricity. These two types of conversion require specific methods for capturing the sun’s rays upstream as well as transporting and storing them downstream.
THE SUN IS SHINING FOR EVERYONE…
However, isolated areas, lacking electrical power grids and infrastructures, are where solar energy represents the most efficient solution. Here are some examples: the Makatea atoll, 200 km from Tahiti, has no airfield or ports. [Subsidiary E], together with the local government and ADEME (l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie), has launched a pilot project for a hybrid solar/diesel power plant. These two energy sources have been combined and optimized to charge batteries and thus provide electricity 24 hours a day. Commissioned in 2000, the site has proven to be efficient and has been warmly received by the population. In Tiga in the Loyalty Islands archipelago of New Caledonia, EEC successfully experimented with photovoltaics with the simultaneous use of solar panels and compatible household electrical appliances, such as super-insulated 24-volt refrigerators.
Some applications can be achieved using existing grids. In Nouméa, electricity generated by photovoltaic panels feeds directly into the municipal power grid. This installation, which consists of roof-mounted solar panels, was put into operation in August 2001, and enables people to use photovoltaic energy “as long as the sun is shining.”
Let’s not forget solar thermal energy! Near La Rochelle, [Subsidiary C] operates 15,000 m2 of solar panels that provide hot water during the summer for homes, schools, and a supermarket, which is the equivalent of the summertime hot water consumption of 1,200 households.
JOINING TOGETHER TO PREPARE FOR THE FUTURE
To actively contribute to the development of photovoltaic systems, [Subsidiary A], TotalFinaElf, IMEC, and Soltech came together in December to create [SolarTech]. This company will build a factory in Belgium that will produce photovoltaic cells and modules according to a process established by IMEC: the cells produced with this technology will provide an increased energy yield at a lower cost compared to cells produced by current processes. Production will start in 2003 and will represent more than 10% of the annual solar cell production in Europe.
BIOMASS – ORGANIC ENERGY
Waste materials from wood, olives, and cotton, by-products of agriculture and livestock production, etc. All these organic materials, essentially originating from plants, make up biomass, an important source of renewable energy. [Parent Co.] is actively involved in developing new technologies in this sector; the Group is a major industrial player in the implementation of these technologies.
INDUSTRIAL PROJECTS THAT ARE ECONOMICALLY PROFITABLE
Through [Subsidiary D], [Parent Co.] manages approximately 50 sites in the United States and Europe that produce electricity and steam, through the combustion of more than 2 million metric tons of various forms of biomass. Among the larger American plants that produce the most electricity are: Bethlehem (18 MW), Fitchburg (19 MW), Lincoln (18 MW), Mc Bain (18 MW), Northumberland (20 MW), Ryegate (22 MW), and Tamworth (25 MW). In Europe, [Subsidiary D] has included biomass in its policy of developing economically profitable industrial projects, to meet the growing demand for green electricity.
Several projects are underway in Belgium. In Ruien, [Subsidiary A] is studying the installation of an innovative atmospheric circulating fluidized bed gasification process, which can replace part of the fossil fuel consumed by the existing plant with biomass. Co-combustion, in boilers, of syngas—produced from biomass—with coal will help reduce greenhouse gases such as sulfur and nitrogen oxides. In 2004, the Ruien site will produce approximately 155 GWh of green electricity per year from various wood waste sources. The plant in Awirs co-fires olive remnants to produce electricity.
In the Netherlands, the Gelderland electric power plant, operated by [Subsidiary A] Nederland, fired 41,000 metric tons of wood mixed with coal in 2000. This resulted in the elimination of approximately 64,000 metric tons of CO2 emissions. A study is underway to increase the plant’s capacity.
Biomass is also used in small boiler plants to produce steam or hot water from local resources that are often by-products, such as bark, sawdust, or wood scraps. [Subsidiary C] operates around 30 such boiler plants in France generating a total output of about 70 MW, and is thus involved in sound environmental energy management.
BIOMASS AND COGENERATION: A WINNING COMBINATION
In St. Paul, Minnesota, United States a new cogeneration plant will soon be commissioned by Trigen, a subsidiary of [Subsidiary D]: consuming 280,000 metric tons of wood every year, it will produce approximately 25 MW of electricity and 70 MW of heat – the equivalent consumption of 20,000 households – all while reducing polluting emissions by 50%.
BIOGAS AND ENERGY RECOVERY: IN SEARCH OF OTHER GREEN ENERGIES
With its plants for electric and thermal recovery, [Parent Co.] is developing new forms of green energy. Their interest – fuel savings and reduced greenhouse gases – is in line with the European Union directive on renewable energies, which includes the organic fraction of household waste. In 2001, biogas and waste recovered at different sites operated by the Group were used to produce 2,200 GWh of electricity and 1,400 GWh of thermal energy. New types of recovery are being explored.
WASTE RECOVERY: AN EFFECTIVE WAY TO REDUCE GREENHOUSE GASES
With 42 waste-to-energy plants operated by several subsidiaries in France, the U.K., and Belgium, [Parent Co.] is a leader in three European countries and has one priority: reduce greenhouse gases by continuing to support the development of combustion and the associated recovery techniques.
Preferring solutions adapted to local situations, the Group produces electricity and thermal energy that power urban heating networks as well as industrial processes.
In 2001, using 4.9 million metric tons of household and non-hazardous industrial waste, [Parent Co.] sites produced more than 1,800 GWh of electricity – enough for a city of 200,000 people – and 800 GWh of thermal energy.
ANTICIPATING REGULATIONS
In France, the incineration and valorization of waste are essentially handled by [Subsidiary F] whose 36 plants treated 3.2 million metric tons of waste to produce 900 GWh of electricity and 800 GWh of thermal heat in 2001.
[Subsidiary F] has always anticipated and helped its clients comply with stricter incineration regulations in two ways: use precaution (17 installations judged to be non-compliant were closed in 2000 and 2001); anticipate the requirements of anti-pollution standards concerning dioxin emissions and smoke treatment.
French to English: French White Paper on Domestic Security and Terrorism General field: Other Detailed field: Government / Politics
Source text - French Introduction
Pour lutter efficacement contre le terrorisme, nous devons d’abord être capables de le nommer, de le définir.
« Tout acte qui vise à tuer ou à blesser grièvement des civils ou des non-combattants, et qui, du fait de sa nature ou du contexte dans lequel il est commis, doit avoir pour effet d’intimider une population ou de contraindre un gouvernement ou une organisation internationale à agir ou à renoncer à agir d’une façon quelconque 1 ».
Telle est la définition du terrorisme proposée par le secrétaire général des Nations unies à l’occasion du sommet de l’assemblée générale célébrant le soixantième anniversaire de l’organisation en septembre 2005. Même si cette définition ne fait pas encore l’objet d’un consensus international, la France l’a acceptée d’emblée. Elle correspond à une forme de violence dont notre pays est familier depuis près de deux siècles.
Menaces passées, actuelles et futures
Acteur engagé de la vie internationale, notre pays a été, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, la cible de nombreux attentats. Nous avons connu le terrorisme lié à des questions de politique intérieure, qu’il s’agisse des attentats commis dans le contexte de la guerre d’Algérie ou du terrorisme lié à des revendications idéologiques ou régionalistes. Mais nous avons également subi une forme de violence terroriste liée à des crises extérieures, lorsque, pour la première fois, des groupes terroristes palestiniens se sont attaqués aux intérêts de leurs adversaires en effaçant les limites géographiques. En France, mais aussi en Italie (attentat de l’aéroport de Rome), en Autriche (attaque du siège de l’OPEP), en Ouganda (prise d’otages d’Entebbe) et ailleurs on a assisté progressivement à la « globalisation » d’une cause par l’action terroriste.
D’autres mouvances ont peu à peu adopté ce mode d’action. L’Armée secrète arménienne pour la libération de l’Arménie (ASALA), fondée en 1975 à Beyrouth, en est un exemple. Jusqu’à son démantèlement en 1984, elle a commis plus de trente-cinq attentats en France, montrant qu’il n’était pas besoin d’être désigné comme l’ennemi principal d’un mouvement pour en être la victime.
Pendant les années 1960 et 1970, la terreur a aussi été portée par des mouvements violents issus de l’extrême gauche et de la mouvance autonome. Une poignée d’entre eux, comme Action directe, ont poursuivi leurs actions jusque dans les années 1980, avant d’être progressivement mis hors d’état de nuire.
Les attentats majeurs les plus récents dont la France a été victime sur son territoire remontent à 1995 et 1996 : attentats dans les stations parisiennes de métro ou de RER Saint-Michel, Maison-Blanche et Port-Royal. Bien que liés aux luttes internes à l’Algérie, ces attentats préfiguraient d’une certaine manière le terrorisme islamiste. Ils furent l’œuvre de terroristes qui s’appuyaient sur des cellules préalablement implantées sur le territoire et qui basculaient du soutien logistique aux groupes armés actifs en Algérie vers l’action opérationnelle contre un État occidental. Cette dimension alors nouvelle était annonciatrice des menaces qui pèsent aujourd’hui sur notre pays.
LE TERRORISME D’INSPIRATION REGIONALISTE N’A PAS EPARGNE LA FRANCE
Les mouvements indépendantistes corse, basque et breton recourent à la violence. Cette forme de terrorisme n’est pas propre à la France. En Espagne et au Royaume-Uni, l’ETA et l’IRA ont mené, pendant plus de trois décennies, un combat intense contre les gouvernements au nom de l’indépendance basque et de l’unité irlandaise. Le terrorisme régionaliste n’a pas disparu. Il est allé dans un passé proche jusqu’à l’assassinat d’un représentant de la République. Il doit continuer à faire l’objet d’une attention soutenue des pouvoirs publics, dans le cadre d’une action de longue haleine.
Mais le terrorisme auquel nous sommes confrontés aujourd’hui est l’héritier des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, qui ont fait près de 3 000 victimes. C’est à cette menace que nous devons être préparés, si nous voulons protéger nos concitoyens.
Un phénomène de plus en plus meurtrier
La capacité de nuisance des mouvements terroristes dépend en partie des moyens de destruction auxquels ils peuvent avoir accès. L’arme blanche des Assassins 1, les armes à feu ou les machines infernales des anarchistes de la fin du XIXe siècle ne permettaient guère que des meurtres ciblés ou des tueries faisant au pis quelques dizaines de victimes.
Dans la deuxième moitié du XXe siècle, l’accès aux moyens modernes de transport, transformés à la fois en objectifs et en moyens de l’action terroriste, ainsi que la mise sur le marché de substances explosives puissantes, ont rendu possible le passage à des prises d’otages et à des massacres d’une ampleur inédite. Le 19 avril 1995, un attentat commis par deux individus isolés à Oklahoma City, aux États-Unis, a tué 168 personnes et en a blessé 600 autres.
La synthèse d’agents chimiques tels que des neurotoxiques puissants, ainsi que l’acquisition de savoir-faire et de technologies biologiques sont désormais à la portée de certains groupes ou d’individus. La preuve en a été donnée lors des attaques au gaz Sarin perpétrées par la secte Aoum dans le métro de Tokyo en mars 1995, ou avec l’envoi d’enveloppes contenant des spores de bacille du charbon à l’automne 2001 aux États-Unis. Ces attentats, qui n’ont causé que quelques morts, ont révélé les difficultés auxquelles se heurtait la perpétration d’attentats de masse avec ces modes opératoires.
Depuis vingt-cinq ans, le nombre des victimes causées par les attentats terroristes a franchi plusieurs seuils. Avant 1983, l’attentat terroriste le plus sanglant avait causé la mort de 85 personnes (attentat perpétré dans la gare de Bologne, en Italie, en 1980).Le seuil de la centaine de victimes a été franchi pour la première fois en 1983, avec le double attentat à Beyrouth, au Liban, contre les forces militaires américaines et françaises (299 morts au total).Jusqu’en 2001, l’attentat le plus meurtrier avait tué 329 personnes (destruction d’un avion d’Air India au-dessus de la mer d’Irlande en 1985). Le seuil du millier de victimes a été largement dépassé avec l’attaque d’Al Qaïda aux États-Unis le 11 septembre 2001.
Même si on constate une diminution après septembre 2001, l’unité de compte des attentats les plus meurtriers est passée, en une génération, des dizaines aux centaines puis aux milliers de victimes.
L’examen du passé et des menaces « classiques » qui pèsent sur notre pays permet de déterminer les caractéristiques – cumulatives – du type de terrorisme susceptible de présenter, en France, une menace autre que circonstancielle. Il se manifeste par des actions violentes, préparées clandestinement. Il est l’œuvre de groupes non étatiques, ce qui amoindrit sa prévisibilité. Il est le fait d’individus idéologiquement motivés, arrimés à une cause internationale dont la rhétorique s’inscrit dans la durée. L’un de ses buts est de tuer un nombre aussi élevé que possible de Français ou de ressortissants étrangers sur le sol français, même si son cadre d’analyse ne s’arrête par principe ni aux frontières de la France ni à la nature civile des victimes. Dans sa logique, tous les coups sont permis. Il cherche à obtenir un effet psychologique majeur sur les pouvoirs publics et sur l’opinion.
La hausse potentielle du niveau de destruction recherché par les terroristes constitue la première justification d’un réexamen par la France de son dispositif de lutte antiterroriste.
Translation - English Introduction
In order to effectively combat terrorism, we must first be able to name and define it.
“…any action that is intended to cause death or serious bodily harm to civilians or noncombatants, when the purpose of such an act, by its nature or context, is to intimidate a population or to compel a Government or an international organization to do or to abstain from doing any act… ”
This is the definition of terrorism proposed by the Secretary General of the United Nations at the Summit of the General Assembly in September 2005 that celebrated the 60th anniversary of the organization. Although there is as yet no international consensus on this definition, France immediately embraced it since it corresponds to a form of violence that our country has been familiar with for nearly two centuries.
Past, Present, and Future Threats
Due to France's involvement in the international scene, it has been the target of numerous terrorist attacks during the second half of the 20th century. We have experienced terrorism stemming from issues of domestic policy, such as terrorist attacks committed in response to the war in Algeria, and terrorism to ideological and regionalist claims.
However, we have been the victim of terrorist violence related to foreign crises, for example, when Palestinian terrorist groups first attacked the interests of their adversaries by erasing geographical limits without geographical limitation. We have progressively witnessed a “globalization” of ideological causes through terrorist acts not only in France, but also in Italy (attack on the Rome airport), Austria (attack on OPEC headquarters), Uganda (hostage taking in Entebbe), and elsewhere.
Other movements have gradually adopted this course of action. The Armenian Secret Army for the Liberation of Armenia (ASALA), founded in 1975 in Beirut, is one such example. At the time of its dissolution in 1984, ASALA had committed more than 35 attacks in France, demonstrating that it is possible to be the victim of a movement without having been designated as a main enemy.
During the 1960s and 1970s, terror was also brought into France by violent extreme-leftist movements and the autonomist movement. A handful of them, such as Action directe, continued their terrorist acts until their destructive power was gradually neutralized in the 1980s.
The most recent major attacks that have occurred on French soil happened in 1995 and 1996: terrorist attacks in the Paris metro and RER stations of Saint-Michel, Maison-Blanche, and Port-Royal. Although linked to domestic fighting in Algeria, these attacks, to some extent, foreshadowed current Islamist terrorism. These attacks were the work of terrorists who relied on cells previously set up France that eventually shifted their focus from providing logistical support to active armed groups in Algeria to being involved in direct action against a Western state. This new dimension was a precursor to the threats that our country is now facing.
Regionalist terrorism has not spared France.
The Corsican, Basque, and Breton separatist movements have all resorted to violence. This form of terrorism is not specific to France, however. For more than three decades, the ETA in Spain and IRA in the United Kingdom have waged fierce attacks on the governments of these two countries in the name of Basque independence and Irish unity, respectively. Regionalist terrorism has not disappeared. Not long ago even resulted in the assassination of a French representative. Authorities must continue to closely monitor regional terrorism over the long term.
The terrorism we are confronted with today, however, is the legacy of the attacks of September 11, 2001 in the United States, which killed close to 3,000 people. This is the type of threat we must prepare for if we want to protect our fellow citizens.
An Increasingly Murderous Phenomenon
The ability of terrorist movements to do harm depends in part on the available means of destruction. The knives used by the Secret Order of Assassins and the firearms and organ guns used by anarchists at the end of the 19th century were effective only for targeted murders or killing a few dozen people at most.
During the second half of the 20th century, access to modern means of transportation, transformed into both targets and instruments of terrorist attacks, as well as access to powerful explosives on the black market made it possible to capture hostages and to commit massacres of previously unseen magnitudes. On April 19, 1995, an attack perpetrated by two lone individuals in Oklahoma City killed 168 people and injured 600 others.
The synthesis of chemical agents such as powerful neurotoxins, and the acquisition of biological know-how and technologies are now within reach of certain groups and individuals. This was evidenced in March 1995 by the Sarin gas attacks perpetrated by the Aum Shinrikyo cult in a Tokyo subway and by the incidents in the United States during the fall of 2001 when envelopes containing anthrax were mailed across the country. These attacks, which have only caused a few deaths, revealed the difficulty of perpetrating mass terrorist attacks by such means.
During the past twenty-five years, the number of deaths resulting from terrorist attacks has crossed several thresholds. Up until 1983, the deadliest terrorist attack resulted in 85 deaths (in a Bologna, Italy train station in 1980). The number of death surpassed 100 for the first time in 1983, with the dual suicide attacks in Beirut, Lebanon against American and French armed forces (299 deaths total). Until 2001, the deadliest attack resulted in the deaths of 329 people (explosion of an Air India plane above the Irish Sea in 1985). The 1,000-death threshold was greatly surpassed by al-Qaeda’s attack on the United States on September 11, 2001.
Even though there has been a decrease in attacks since September 2001, the deaths caused by terrorist attacks have gone from being counted by tens, to hundreds, to thousands of victims over the course of a single generation.
Examining the past and “classic” threats that have hung over our country enables us to determine the cumulative characteristics of the type of terrorism liable to pose more than a circumstantial threat in France. It takes the form of secretly organized violent actions and is the work of non-state groups, a fact that decreases its predictability. It is the act of ideologically motivated individuals connected to an international cause shrouded in long-standing rhetoric. One of its objectives is to kill as many French citizens or foreign nationals on French soil as possible, even if its analytical framework is not impeded by the borders of France nor by the civilian status of the victims. The mentality is one of no-holds-barred. These terrorists wish to have a major psychological impact on authorities and on public opinion.
Due to the potential increase in the level of destruction by terrorists, France needs to reexamine its methods of combating terrorism.
French to English: Phosphates in Water General field: Science Detailed field: Science (general)
Source text - French 2- LES SOURCES DE PHOSPHATES DANS L'ALIMENTATION
La voie hydrique n’est pas la seule voie d’exposition aux phosphates. Ces derniers sont également à la base d’additifs alimentaires comme le E340 ou le E341, utilisés dans de nombreux produits. Dans les aliments pour nourrissons âgés de plus de 3 mois, ils peuvent être présents jusqu’à 1 % du poids du produit.
Quelques exemples de concentrations en phosphore dans les aliments (exprimé en % de poids frais) : blé 1.2 %, pois 0.1 %, arachides 0.4 %, poisson et viande 0.2 %, lait 0.1 %, fruits 0.015 %.
3 LES PHOSPHATES ET L'EAU
De part leur présence dans les végétaux et dans les sols, où ils sont le résultat de la décomposition de la matière vivante, les phosphates sont omniprésents dans l’environnement.
Solubles dans l’eau, ils se retrouvent par lessivage des sols dans les eaux superficielles, en faibles concentrations. Les eaux de surface contiennent en effet de 0,1 à 0,3 mg de phosphates par litre exprimés en P2O5.
Cependant la teneur actuelle en phosphates des eaux naturelles est essentiellement due aux apports diffus d’origine agricole (10 à 20 %), aux effluents industriels (30 à 40 %) et aux rejets d’eaux usées domestiques peu ou pas déphosphatées. Ces eaux peuvent être contaminées par les lessives domestiques et par les matières fécales dont la décomposition entraîne la formation de phosphates. Toutefois, depuis quelques années, les fabricants de lessives ont mené une politique active pour limiter la quantité de phosphates dans leurs lessives, de sorte que les polyphosphates ont quasiment disparu aujourd’hui des lessives domestiques.
Avec les nitrates, ils sont en effet responsables de l’eutrophisation des lacs et des cours d’eau qui se traduit par une croissance excessive des algues. Ceci entraîne une raréfaction de l’oxygène dommageable pour la vie aquatique. L’eutrophisation peut parfois entraîner goûts et odeurs désagréables de l’eau potable. La gestion des algues sur la chaîne de traitement complique ce dernier sans pour autant diminuer ses performances.
6- LES METHODES D'ANALYSE
Les composés phosphorés, qui sans hydrolyse ou minéralisation répondent au test spectrophotométrique sont considérés comme des orthophosphates. L’hydrolyse en milieu acide fait apparaître le phosphore hydrolysable et la minéralisation le phosphore organique.
La méthode colorimétrique utilisant le molybdate d’ammonium est la méthode usuelle de dosage des orthophosphates. En milieu acide en présence de molybdate d’ammonium, les orthophosphates donnent une coloration bleu susceptible d’un dosage colorimétrique. Pour éviter que certaines formes organiques se transforment en orthophosphates au cours de cette réaction, elle est accélérée en utilisant un catalyseur (tartrate double d’antimoine et de potassium). Cette technique peut être adaptée en flux continu.
Pour doser les orthophosphates dans les eaux propres, le CIRSEE utilise la technique de chromatographie ionique pour une LQI de 0.030 mg/l de P avec une incertitude de 20% à ce niveau et de 10% au dessus de 0.1 mg/l.
Les polyphosphates tels que pyro, meta ou tripolyphosphates sont transformés par hydrolyse en milieu acide concentré en orthophosphates et dosés sous cette forme.
Le phosphore total est transformé par minéralisation en orthophosphates et souvent dosé sous cette même forme.
Pour doser le phosphore total, le CIRSEE utilise une autre technique : l’ICP-AES (Inductively Coupled Plasma - Atomic Emission Spectrometer) pour une LQI de 0.015 mg/l de P et une incertitude de 20%.
7- LES TRAITEMENTS
Les phosphates sont éliminés avant le rejet des eaux résiduaires dans le milieu naturel et avant le stockage de l’eau brute destinée à la production d’eau potable.
Ainsi, les solutions préventives consistent en la réduction de l’utilisation des phosphates dans les lessives, en la diminution des rejets industriels taxés par les Agences de l’Eau et en l’application d’un procédé biologique de déphosphatation lors de l’épuration des eaux usées.
Les solutions curatives pour la production d’eau potable font intervenir la déphosphatation par voie biologique, par procédés de déminéralisation, de coagulation ou de précipitation.
Translation - English 2- SOURCES OF PHOSPHATES IN FOOD
Water is not the sole means of exposure to phosphates. Phosphates also form the basis of food additives such as E340 and E341, which are used in numerous products. Phosphates can also be present in foods for nursing infants older than 3 months and can constitute up to 1% of product weight.
Some examples of phosphorous concentrations in various food products include (expressed as a percentage of the wet weight): wheat 1.2%; peas 0.1%; peanuts 0.4%; fish and meat 0.2%; milk 0.1%; fruit 0.015%.
3 PHOSPHATES AND WATER
Since phosphates are found in vegetation and soil, where they result from the decomposition of organic matter, they are omnipresent in the environment.
Water-soluble, they are deposited in surface waters in weak concentrations through soil leaching. Surface water contains between 0.1 mg and 0.3 mg of phosphates per liter, expressed as P2O5.
However, the current phosphate concentration in natural water is essentially due to diffuse agricultural runoff (10% to 20%), industrial effluents (30% to 40%), and domestic wastewater discharge, from which little or no phosphate has been removed. Natural waters may be contaminated from household detergents and fecal matter, which creates phosphates upon decomposition. However, for some years, detergent manufacturers have been taking active measures to limit the amount of phosphates in their products, to such an extent that polyphosphates have now been nearly eliminated from household detergents.
Along with nitrates, phosphates are responsible for the eutrophication of lakes and streams, which leads to excessive algae growth. This results in oxygen depletion, which in turn harms aquatic life. Eutrophication can sometimes produce unpleasant tastes and odors in drinking water. Algae management during the treatment process complicates this process without diminishing its results, however.
6- ANALYSIS METHODS
Phosphorous compounds that respond to spectrophotometric tests without hydrolysis or mineralization are considered to be orthophosphates. Hydrolysis in an acid medium creates hydrolysable phosphorous and mineralization gives rise to organic phosphorous.
Colorimetry using ammonium molybdate is the most common method for measuring orthophosphates. In an acid medium with ammonium molybdate, orthophosphates give off a blue color that can be measured with colorimetry. To prevent certain organic forms from transforming into orthophosphates, this reaction is sped up by way of a catalyst (antimony potassium tartrate). This technique can be done continuously.
To measure orthophosphates in clean water, CIRSEE uses ionic chromatography for an MDL of 0.030 mg/L of P with 20% uncertainty, and 10% uncertainty for levels above 0.1 mg/L.
Polyphosphates such as pyro-, meta-, or tripolyphosphates are transformed into orthophosphates by hydrolysis in an acid medium and then measured in this form.
Total phosphorous is transformed into orthophosphates by mineralization and is often measured in this form.
To measure total phosphorous, CIRSEE uses a different method: ICP-AES (Inductively Coupled Plasma – Atomic Emission Spectrometer) for an MDL of 0.015 mg/L of P with 20% uncertainty.
7 – TREATMENTS
Phosphates are removed before wastewater is discharged back into the environment and before raw water intended for the production of drinking water is stored.
Thus, preventive solutions consist of reducing phosphate amounts in detergents, reducing industrial discharges assessed by the Water Authorities, and implementing a biological process for phosphate removal during wastewater treatment.
Curative solutions for drinking water production include biological phosphate removal or removal by means of demineralization, coagulation, or precipitation.
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Translation education
Master's degree - Monterey Institute of International Studies
Experience
Years of experience: 17. Registered at ProZ.com: Sep 2009.
MA in Translation, French>English from the Monterey Institute of International Studies
--Experience translating texts in the medical, financial, technical, and environmental domains.