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The Peer Review of the Republic of Benin, which acceded to the APRM in July 2004, was the first in 2008. Following the successful completion of the national self-assessment report, draft programme of action and validation of the self-assessment by the Country Review Mission (CRM), Benin was peer reviewed on 30th January 2008, at the 8th APR Forum in Addis Ababa.
The Lead Panel Member in charge of Benin, Mrs. Marie-Angélique Savane, presented the main findings in the Benin Country Review. The main strengths included: the personal commitment of the President to good governance and the APRM’s fundamental objectives and the peace and stability that the country is currently enjoying, particularly after witnessing years of military dictatorship and political instability. The country’s membership of regional economic communities and monetary entities and the abundance of natural resources to be developed, especially in the agricultural sector are also principal contributory factors. Benin’s challenges, pointed out in the review included: high levels of corruption; slow progress in the reform and modernisation of the State; low level of women’s participation in decision-making processes and in political representation; widespread poverty; child trafficking; an underdeveloped private sector and excessively large numbers of political parties and civil society organisation.
In his response, H.E Boni Yayi, President of the Republic of Benin, commended the Country Review Team for the good work done and reiterated his Government’s commitment to implementing his country’s National Programme of Action (NPoA). He elaborated on some of the best practices highlighted in the Report and asserted that the findings and recommendations set out in the Report would be fully implemented in Benin. President Yayi then underscored the various measures that his Government has initiated to reduce poverty and promote sustainable development in Benin.
The peer review followed. It focused inter alia on the issues of endemic corruption; the large number of political parties (150) in Benin as well as the large numbers of NGOs (3,000), which if externally funded, could threaten the country’s sovereignty. Another issue underscored in the peer review was the fact that the economic growth rate of Benin is below the population growth rate.
Translation - French L’ÉVALUATION PAR LES PAIRS DU BÉNIN
L’évaluation par les pairs de la République du Bénin, qui a rejoint le MAEP en juillet 2004, était la première de l’année 2008. Suite au rapport d’autoévaluation satisfaisant du pays, un avant-projet de programme d’action a été établi et l’autoévaluation a été validée par la Mission d’Evaluation Pays (MEP). Le Bénin a été évalué par les pairs le 30 janvier 2008, lors du 8ème Forum AEP à Addis Abeba.
Le Premier panéliste en charge du Bénin, Mme Marie-Angélique Savane, a présenté ses principales conclusions dans l’évaluation pays du Bénin. Les principales forces du pays sont: l’engagement personnel du Président envers la bonne gouvernance et les objectifs fondamentaux du MAEP et la paix et la stabilité actuelles du pays, en particulier après des années de dictature militaire et d’instabilité politique. L’adhésion du pays auprès de communautés économiques régionales et d’institutions monétaires ainsi que l’abondance des ressources naturelles à développer, en particulier dans le secteur agricole, sont également des facteurs importants. Les défis du Bénin, révélés par l’évaluation sont les suivants: des niveaux élevés de corruption, une progression lente de la réforme et de la modernisation de l’Etat, une faible participation des femmes dans les processus décisionnelles et dans les institutions politiques, une pauvreté importante, des trafics d’enfants, un secteur privé sous-développé et un nombre excessivement élevé de partis politiques et d’organisations civiles.
Dans sa réponse, H.E Boni Yayi, Président de la République du Bénin, a félicité l’Equipe d’évaluation pays pour le bon travail accompli et a réitéré l’engagement de son gouvernement dans la mise en œuvre du Programme national d’action (PNA) de son pays. Il a donné plus de détails sur certaines des meilleures pratiques mises en avant dans le rapport et a assuré que les conclusions et recommandations présentées dans le rapport seraient intégralement mises en œuvre au Bénin. Le Président Yayi a alors souligné les diverses initiatives que son gouvernement avaient prises pour réduire la pauvreté et promouvoir le développement durable au Bénin.
L’évaluation des pairs s’est poursuivie. Elle s’est notamment intéressée au problème de la corruption endémique, et à celui du trop grand nombre de partis politiques (150) et d’organisations non gouvernementales (3000) au Bénin, qui s’ils parvenaient à trouver des financements extérieurs, risquaient de menacer la souveraineté du pays. Un autre problème a été mis en évidence dans l’évaluation par les pairs, celui du taux de croissance économique du Bénin qui est inférieur à son taux de croissance démographique.
English to French: THE AFRICA BIOFORTIFIED SORGHUM PROJECT
Source text - English THE AFRICA BIOFORTIFIED SORGHUM PROJECT
FIGHTING POOR NUTRITION WITH NUTRIENT-RICH CROPS
Shortened Version – Third
Translation - French LE PROJET DE SORGHO BIOFORTIFIÉ POUR L’AFRIQUE
COMBATTRE LA MALNUTRITION AVEC DES PRODUITS AGRICOLES RICHES EN NUTRIMENTS
Version abrégée – Troisième et dernière version – 12 fév. 2009
Il s’agit d’un des tueurs les plus insidieux de l’Afrique.
Elle emporte plus de gens que la malaria, la tuberculose et le SIDA réunis, la malnutrition est le fléau silencieux de l’Afrique.
Avec plus de 200 millions d’africains mal nourris de façon chronique, le continent a le pourcentage le plus élevé de personnes sous-alimentées dans le monde.
La malnutrition ne pardonne pas pour les enfants – la moitié des nourrissons nés sur le continent ont un poids insuffisant à la naissance.
La déficience en vitamine A est à l’origine du décès de plus d’un demi million d’enfants africains chaque année. Il s’agit également de la première cause de cécité nocturne sur le continent alors que celle-ci est parfaitement évitable. Il en résulte des retards mentaux et physiques.
En aggravant les maladies, en limitant le succès scolaire, en réduisant la productivité et en limitant les alternatives pour gagner sa vie, la malnutrition condamne les gens à un cercle sans fin de pauvreté.
LE PROJET DE SORGHO BIOFORTIFIÉ POUR L’AFRIQUE
COMBATTRE LA MALNUTRITION AVEC DES PRODUITS RICHES EN NUTRIMENTS
En 2003, la Fondation Bill et Mélinda Gates a lancé l’inititiative du Grand Défi pour la Santé Mondiale qui consiste à appliquer les innovations scientifiques et technologiques aux plus grands problèmes sanitaires du monde.
Le Grand Défi numéro 9 a pour but de créer une seule espèce de plante de base qui contienne toute la gamme des nutriments nécessaires et bio disponibles.
Dans le cadre du Grand Défi numéro 9, le Projet de sorgho biofortifié pour l’Afrique rassemble six organisations africaines et deux organisations internationales dans le but de mettre au point un sorgho plus nutritif et plus facilement assimilable qui soit enrichi en vitamine A, en fer, en zinc, en acides aminés et en protéines.
Le Sorgho est une denrée de base pour plus de 300 millions d’africains. Il est utilisé pour faire le pain, le porridge et des boissons alcoolisées. Il fait intégralement partie de la culture africaine et joue un rôle dans de nombreuses cérémonies.
Il est naturellement résistant à la sécheresse et aux dégâts causés par les insectes.
Les sécheresses régulières sont une donnée fondamentale du climat africain et les prévisions relatives au réchauffement climatique annoncent une plus grande fréquence de ces sécheresses. De ce fait, la résistance du sorgho en fait une culture idéale pour soulager les problèmes nutritionnels de l’Afrique.
MOHAMMED HOVNY
Malheureusement, la protéine du sorgho est de mauvaise qualité et n’est pas très digestible. Par ailleurs, le sorgho est également pauvre en nutriments essentiels comme la vitamine A et les acides aminés. Sa contenance en fer et en zinc est également faible.
La cuisson et les modes de préparation culinaires empirent encore les choses.
En améliorant les qualités nutritionnelles des sorghos, plus de la moitié des 11 millions d’enfants de moins de 5 ans qui meurent chaque année pourraient être sauvés.
English to French: PROXY
Source text - English PROXY
The undersigned: _______________
Resident at: ________________________________
_________________, United Kingdom
Acting in his capacity as Director in the name of, and on behalf of, a company with capital of GBP 550,100,000.00 and registered offices at
Nominated for this function in terms of the Ordinary General Meeting of associates of the above company which took place on ____ November 2008 invested with all powers related to this matter, in accordance with the Memorandum and Articles of Association, hereby declare the following to be the authorised Proxy:
Mr Renny …………..
Resident at:………………….,
for the purpose of representing the undersigned in carrying out the formalities required for the acquisition of shares (“Share Acquisition”) in Surveillance Services Integres (“SSI-SARL”), which company’s name has been or will be changed to Group 4 …..
In this matter, he shall have full power and authority to act on behalf of G4 and in his own name, to carry out the formalities required by the local and national regulations and laws of Mali governing the formation of companies and the issuance, acquisition and transfer of shares thereof, particularly signing and registering all documents, registering the memorandum and articles of association by private deed or by notarial deed, depositing any funds, having all deeds and documents delivered, settling all accounts and dues with the current or former shareholders of the Company upon prior approval of G4, and taking whatever other actions are necessary to give effect to the Share Acquisition within the limits of this Proxy.
This proxy is revocable in writing at any time and is otherwise valid for a period of twelve (12) months from the date hereof.
U.K. dated ____ August 2008
Mr Renny … Director
(Signature preceded by the handwritten (Signature preceded by the hand-handwritten endorsement “Accepted”. written endorsement “Procuration given by”.
______________________________
______________
Signed in the presense of :
Witness :____________________
Translation - French MANDAT
Le soussigné: _______________
Résidant: ________________________________
_________________, Royaume-Uni
agissant en sa capacité de Directeur, au nom et pour le compte de …………………………, une société au capital de 550,100,000.00 de livres sterling et dont le siège social se situe à :
Investi dans cette fonction par une décision de l’Assemblée générale ordinaire des associés de la société susmentionnée qui s’est réunie en novembre 2008 et qui disposait de tous les pouvoirs relativement à cette nomination, conformément aux statuts de la société, déclare par la présente que la personne suivante est le mandataire autorisé.
M Renny …
Résidant
afin de représenter la personne sus désignée dans l’accomplissement des formalités requises pour l’acquisition de parts sociales (“acquisition de parts”) de la SARL Surveillance Services Intégrés (“SARL SSI”), dont la dénomination a été ou sera modifiée pour devenir Group 4 (“SARL G4”).
Relativement à cette affaire, il détient les pleins pouvoirs et toute l’autorité pour agir pour le compte de G4 et en son propre nom, pour accomplir les formalités requises en vertu de la législation nationale du Mali applicable à la création des sociétés et à l’émission, l’acquisition et la cession de parts sociales, en particulier les formalités relatives à la signature et à l’enregistrement de tous les documents, à l’enregistrement des statuts de la société par acte sous seing privé ou par acte authentique, au dépôt de fonds, à la détention de tous les actes ou documents, au règlement de toutes les sommes dues aux associés actuels ou précédents de la société après obtention du consentement préalable de G4, ou à toute autre action qui s’avèrerait nécessaire pour que l’acquisition des parts sociales puisse produire tous ses effets dans les limites du présent mandat.
Ce mandat est révocable par écrit et à tout moment et, en l’absence de révocation, est valable pour une durée de douze (12) mois à compter de la date suivante.
R-U, le ____ août 2008
Mr Renny Director
(Signature précédée de la mention manuscrite Mention manuscrite « Procuration donnée par ».
______________________________
______________
Signé en la présence de :
Témoin :_______________________
English to French: DEATH AND LIFE: The questions to your answers
Source text - English The approach to the dying person in the five different stages of dying
“Watching the peaceful death of a human being reminds us of a falling star; one of a million lights in a vast sky that flares up for a brief moment only to disappear into the endless night forever.”
(Elisabeth Kübler-Ross)
“The end is when all things return to unity, that is to say, God.”
(Honoré de Balzac)
In dealing with the dying person, the first aspect that we need to continuously remember is that we are dealing with a person – a person who has feelings, wishes and desires; a person who is experiencing pain and suffering; a person who has the right to be heard; a person who should have a say in matters where his own life is con- cerned. The dying person should be listened to and consulted, and his wishes are to be respected even if they are contradictory to our beliefs and convictions. The final decision regarding his own life should always be given to the dying person.
The best approach to adopt towards the dying person is a direct and open approach. Death needs to be recognised as an integral part of life. Each one of us will encounter death one day. If our view of death is that death is a frightening and horrible event, if we hold death as a topic that is taboo and as a subject that should not be discussed openly, we will not be able to face death calmly and naturally, and therefore we will not be of help and of use to the dying person.
In dealing with and handling the dying person in a beneficial manner, we need to:
- Develop a personal, one-to-one, direct and open relationship with the dying person. (This aspect is mainly intended for the medical staff, who tend to keep a “professional” distance from the dying person.)
- Honour the dying person as a complete human being. We need to honour his privacy, his needs and wishes, as well as his choices even if we are not in agreement with him. After all, this is his life.
- “Let him be.” We need to let the dying person tell us how he feels, what he needs and what he desires for himself, instead of us (the doctor, the family) acting as if we know what is best for him. Remember: a man can die but once.
The different stages of dying require different approa- ches to the dying person, which are relevant at each particular stage.
At the denial stage, if the person is not yet ready to hear the news about his condition, do not force it on him. He might need a longer period to deal with the sudden shock. If the dying person refuses to talk about the situation, and clearly says, “I do not want to talk about it now”, it is not a sign of rejection, but rather a sign that the person is not ready to talk, to share or to open up to the external world. Be patient. The dying person might be ready in some time to come, and he will give us an indication when he finds himself ready to talk. Without exception, there always comes a time when the dying person is in great need to share, at least some of his concerns and feelings. So be patient and wait for the appropriate time. It is important at this stage, to reassure the person that we stand together with him, that he is not alone in his struggle and battle against the illness, and that under no circumstances will we abandon him. With such an assurance, the person’s confidence will rise, and he, of his own volition, will seek information in due time, when he will be able to face the outcome of his illness and the reality of the situation.
During this stage, as the dying person starts to digest the sudden shock, as he starts to internalise the bad news, he will start to step out of his protective shelter, out of his denial, and he will start to ask questions pertaining to his condition and situation. The person might pose certain questions such as: “Am I dying?” or, “How long do I have to live?” It is essential to be open, direct and frank with the dying person. If the person is dying, we need clearly to say so. In asking questions, the dying person clearly indicates his wish to learn the truth. If the person will not want to know the facts, he will simply not ask questions. The attempt to cover the truth from the person is due to fail, sooner or later, since few people are good enough actors to fake it for an extended period of time. Not everyone in the family will be able to cover their emotions for too long. The question therefore should not be, “Should we tell the person?” but rather, “How do we share the information with the person in a manner that is useful?” As to the question, “How long do I have to live?”, no-one can give an answer, as no-one knows. Even when a doctor has given us six months to live, there is no way the doctor can know the amount of time that is left for a specific person. Assigning any time span to human life is extremely unjustified, inaccurate and misleading, as exceptions in both directions are the rule.
Furthermore, it is easier for everyone – for the dying person as well as for the family – to handle death and all of the aspects and consequences connected to it, when death is still “far away”, rather than when death is “blowing into your face”. It is easier to deal with all the many facets concerning death whilst the dying person is still in relatively good health and still able to maintain to a degree, a sense of well-being. Since we expect the condition of the person to deteriorate with time, and since we do not know at what rate the illness might progress, postponing and delaying the conversations about death usually stems from our own difficulty to face death, and from our own need to defend ourselves, and not necessarily from the desire to benefit the dying person.
More often than not, the dying person tailors his re- sponses in reaction to the responses of the people around him. If the family will approach the dying person by deny- ing his situation, it will reinforce his need for denial. Since it is difficult and painful to talk about death, any implicit or explicit message not to talk about the reality of death, is taken and adopted by the dying person. Although the dying person is aware of the seriousness of his illness, whether he is told or not, he might elect not to share his knowledge with people who engage with denial. In addition, the dying person might engage in denial because his family expects him to do so – the family upon which he is now dependent. Yet, if the people around the dying person are open about death, it will encourage the dying person to face his own reality. It is really okay to use the words “death” and “dying” in front of the dying person. Honesty is always appreciated. As such, it is possible that the dying person will respond in a selective manner. He might engage in denial with the people who deny, and might discuss his situation with the people who are open about it.
What is of utmost importance is to allow the dying person to dictate the pace and for us to proceed along with him in the process of dying in all of its stages. If the person chooses at some times to engage in denial (and the need to deny might emerge several times), be sensitive to the need and allow the denial to take place. If the dying person chooses to talk and share about his situation, we need to respond openly and frankly as we talk to any healthy adult, without covering any aspect or detail. Do not treat the dying person as if he is an immature child. Being critically ill does not mean being mentally incapacitated.
The stage of anger is a difficult stage for everyone around the dying person, as the anger is often irrational and is directed at everyone possible. This anger must not be taken personally. If we take it personally, it is likely to evoke anger in us, in which case we will also react out of anger, leading to a further escalation of the emotional reaction. If we take the anger personally, we might lash back at the dying person – either directly to his face or we might complain and express our dismay to other members of the family. We can often hear a spouse expressing anger and resentment in saying, “Whatever I do for him is not good enough. I cannot take it anymore. Right now he is worse than when he was well.” Even worse, as a reaction to the displayed anger, we might decide to avoid further visits, or at least to reduce our contact with the dying person. Such reactions only increase the person’s discomfort and sense of isolation, which in turn aggra- vates his anger, pain and loneliness.
People often judge anger as wrong. It is important for the family to look at the anger not through their own eyes but rather from the dying person’s perspective. In putting ourselves in the dying person’s shoes, and in accepting our own mortality, the less will be our need to be defensive, and as such we will be able to call for tole- rance in the face of irrational anger. Anger needs to be expressed. Anger needs to be released, as underneath the anger there is fear and pain. And unless the anger is released, we cannot access the fear and the pain. Therefore, the dying person should be encouraged to express his anger without shame, guilt or any restrictions. The expression of the anger creates relief which will assist the dying person in a later stage, to accept his death.
Translation - French La conduite à tenir face à la personne mourante au cours des cinq différents stades de la mort
« Regarder un être humain mourir paisiblement nous fait penser à une étoile filante, une lumière parmi des millions d’autres dans un ciel immense, qui s’embrase juste pour un instant avant de disparaître pour toujours dans l’infinité de la nuit. »
(Elisabeth Kübler-Ross)
« La fin, c’est quand toutes les choses retournent vers l’unité, autrement dit, vers Dieu. »
(Honoré de Balzac)
Face à la personne mourante, la première chose que nous devons continuellement garder à l’esprit est que nous avons à faire à une personne – une personne qui a des sentiments, une volonté, des désirs; une personne qui fait l’expérience de la douleur et de la souffrance; une personne qui a le droit d’être entendue ; une personne qui devrait avoir son mot à dire dans tous les domaines où sa propre vie est concernée. La personne mourante devrait être entendue et consultée, et sa volonté devrait être respectée même si elle contredit nos propres croyances ou convictions. La personne devrait toujours avoir le dernier mot pour toute décision finale concernant sa propre vie.
La meilleure conduite à adopter face à la personne mourante est une conduite franche et ouverte. Il faut reconnaître la mort comme faisant intégralement partie de la vie. Chacun d’entre nous rencontrera la mort un jour. Si nous voyons la mort comme un évènement horrible et terrifiant, si nous considérons la mort comme un sujet tabou dont il est impossible de parler ouvertement, nous serons dans l’incapacité d’y faire face calmement et naturellement, et par conséquent, nous ne serons d’aucune aide et d’aucune utilité pour la personne mourante.
Pour faire face à la personne mourante et pour l’aider efficacement, il faut :
- Développer une relation personnelle, yeux dans les yeux, une relation directe et ouverte avec la personne mourante. (Cet aspect est principalement destiné au personnel médical qui tente de conserver une distance « professionnelle » avec le mourant.)
- Respecter la personne mourante en sa qualité d’être humain complet. Il faut respecter son intimité, ses besoins, sa volonté, ainsi que ses choix même si nous les désapprouvons. Après tout, il s’agit de sa vie.
- « Laissez-la être. » Nous devons laisser la personne mourante exprimer ce qu’elle ressent, ses besoins et ce qu’elle désire pour elle-même, et non pas nous (le médecin, la famille) comporter comme si nous savions mieux qu’elle ce qui lui faut. Souvenez-vous qu’un homme ne meurt qu’une fois.
Chaque étape différente de la mort requiert une attitude particulière face à la personne mourante, qui est adaptée à chaque phase déterminée.
Au cours du stade du déni, il ne faut pas forcer la personne à entendre la vérité sur son état si elle n’est pas prête pour cela. Elle peut avoir besoin d’une période plus longue pour encaisser le choc. Si la personne en fin de vie refuse de parler de son état et affirme clairement : « Je ne veux pas en parler maintenant », il ne s’agit pas d’un signe de rejet, mais c’est plutôt le signe que la personne ne se sent pas encore prête à parler, à partager ce qu’elle ressent ou à s’ouvrir au monde extérieur. Soyez patient. Cette personne peut se sentir prête d’un moment à l’autre, et elle vous indiquera clairement quand le moment sera venu pour elle de parler. Il n’y a pas d’exception ; il y a toujours un moment où la personne en fin de vie ressent le besoin impérieux de partager, au moins en partie, ses inquiétudes et ses sentiments. Il suffit donc d’être patient et d’attendre le bon moment. Il est important à ce stade de rassurer la personne sur le fait que nous sommes là, à ses côtés, qu’elle n’est pas seule dans son combat contre la maladie, et que nous ne l’abandonnerons en aucune circonstance. Avec une telle promesse, elle va pouvoir se sentir de plus en plus en confiance, et de son propre gré, elle cherchera à s’informer sur son état lorsqu’elle se sentira capable de faire face aux conséquences de sa maladie et à la réalité de sa situation.
À ce stade, la personne mourante commence seulement à encaisser le choc. Une fois qu’elle aura intériorisé la mauvaise nouvelle, elle commencera à sortir de sa coquille et de son déni, et elle commencera à s‘enquérir de son état. La personne peut se mettre à poser certaines questions du genre : « Suis-je en train de mourir ? » ou, « Combien de temps me reste-t-il à vivre ? » Il est essentiel d’être ouvert, direct et franc avec le malade. Si la personne est en train de mourir, il faut le lui dire clairement. Par les questions qu’elle pose, la personne mourante signifie clairement qu’elle veut connaître la vérité. Si la personne ne voulait pas savoir, elle s’abstiendrait tout simplement de poser des questions. Tenter de cacher la vérité à la personne est voué à l’échec, car très peu de gens sont de suffisamment bons acteurs pour faire semblant pendant un laps de temps suffisamment long. Le malade apprendra donc forcément la vérité tôt ou tard. Ce n’est pas tout le monde dans une famille qui est capable de retenir longtemps ses émotions. La question qui se pose ne devrait donc pas être, « Devrions-nous le lui dire ? » mais plutôt, « Comment le lui annoncer d’une façon avantageuse ? » À la question, « Combien de temps me reste-t-il à vivre ? », personne n’a de réponse, et personne ne sait. Même lorsqu’un médecin nous donne six mois à vivre, il n’a en réalité aucun moyen de savoir la quantité de temps qu’il reste à une personne déterminée. Il est extrêmement injustifié, inapproprié et trompeur de fixer une échéance à la vie humaine, car les exceptions dans un sens comme dans l’autre sont la règle.
De plus, il est plus facile pour tout à chacun – aussi bien pour la personne en fin de vie que pour la famille – de supporter la mort dans tous ses aspects et toutes ses conséquences lorsqu’elle est encore « lointaine », plutôt que lorsqu’elle nous « éclate à la figure ». Il est plus facile de gérer toutes les facettes du décès lorsque la personne en fin de vie est encore en relative bonne santé, et capable de maintenir un certain niveau de bien-être. Puisqu’il est à prévoir que l’état de la personne va se détériorer avec le temps, et puisque nous ne savons pas à quelle vitesse la maladie va progresser, la volonté de reporter à plus tard les conversations sur la mort vient généralement de notre propre difficulté à y faire face, et de notre propre besoin de nous protéger, et non pas nécessairement du désir d’assister la personne mourante.
Plus souvent qu’à son tour, la personne mourante va peser ses réactions en fonction des gens qui l’entourent. Si la famille approche la personne en reniant sa situation, cela va renforcer son propre besoin de déni. Comme il est difficile et douloureux de parler de la mort, tout message explicite ou implicite indiquant qu’il ne faut pas en parler, est reçu et agréé par le malade. Bien que la personne mourante soit parfaitement consciente de la gravité de sa maladie, qu’on le lui dise ou non, elle peut préférer ne pas révéler cette information à des personnes qui s’engagent dans la voie du déni. De plus, la personne en fin de vie peut elle aussi choisir de s’engager dans cette voie si telle est l’attente de sa famille – la famille dont elle est à présent totalement dépendante. Néanmoins, si l’entourage de la personne mourante est ouvert à propos de la mort, cela va l’encourager à affronter sa propre réalité. Il n’y a vraiment aucun mal à utiliser les mots « mort » et « mourir » devant un mourant. L’honnêteté est toujours appréciée. De fait, il arrive que la personne mourante réagisse de façon sélective. Elle peut s’engager dans le déni avec ceux qui renient sa situation, et discuter de son état avec ceux qui y sont ouverts.
Ce qui est de la plus haute importance, c’est de permettre à la personne mourante de dicter son rythme et de l’accompagner dans le processus de toutes les étapes de la mort. Si elle préfère à certains moments s’engager dans le déni (et ce besoin de déni peut se manifester à plusieurs reprises), soyez-y sensible et permettez au déni de s’installer. Si elle choisit de parler et de partager ce qu’elle ressent, nous devons réagir de manière ouverte et franche comme si nous parlions à un adulte en parfaite santé, sans négliger le moindre aspect ou détail. Ne traitez pas la personne mourante comme un enfant immature. Le fait d’être dans un état critique ne signifie pas qu’on soit mentalement diminué.
Le stade de la colère est difficile pour tout l’entourage de la personne mourante, du fait que la colère est souvent irrationnelle et peut éclater sur n’importe qui. Cette colère ne doit pas être prise comme une attaque personnelle. Si nous la prenons personnellement, cela va certainement nous mettre en colère à notre tour, auquel cas nous réagirons aussi sous le coup de la colère, ce qui enclenchera en retour une nouvelle escalade de réactions émotionnelles. Si nous interprétons les expressions de colère comme des attaques personnelles, il se peut que nous nous déchaînions sur la personne mourante – soit directement devant elle ou par des plaintes où nous exprimons notre consternation auprès d’autres membres de la famille. Nous pouvons souvent entendre des épouses exprimer leur colère et leur ressentiment en disant, « Quoi que je fasse pour lui, ce n’est jamais suffisant. Je ne peux plus le supporter. À présent, il est pire que lorsqu’il était encore en forme. » Pis encore, en réaction à la colère ainsi affichée, nous pourrions prendre la décision d’éviter toute nouvelle visite, ou du moins, de réduire notre temps passé auprès de la personne mourante. De telles réactions ne peuvent qu’accentuer son malaise ainsi que son sentiment d’isolement, ce qui en retour aggrave encore sa colère, sa douleur et sa solitude.
Les gens considèrent souvent la colère comme quelque chose de mauvais. Il est important pour les membres de la famille de ne pas voir la colère par leurs propres yeux, mais plutôt du point de vue de la personne mourante. En nous mettant à la place de la personne en fin de vie, et en acceptant notre propre mortalité, nous ressentirons moins le besoin de nous protéger, et de ce fait nous serons capables de faire appel à la tolérance face à la colère irrationnelle. La colère doit être exprimée. La colère doit suivre son cours, car derrière la colère se cachent la peur et la douleur. Et, à moins de laisser libre cours à la colère, nous ne pouvons pas accéder à la peur et à la douleur. Par conséquent, on devrait même encourager la personne mourante à exprimer sa colère sans honte, sans culpabilité et sans aucune restriction. Le fait d’exprimer la colère crée un soulagement qui l’aidera à un stade ultérieur à accepter sa mort.
English to French: Nimue skin classifications
Source text - English hyperpigmented skin
A hyperpigmented skin can be classified as a skin that presents with uneven skin colour and the development is influenced by internal and external factors, one of the most harmful being UV radiation exposure. This results in an overproduction of melanin as a defence mechanism.
types of hyperpigmented skin
There are different types of hyperpigmented skin. Two pigmentation components in the skin contribute to skin colour:
Constitutive skin colour is the basic melanin inherited according to genetic program and is without any direct influence by the environment. This type of pigmentation is not treatable by the skin treatment professional.
Facultative or environmental colour is inducible. As a result it is reversible and will decrease to the level of constitutive skin colour and is thus indicated for treatment by the skin treatment professional.
Type
Characteristics
Indicated for Nimue treatment
Photomelanosis
This is increased pigmentation due to UV radiation exposure. Occurs on exposed skin, commonly on the face, neck and back. Pigmentation may be patchy or as diffused darkening of the exposed skin.
YES
Melasma (chloasma)
Brown patches on the face, more common in females. Occurs due to hormonal changes in the body. Pigmentation increases with sun exposure.
YES
Peri-orbital melanosis
Also known, as ‘dark circles’, may be hereditary or due to stress or eyestrain.
YES
Post-inflammatory hyperpigmentation
Seen after healing has occurred, as in acne, eczema, contact dermatitis etc. Chemical induced
pigmentation, e.g. deep chemical peels.
YES
Freckles
Small brown/black spots on the face and of genetic origin.
Partially, darkened freckles can be reverted to constitutive colour
types of hypopigmented skin
There are three main types of skin hypopigmentation: post-inflammatory hypopigmentation, vitiligo and albinism. These conditions are not specifically indicated for nimue treatment.
Type
Characteristics
Post-inflammatory hyperpigmentation
Skin pigmentation is reduced, but it may not be milk-white as in vitiligo. Follows healing of certain inflammatory disorders like burns, and skin infections. Also related to scars.
Vitiligo
De-pigmentation areas, usually sharply demarcated and often symmetric, caused by a lack of melanocytes.
Albinism
Complete de-pigmentation areas inherited according to a genetic program
difference between dark and light skin
The major difference in skin colour is the way melanosomes are distributed in the skin. Dark and light skins both have the same amount of melanocytes.
In darker skins the melanosomes are larger and single. Melanosomes in black skins are four times larger than those in white skins. In lighter skins the melanosomes are smaller and formed in groups.
When all of the above is taken into account, it is not difficult to see why it is very easy to over stimulate the melanocyte of a darker skinned person, to react and cause hyperpigmentation.
Single melanosomein dark skin
Multiple melanosomes in light skin
causes and subsequent changes in the skin
contributing factors
UV radiation exposure
Heat
Chemical influences: incorrect product and treatment applications
Medication
Stress
Trauma
Biological skin ageing
Hormonal changes
Skin diseases e.g. dermatitis, eczema and psoriasis
manifestations
Hyperpigmentation: Brown to dark brown patches of pigment on the face
Hypopigmentation: Partial or full absence of pigment from the skin
development of hyperpigmented skin
epidermis
Melanocytes are located in the Stratum Germinativum or Basal layer of the epidermis and the papillary layer of the dermis
Melanocytessynthesise melanin from the amino acid tyrosine. An enzyme called tyrosinase catalyses this reaction (also refer section 3 skin histology, diagram on melanogenesis)
Melanin is a colour pigment and is produced within the melanocyte. It comes in two different forms: phaemelanin (yellow to reddish brown pigment) and eumelanin (brown to black pigment). In the case of hyperpigmentation an excessive amount of pigment is produced
Granules of melanin are stored within melanosomes.
Melanin granules are delivered to keratinocytes via long cytoplasmic projections called dendrites
Melanin is injected into surrounding keratinocytes and attaches to the cell nuclei.
dermis
Melanocytes are located in the papillary layers of the dermis.
treatment protocol for hyperpigmented skin
Avoid irritation of the skin as this will trigger the natural protective mechanism to produce more pigment
Adopt a slow and gradual treatment process (aggressive treatment will lead to more pigment formation)
Dedicated homecare (phase 1
Translation - French Les peaux hyperpigmentées
Une peau hyperpigmentée peut être classée parmi les peaux qui présentent une coloration irrégulière. Ce processus est influencé à la fois par des facteurs internes et externes, dont le plus néfaste est l’exposition aux rayons UV. Cela aboutit à une surproduction de mélanine comme mécanisme de défense.
Les types de peaux hyperpigmentées
Il y a plusieurs types de peaux hyperpigmentées. Deux composants pigmentaires différents contribuent à la coloration de la peau :
La couleur d’origine est constituée de mélanine pure en fonction du programme génétique sans aucune influence directe de l’environnement. Ce type de pigmentation est incurable par le moyen d’un traitement cutané professionnel.
D’autres effets colorants d’origine volontaire ou environnementale peuvent être provoqués. Ces effets sont réversibles et diminuent la coloration cutanée constitutive. Dans ces cas là, un traitement par un professionnel de la peau est indiqué.
Type
Caractéristiques
Indiqué pour les traitements Nimue
La mélanose
Il s’agit d’une pigmentation accrue du fait d’une exposition aux rayons UV. Se manifeste sur la peau exposée, généralement le visage, le cou et le dos. La pigmentation se présente sous forme de taches ou d’un assombrissement diffus de la peau exposée.
OUI
Le masque de grossesse
Des taches brunes sur le visage, plus généralement chez les femmes. Il est dû à des changements hormonaux dans le corps. La pigmentation augmente encore davantage avec l’exposition au soleil.
OUI
La mélanose périorbital
Plus communément appelée les « cernes » ; c’est héréditaire, lié au stress ou à des yeux fatigués.
OUI
L’hyperpigmentation post inflammatoire
Signes visibles après une guérison, comme pour l’acné, l’eczéma, l’eczéma de contact etc… ou pigmentation provoquée par des produits chimiques ; ex : des desquamations chimiques profondes.
OUI
Les taches de rousseur
Petites taches brunes ou noires sur le visage d’origine génétique
Les taches noires peuvent en partie reprendre leur couleur d’origine.
Les types de peaux hypopigmentées
Il y a trois principaux types d’hypopigmentation de la peau: l’hypopigmentation post-inflammatoire, le vitiligo et l’albinisme. Les traitements Nimue ne sont pas particulièrement indiqués pour ces états là.
Type
Caractéristiques
L’hypopigmentation post-inflammatoire
La pigmentation de la peau est atténuée, mais il ne s’agit pas forcément de taches blanches comme dans le cas du vitiligo. Cela fait suite à la guérison de certains troubles inflammatoires comme les brûlures et les infections de la peau. C’est aussi lié aux cicatrices.
Vitiligo
Des taches achromiques généralement bien délimitées, souvent symétriques, causées par un manque de mélanocytes.
Albinisme
Affection héréditaire se manifestant par des zones totalement dépigmentées
Les différences entre les peaux mates et les peaux claires
La coloration de la peau est différente en fonction de la façon dont les mélanosomes se répartissent dans la peau. Les peaux mates ou claires ont la même quantité de mélanocytes.
Chez les peaux plus mates, les mélanosomes sont plus gros et isolés. Chez les peaux noires, les mélanosomes sont quatre fois plus gros que dans les peaux blanches. Chez les peaux claires, les mélanosomes sont plus petits et regroupés.
Lorsque toutes les données ci-dessus sont prises en considération, il n’est pas difficile de comprendre comment les mélanocytes d’une personne au teint mat peuvent très facilement faire l’objet d’une stimulation excessive au point de réagir et de causer une hyperpigmentation.
Mélanosomes isolés chez les peaux mates
Mélanosomes regroupés chez les peaux claires
Causes et conséquences pour la peau
Facteurs contribuant
Exposition aux rayons UV
Chaleur
Produits chimiques: produits ou traitements inappropriés
Médicaments
Stress
Traumatisme
Vieillissement biologique de la peau
Changements Hormonaux
Maladies de peau; ex: dermatose, eczéma, psoriasis
Manifestations
Hyperpigmentation: des taches brunes ou noires sur le visage
Hypopigmentation: absence partielle ou totale de pigments sur la peau
Le processus de l’hyperpigmentation de la peau
L’épiderme
Les mélanocytes sont situés dans la Stratum Germinativum ou couche basale de l’épiderme et dans la couche papillaire du derme.
Les mélanocytes synthétisent la mélanine à partie d’un acide aminé appelé tyrosine. Une enzyme du nom de tyrosinase catalyse cette réaction (voir également la section 3 sur l’histologie de la peau et le diagramme sur la mélanogénèse).
La mélanine est un pigment coloré qui est produite à l’intérieur du mélanocyte. Elle revêt différentes formes: la phéomélanine (un pigment qui va du jaune au brun rouge) et l’eumélanine (un pigment qui va du brun au noir). Dans le cas de l’hyperpigmentation, une quantité excessive de pigments est produite.
Les granules de mélanine sont stockés à l’intérieur des mélanosomes.
Les granules de mélanine sont acheminés vers les kératinocytes le long de projections appelées dendrites.
La mélanine est injectée dans les kératinocytes environnants et se fixe au noyau de la cellule.
Le derme
Les mélanocytes sont situés dans la couche papillaire du derme.
Les méthodes de traitement pour les peaux hyperpigmentées
Eviter toute irritation de la peau sinon cela stimule le mécanisme de protection cutanée qui aboutit à une production accrue de pigments.
Adopter un traitement lent et progressif (un traitement agressif ne ferait qu’aboutir à une plus grande production pigmentaire)
Traitements conçus pour la maison (phase 1
English to French: FORCE MAJEURE
Source text - English 20 FORCE MAJEURE
20.1 If either party is prevented or restricted directly or indirectly from carrying out all or any of its obligations under the agreement from any cause beyond the reasonable control of that party, including without limitations, acts of God, civil commotion, riots, strikes, insurrection, lock-outs, acts of government, fire, theft, explosion, the elements, epidemics, governmental embargoes or like causes, the party so affected shall be relieved of its obligations hereunder during the period of such events and its consequences, but only to the extent so prevented and shall not be liable for any delay or failure in the performance of any obligations hereunder or loss or damage either general, special or consequential which the other party may suffer due to or resulting from such delay or failure provided always that written notice shall within 24 (twenty four) hours of the occurrence constituting such an event (vis major) be given of any such inability to perform by the affected party and provided further that the obligation to give such notice shall be suspended to the extent necessitated by such vis major. The party wishing to rely on force majeure shall prove to the other party that he acted responsibly in exercising his obligations in terms of the agreement.
20.2 The parties hereby agree that should vis major last more than 6 (six) weeks, the party who has not invoked vis major to excuse any non-performance of its obligations may terminate the agreement by giving 10 (ten) days written notice to the other.
Translation - French 20 FORCE MAJEURE
20.1 Si l’une des parties est dans l’impossibilité, directement ou indirectement, d'exécuter tout ou partie de ses obligations contractuelles pour une cause qui échapperait au contrôle raisonnable de cette partie, ce qui inclut notamment les catastrophes naturelles, les révoltes civiles, les émeutes, les grèves, les insurrections, les lockouts, le fait du prince, les incendies, les vols, les explosions, les éléments, les épidémies, les embargos gouvernementaux ou autres causes similaires, la partie ainsi affectée sera exonérée de ses obligations contractuelles le temps desdits événements et de leurs conséquences, mais seulement dans la mesure de son impossibilité d'exécuter, et elle ne sera pas responsable des retards ou des manquements à l’exécution d'une quelconque obligation contractuelle ni de toute perte ou préjudice, qu’il soit général, particulier ou indirect, dont pourrait souffrir l’autre partie en raison ou en conséquence d’un tel retard ou manquement, toujours à condition qu’une notification écrite de l'impossibilité pour la partie affectée d'exécuter son obligation intervienne dans les 24 (vingt-quatre) heures de la circonstance qui constitue un tel événement (force majeure) , à moins que l’obligation de fournir une telle notification soit suspendue dans la mesure nécessitée par le cas de force majeure en question. La partie qui souhaite invoquer l'existence d'un cas de force majeure devra prouver à l’autre partie qu’elle a agi de manière responsable dans l’exercice de ses obligations contractuelles.
20.2 Les parties, par la présente, conviennent que, dans le cas où un cas de force majeure durerait plus de 6 (six) semaines, la partie qui n’a pas invoqué de cas de force majeure pour s'exonérer de l'exécution de l'une quelconque de ses obligations peut résilier la convention en donnant un préavis écrit de 10 (dix) jours à l’autre partie.
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Translation education
Master's degree - University of Witswatersrand
Experience
Years of experience: 6. Registered at ProZ.com: Sep 2008.
I am French
I lived in South Africa between 2004 and 2010 and then in Gabon working in tourism industry.
I have returned to my homecountry in 2013 and am currently sworn translator to the Court of Appeal of Douai (North of France).
I have lectured general, financial and legal translation at the University of Witswatersrand of Johannesburg for 5 years.
I have a Phd in law, a master in law of contracts, a diploma in intellectual property and a postgraduate diploma in translation and interpreting. I am then highly specialized in legal translation as I master perfectly all the legal terminologies and concepts. I can also provide technical writing services for contract drafting (both in English and French).
When I defended my thesis, the board of examiners could find only one spelling mistake over the 300 pages I had written into French.
All over my career of freelance translator, I have had opportunities to translate a wide range of documents in various fields: contracts, international organizations (AMPR, SADC, AMP, Africa Harvest...), general correspondence and/or technical contract and agreements for big companies (ATNS, Fieldstone, G4S, Bravura...), audit reports, corporate profiles, touristic brochures, software guidelines, marketing documents, cosmetics, monographs...